Cher Axel,
A présent, on ne parlera pas virologie... on s'en tiendra simplement à ton addiction pour les (bonnes) mesures.
Que les gens sans goût se taisent, seulement !
Après lecture de votre texte, j'assimile volontiers l'amour à l'Univers ; ce vaste qui, une fois le Big bang passé, se trouve chargé innombrables éléments représentant tout autant de sentiments que peuvent découler du Grand amour. Néanmoins, en toile de fond, subsistent (résistent ?) toujours ce vide et ce silence sans fin, propices à nous laisser chuter vers le néant avec la même puissance qu'une passion dévorante à su élever les cœurs par-delà tout.
Belle parabole pour une plume soignée, riche et agréable.
Qui a osé te faire entendre que les femmes étaient objets de gourmandises frivoles ? Honte à tous ceux qui !
La chute, adoucissante à ''cœur'', est extra.
Dans le genre ''De quoi j'me mêle.con'', c'est génial !
Mais je ne crois pas qu'il s'agisse là d'anticipation à proprement parlé. Sans quoi nous serions bel et bien tous irrattrapables.
M'enfin, quoique...
Terry P., sort de ce corps !
Toujours égal à toi même, un vrai plaisir. Tout comme celui de te relire enfin.
Merci Axel.
P.S : près de chez moi, il y a un campement de gilets... qui aiment un peu trop le jaune pour aujourd'hui se vanter d'être efficaces à leur cause. Je leur ferai parvenir ton lien extraterrestre. Sans doute que ça leur remettra les idées en place, qui sait.
Oui, c'est écrit avec spontanéité et un brin de poésie...
Il est également vrai que si l'on y ajoute nos actes ''effleurés'', alors le bilan vital est plutôt médiocre. ;)
Mais comme la morale est sauve, je sors content de cette lecture.
Pour ça, merci Elidée !
4 pages
Cher Axel,
A présent, on ne parlera pas virologie... on s'en tiendra simplement à ton addiction pour les (bonnes) mesures.
Que les gens sans goût se taisent, seulement !
Content de te retrouver !
1 page
Le temps de se retourner et... plus rien n'existe.
Merci Bernard.
3 pages
Après lecture de votre texte, j'assimile volontiers l'amour à l'Univers ; ce vaste qui, une fois le Big bang passé, se trouve chargé innombrables éléments représentant tout autant de sentiments que peuvent découler du Grand amour. Néanmoins, en toile de fond, subsistent (résistent ?) toujours ce vide et ce silence sans fin, propices à nous laisser chuter vers le néant avec la même puissance qu'une passion dévorante à su élever les cœurs par-delà tout.
Belle parabole pour une plume soignée, riche et agréable.
Bravo et merci, Yoann.
Au plaisir.
2 pages
Eh oui, c'est un peu tout ça : boire.
Je vais en faire ma cure de tes mots...
Merci Mary.
3 pages
A la fois avec humour et morale, il est parfois bon de se laisser remonter les bretelles. Chouette plume, aussi.
Bravo et merci, mon ami !
1 page
Qui a osé te faire entendre que les femmes étaient objets de gourmandises frivoles ? Honte à tous ceux qui !
La chute, adoucissante à ''cœur'', est extra.
Merci Mary
5 pages
Dans le genre ''De quoi j'me mêle.con'', c'est génial !
Mais je ne crois pas qu'il s'agisse là d'anticipation à proprement parlé. Sans quoi nous serions bel et bien tous irrattrapables.
M'enfin, quoique...
Merci pour cette nouvelle tranche de rire, Axel.
3 pages
Terry P., sort de ce corps !
Toujours égal à toi même, un vrai plaisir. Tout comme celui de te relire enfin.
Merci Axel.
P.S : près de chez moi, il y a un campement de gilets... qui aiment un peu trop le jaune pour aujourd'hui se vanter d'être efficaces à leur cause. Je leur ferai parvenir ton lien extraterrestre. Sans doute que ça leur remettra les idées en place, qui sait.
2 pages
Oui, c'est écrit avec spontanéité et un brin de poésie...
Il est également vrai que si l'on y ajoute nos actes ''effleurés'', alors le bilan vital est plutôt médiocre. ;)
Mais comme la morale est sauve, je sors content de cette lecture.
Pour ça, merci Elidée !
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Sombre crépuscule qui se pose comme un attendrissant voile sur nos passions révolues... et sans doute celles à venir, aussi.
Merci Estérina.
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