Cela ne donne pas tellement envie d'avoir une crise d'angoisse. J'aime mieux avoir un bouton de fièvre par le tress. Enfin, c'est la nature qui gère le problème comme elle peut, et nous on se débrouille avec.
J'espère que tu n'en auras plus.
Cela a du te marquer pour que tu en fasses un poème.
Merci Laurent de transcrire tes états d'âme. Hélas on ne peut pas toujours rigoler.
A bientôt.
L'air et le vent, aussi indocile que l'esprit des hommes, qui les amène au gré du temps, à vivre une destinée parfois aussi inattendue qu'étrange.
Merci Fyalines pour la force de vos mots cachés dans l'écrin ce bel écrit à l'abri des tempêtes.
Bien à vous.
Bah bah bah bah bah ! V'là aut'chose maintenant, tu t'es fais mordre et tu es enragé, on va te piquer alors ?
Non, va plutôt à l'institut Pasteur, ils ont ce qu'il faut là-bas. On n'a pas envie de te perdre Laurent, tu es encore à la fleur de l'âge et puis on veut savoir ce que tu caches dans ton tiroir magique.
Bon rétablissement Laurent ainsi qu'a ta maman.
Hum ! Madame fait dans l'original maintenant, on s'amuse je vois. Je me suis laissé entraîner dans cette farandole virvoltante et je vous fais un salut d'un signe de l'épée.
Bravo Beabat, toujours aussi surprenante !
Bien à vous.
Bonjour Hanna
Dans votre résumé vous posez l'intrigue insolite qui sera le mystère par la suite de votre roman. Ce suspence m'a fait lire facilement les premières pages de son entame. Je ne sais pas si l'héroïne va grandir rapidement, ou passer par toutes les phases, jusqu'à devenir sûrement une belle jeune fille, je le découvrirai avec un grand plaisir par la suite.
Merci Hanna pour le partage de ce roman prometteur.
A bientôt.
Moment intense où tout s'arrête, l'âme de la forêt palpite et s'émeut de cette naissance, celle d'un faon, qui deviendra peut-être son grand cerf.
Bravo Élidée d'avoir si bien mis en scène la vie de la forêt qui salue l'arrivée de ce faon magnifique, encore pantelant à se maintenir debout et esquisser ses premiers pas.
J'ai lu avec un grand plaisir.
Merci Élidée.
À bientôt.
Très belle narration, difficile de faire mieux. Dans cette croisière on est pris très vite par la lecture et on a l'impression d'être partie prenante dans l'intrigue. On ne voit pas défiler les pages. Bref ce que peut espérer de mieux un auteur.
Bravo Elidée. La fluidité et la simplicité à lire ce texte captivant dénote ta maîtrise des lettres.
Merci pour ton partage, par contre si tu nous invites en croisière, ne t'étonne pas si on a quelque chose de prévue.
Au plaisir...sur le plancher des vaches.
Bonjour Anne Françoise
C'est avec un très grand plaisir que je viens de lire ton poème succint mais intense.
Ton personnage fictif qui transmet ses sensations après être rentrée chez elle, bravo
Chère Anne Françoise au plaisir de te lire.
Bisous.
C'est bien jolie tout ça mais ça lui fait une belle patte à la pauvre palombe. Sinon c'est un très beau poème qui ne me fera pas aimé la chasse non, mais comprendre le monde des chasseurs de palombes, tu vois je ne généralise pas à toutes les chasses.
La joie que tu exprimes pour cette préparation, la chasse et se rassemblement festif, honore la petite palombe (snif). Je peux le comprendre puisque tu as été élevé dans cette tradition qui te procure un enthousiasme débordant.
Dans "la forêt pleure et le jour redouté" je suis du côté du cerf auquel je m'identifie. La forêt de Senlis c'est toute mon adolescence, je faisais mes devoirs, entre autres, devant une harde à l'intérieur de la forêt, souvent je dormais en forêt, j'habitais dans une ancienne ferme à l'orée de la plaine qui y menait.
Merci vraiment pour ton très beau poème qui en plus m'a emmené dans mes propres souvenirs. Un très bon moment.
Au plaisir Chantal.
Je t'embrasse.
Tu as raison de te faire un trip en poème accompagné d'une squaw tant qu'à faire. Cela permet de s'évader sans la descente qui l'accompagne et les mauvais effets sur la santé. Finalement on est tous un peu des fumeurs de pétards à notre insu quand on écrit pour s'évader dans notre imaginaire(selon ton poème); alors toi tu es un grossiste vu la consommation de poèmes que tu produis, je crois que l'on pourra jamais te faire décrocher.
Merci Laurent pour ton partage heu,heu,heu attends une seconde j'ouvre la fenêtre pour ventiler un peu.
Ah ça va mieux.
A bientôt, enfin je ne sais pas si je peux encore te fréquenter maintenant que je sais ton vice, j'ai une réputation à soutenir, enfin je vais y réfléchir (avec un bon pétard).
Allez salut Laurent.
1 page
Cela ne donne pas tellement envie d'avoir une crise d'angoisse. J'aime mieux avoir un bouton de fièvre par le tress. Enfin, c'est la nature qui gère le problème comme elle peut, et nous on se débrouille avec.
J'espère que tu n'en auras plus.
Cela a du te marquer pour que tu en fasses un poème.
Merci Laurent de transcrire tes états d'âme. Hélas on ne peut pas toujours rigoler.
A bientôt.
Noel.
Noel Mechou le 20 avril 2018 à 14h18
1 page
L'air et le vent, aussi indocile que l'esprit des hommes, qui les amène au gré du temps, à vivre une destinée parfois aussi inattendue qu'étrange.
Merci Fyalines pour la force de vos mots cachés dans l'écrin ce bel écrit à l'abri des tempêtes.
Bien à vous.
Noel.
Noel Mechou le 17 avril 2018 à 20h23
1 page
Bah bah bah bah bah ! V'là aut'chose maintenant, tu t'es fais mordre et tu es enragé, on va te piquer alors ?
Non, va plutôt à l'institut Pasteur, ils ont ce qu'il faut là-bas. On n'a pas envie de te perdre Laurent, tu es encore à la fleur de l'âge et puis on veut savoir ce que tu caches dans ton tiroir magique.
Bon rétablissement Laurent ainsi qu'a ta maman.
Noel.
Noel Mechou le 17 avril 2018 à 19h09
2 pages
Hum ! Madame fait dans l'original maintenant, on s'amuse je vois. Je me suis laissé entraîner dans cette farandole virvoltante et je vous fais un salut d'un signe de l'épée.
Bravo Beabat, toujours aussi surprenante !
Bien à vous.
Noel.
Noel Mechou le 17 avril 2018 à 18h45
21 pages
Bonjour Hanna
Dans votre résumé vous posez l'intrigue insolite qui sera le mystère par la suite de votre roman. Ce suspence m'a fait lire facilement les premières pages de son entame. Je ne sais pas si l'héroïne va grandir rapidement, ou passer par toutes les phases, jusqu'à devenir sûrement une belle jeune fille, je le découvrirai avec un grand plaisir par la suite.
Merci Hanna pour le partage de ce roman prometteur.
A bientôt.
Noel.
Noel Mechou le 17 avril 2018 à 18h30
2 pages
Moment intense où tout s'arrête, l'âme de la forêt palpite et s'émeut de cette naissance, celle d'un faon, qui deviendra peut-être son grand cerf.
Bravo Élidée d'avoir si bien mis en scène la vie de la forêt qui salue l'arrivée de ce faon magnifique, encore pantelant à se maintenir debout et esquisser ses premiers pas.
J'ai lu avec un grand plaisir.
Merci Élidée.
À bientôt.
Noël.
Noel Mechou le 15 avril 2018 à 22h22
5 pages
Très belle narration, difficile de faire mieux. Dans cette croisière on est pris très vite par la lecture et on a l'impression d'être partie prenante dans l'intrigue. On ne voit pas défiler les pages. Bref ce que peut espérer de mieux un auteur.
Bravo Elidée. La fluidité et la simplicité à lire ce texte captivant dénote ta maîtrise des lettres.
Merci pour ton partage, par contre si tu nous invites en croisière, ne t'étonne pas si on a quelque chose de prévue.
Au plaisir...sur le plancher des vaches.
Noel.
Noel Mechou le 14 avril 2018 à 18h12
1 page
Bonjour Anne Françoise
C'est avec un très grand plaisir que je viens de lire ton poème succint mais intense.
Ton personnage fictif qui transmet ses sensations après être rentrée chez elle, bravo
Chère Anne Françoise au plaisir de te lire.
Bisous.
Noel.
Noel Mechou le 14 avril 2018 à 16h22
1 page
C'est bien jolie tout ça mais ça lui fait une belle patte à la pauvre palombe. Sinon c'est un très beau poème qui ne me fera pas aimé la chasse non, mais comprendre le monde des chasseurs de palombes, tu vois je ne généralise pas à toutes les chasses.
La joie que tu exprimes pour cette préparation, la chasse et se rassemblement festif, honore la petite palombe (snif). Je peux le comprendre puisque tu as été élevé dans cette tradition qui te procure un enthousiasme débordant.
Dans "la forêt pleure et le jour redouté" je suis du côté du cerf auquel je m'identifie. La forêt de Senlis c'est toute mon adolescence, je faisais mes devoirs, entre autres, devant une harde à l'intérieur de la forêt, souvent je dormais en forêt, j'habitais dans une ancienne ferme à l'orée de la plaine qui y menait.
Merci vraiment pour ton très beau poème qui en plus m'a emmené dans mes propres souvenirs. Un très bon moment.
Au plaisir Chantal.
Je t'embrasse.
Noel.
Noel Mechou le 14 avril 2018 à 1h00
1 page
Tu as raison de te faire un trip en poème accompagné d'une squaw tant qu'à faire. Cela permet de s'évader sans la descente qui l'accompagne et les mauvais effets sur la santé. Finalement on est tous un peu des fumeurs de pétards à notre insu quand on écrit pour s'évader dans notre imaginaire(selon ton poème); alors toi tu es un grossiste vu la consommation de poèmes que tu produis, je crois que l'on pourra jamais te faire décrocher.
Merci Laurent pour ton partage heu,heu,heu attends une seconde j'ouvre la fenêtre pour ventiler un peu.
Ah ça va mieux.
A bientôt, enfin je ne sais pas si je peux encore te fréquenter maintenant que je sais ton vice, j'ai une réputation à soutenir, enfin je vais y réfléchir (avec un bon pétard).
Allez salut Laurent.
Noel.
Noel Mechou le 14 avril 2018 à 0h11
Page suivante