Poser une telle question est dangereux, tu aurais du t'arrêter à 100 ans, mais la tentation du défi a été le plus fort. Il ne te reste plus qu'à attendre de dépasser la fameuse date avec sérénité! Je sais à quel point ça te tracasse...
Et ne jamais recommencer, et puis écrire encore, pour toi, pour nous.
J'ai eu la chance de te revoir il y a peu - avec Amy tout fringant en effet - et j'ai vu combien tu étais attachée à son bien-être dans un milieu qu'il ne connaissait pas (mon petit jardin). J'aime beaucoup le titre de ton poème, eh bien tu as été exaucée en quelque sorte, qu'il soit parti avant toi... Toutes mes amitiés et bon courage, je t'embrasse. Michèle
Un de ces rêves qu'il est urgent de raconter, suffisamment construit, et tellement empreint d'émotions et de la présence des être aimés disparus.
On pourrait presque croire en la vie éternelle...
Merci pour le partage et la joie de vivre insouciante manifestée par ces disparues si joyeuses (et qui te laissent l'addition, forcément, elles ne sont plus dans ces basses contingences!)
Les cimetières de campagne seraient "le dernier lieu où l'on cause ?" - Je ne connais que les cimetières urbains, on y est bien plus seuls avec les morts. Mais plus j'avance en âge, et moins je leur trouve de charme, évidemment !
A qui n'a pas une ferme dans ses souvenirs d'enfance il manquera toujours une page dans son livre de vie.
Beaucoup de choses que tu racontes si bien, je les retrouve en magasin.. les jeux un peu pervers, le piquant des tiges de blé ou de foin, les bêbêtes, l'étrangeté de tous ces outils menaçants, le dernier jour du cochon etc...
Bonne idée que ce récit musical, cet au revoir à la vie, que nous avons tous recherché les jours d'avant... Une dernière balade au parc zoologique pour voir les fleurs de magnolias, les animaux qui seront épargnés, les jeunes feuilles des arbres les plus précoces... Il y eut aussi le dernier apéro en famille, la dernière visite. ça tomberait lundi, ou mardi...
Des moments précieux qu'on n'oubliera pas. Merci, Guy.
Ps : j'adore les noms improbables de ces danses, mais comme elles sont difficiles !
Impertinence, humour et érotisme, sans oublier les copines par des allusions flatteuses, font de cette lecture un coktail pétillant.
Var-Nuit : ça fait rêver!
Très joli voyage dans le passé, et la piété obligatoire d'autrefois, dont je ne garde pas forcément un souvenir aussi sympathique...
j'ai une question sur l'ajout de photos dans tes textes: quand j'essayais, j'obtenais une sorte de texte en latin de cuisine, au lieu du "parcourir"..
Du latin.. j'espère que ce n'était pas toi ! Alors comment faut-il faire stp ? Merci !
Un endroit où il ne faisait pas bon rester, et pourtant on nous obligeait à rester au moins une semaine dans ce bagne ! cinq ans plus tard, ça n'avait guère changé : la salle commune, les toilettes au diable dans le couloir, les terroristes de l'allaitement (heureusement j'avais décidé que oui) et la toilette à la bouilloire tenue bien haut...
pas de péridurale non plus, mais un monitoring intensif (l'enfant "souffrait", surement moins que moi lol) et une ventouse pour finir. Apgar à 6 mais le mental de ma fille fut sauvé, (quoique) car j'étais dans le plus grand hopital de Lyon.
Pour la deuxième j'ai eu de la chance, la maternité était complète et j'ai eu la chance d'accoucher dans un vrai lit, dans une chambre seule, avec petite lumière tamisée, du coup tout s'est bien passé !
les punaises, quand meme... il parait qu'elles reviennent, fais attention !
20 pages
Poser une telle question est dangereux, tu aurais du t'arrêter à 100 ans, mais la tentation du défi a été le plus fort. Il ne te reste plus qu'à attendre de dépasser la fameuse date avec sérénité! Je sais à quel point ça te tracasse...
Et ne jamais recommencer, et puis écrire encore, pour toi, pour nous.
1 page
J'ai eu la chance de te revoir il y a peu - avec Amy tout fringant en effet - et j'ai vu combien tu étais attachée à son bien-être dans un milieu qu'il ne connaissait pas (mon petit jardin). J'aime beaucoup le titre de ton poème, eh bien tu as été exaucée en quelque sorte, qu'il soit parti avant toi... Toutes mes amitiés et bon courage, je t'embrasse. Michèle
3 pages
Un de ces rêves qu'il est urgent de raconter, suffisamment construit, et tellement empreint d'émotions et de la présence des être aimés disparus.
On pourrait presque croire en la vie éternelle...
Merci pour le partage et la joie de vivre insouciante manifestée par ces disparues si joyeuses (et qui te laissent l'addition, forcément, elles ne sont plus dans ces basses contingences!)
4 pages
Les cimetières de campagne seraient "le dernier lieu où l'on cause ?" - Je ne connais que les cimetières urbains, on y est bien plus seuls avec les morts. Mais plus j'avance en âge, et moins je leur trouve de charme, évidemment !
3 pages
A qui n'a pas une ferme dans ses souvenirs d'enfance il manquera toujours une page dans son livre de vie.
Beaucoup de choses que tu racontes si bien, je les retrouve en magasin.. les jeux un peu pervers, le piquant des tiges de blé ou de foin, les bêbêtes, l'étrangeté de tous ces outils menaçants, le dernier jour du cochon etc...
3 pages
Bonne idée que ce récit musical, cet au revoir à la vie, que nous avons tous recherché les jours d'avant... Une dernière balade au parc zoologique pour voir les fleurs de magnolias, les animaux qui seront épargnés, les jeunes feuilles des arbres les plus précoces... Il y eut aussi le dernier apéro en famille, la dernière visite. ça tomberait lundi, ou mardi...
Des moments précieux qu'on n'oubliera pas. Merci, Guy.
Ps : j'adore les noms improbables de ces danses, mais comme elles sont difficiles !
4 pages
Impertinence, humour et érotisme, sans oublier les copines par des allusions flatteuses, font de cette lecture un coktail pétillant.
Var-Nuit : ça fait rêver!
6 pages
Très joli voyage dans le passé, et la piété obligatoire d'autrefois, dont je ne garde pas forcément un souvenir aussi sympathique...
j'ai une question sur l'ajout de photos dans tes textes: quand j'essayais, j'obtenais une sorte de texte en latin de cuisine, au lieu du "parcourir"..
Du latin.. j'espère que ce n'était pas toi ! Alors comment faut-il faire stp ? Merci !
2 pages
Je me prends à imaginer la même bestiole grandeur "humaine", et c'est horrifiant ! Pourvu que ça n'arrive jamais ce genre de mutation !!
3 pages
Un endroit où il ne faisait pas bon rester, et pourtant on nous obligeait à rester au moins une semaine dans ce bagne ! cinq ans plus tard, ça n'avait guère changé : la salle commune, les toilettes au diable dans le couloir, les terroristes de l'allaitement (heureusement j'avais décidé que oui) et la toilette à la bouilloire tenue bien haut...
pas de péridurale non plus, mais un monitoring intensif (l'enfant "souffrait", surement moins que moi lol) et une ventouse pour finir. Apgar à 6 mais le mental de ma fille fut sauvé, (quoique) car j'étais dans le plus grand hopital de Lyon.
Pour la deuxième j'ai eu de la chance, la maternité était complète et j'ai eu la chance d'accoucher dans un vrai lit, dans une chambre seule, avec petite lumière tamisée, du coup tout s'est bien passé !
les punaises, quand meme... il parait qu'elles reviennent, fais attention !
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