Ton texte est bouleversant. Il y a non seulement les mots justes, mais une grande pudeur à relater (la fiction).
Les sujets graves sont difficiles à écrire. Tu as trouvé ici un mode d'écriture percutant pour le lecteur.
Pourquoi percutant : parce que tu rassemble tout le monde autour de ce sujet.
Personne ne peut lire (cette fiction) et s'en aller comme si de rien n'était.
Grave sujet de société que je découvre tous les jours dans son horreur, dans l'avachissement et l'apathie de ses auteurs, une fois confondus.
Le mal est profond, et l'actualité ces jours-ci me désintègre !
J'ai lu Zigzag : les deux mises en avant de cette histoire sont la suite logique de ton talent.
Un léger bémol : J'aurais aimé que tu développes sur 300 pages cette histoire hallucinante. Je m'en serais pas lassé, bien au contraire.
Avec ton talent, ça aurait tenu le route.
Tu as préféré le format d'une longue nouvelle, c'est ton choix.
Écris-nous encore ton univers, c'est le mieux qu'on puisse espérer de toi.
Toujours très intéressant.
On peut compter parfois, le temps que l'on a perdu à se détourner, par ignorance, de l'histoire de l'humanité : enfin, là je parle pour moi !
La narration est très visuelle. Le sens du détail évoque en moi des images et des paysages sauvages de toute beauté. L'histoire des vieux peuples qu'elle se situe en Amérique du Sud ou dans l'ouest sauvage américain, semble tenir toujours sur le même scénario génocidaire. Où faut-il aller dans le monde, bon sang, pour trouver un brin d'histoire sans violence ?
Il faut garder en mémoire selon les historiens, et bien au delà de notre propre écriture de l'histoire, que tous ces peuples anciens menaient entre eux des guerres sans merci.
De l'action, du verbe, et du Beaujolais (ou une autre friandise du genre) La trilogie fonctionne à merveille.
Une écriture souple, ronde, rôdée, pleine de grâce et de glaviots.
Pas la peine de sortir le dico pour comprendre tous les tenants et les aboutissants d'une pareille alchimie. On laisse juste le narrateur nous guider, et c'est bien comme ça !
Bonne année : deux mille vins, ou plus sobrement vingt vins.
Voeux prometteurs.
Mais pour cette célébration là, nous avons bu le vin nouveau avant de faire la vendange !
Bonne journée Hervé !
5 pages
Ton texte est bouleversant. Il y a non seulement les mots justes, mais une grande pudeur à relater (la fiction).
Les sujets graves sont difficiles à écrire. Tu as trouvé ici un mode d'écriture percutant pour le lecteur.
Pourquoi percutant : parce que tu rassemble tout le monde autour de ce sujet.
Personne ne peut lire (cette fiction) et s'en aller comme si de rien n'était.
Grave sujet de société que je découvre tous les jours dans son horreur, dans l'avachissement et l'apathie de ses auteurs, une fois confondus.
Le mal est profond, et l'actualité ces jours-ci me désintègre !
68 pages
J'ai lu Zigzag : les deux mises en avant de cette histoire sont la suite logique de ton talent.
Un léger bémol : J'aurais aimé que tu développes sur 300 pages cette histoire hallucinante. Je m'en serais pas lassé, bien au contraire.
Avec ton talent, ça aurait tenu le route.
Tu as préféré le format d'une longue nouvelle, c'est ton choix.
Écris-nous encore ton univers, c'est le mieux qu'on puisse espérer de toi.
10 pages
Le grenier d'Atramenta est riche, très riche : c'est une maison qui a de la valeur !
Merci pour cette initiative.
6 pages
Toujours très intéressant.
On peut compter parfois, le temps que l'on a perdu à se détourner, par ignorance, de l'histoire de l'humanité : enfin, là je parle pour moi !
7 pages
La narration est très visuelle. Le sens du détail évoque en moi des images et des paysages sauvages de toute beauté. L'histoire des vieux peuples qu'elle se situe en Amérique du Sud ou dans l'ouest sauvage américain, semble tenir toujours sur le même scénario génocidaire. Où faut-il aller dans le monde, bon sang, pour trouver un brin d'histoire sans violence ?
Il faut garder en mémoire selon les historiens, et bien au delà de notre propre écriture de l'histoire, que tous ces peuples anciens menaient entre eux des guerres sans merci.
7 pages
Toujours dans l'aventure. Et toujours ce parallèle avec l'histoire. Tu as eu une vie décidément très riche.
135 pages
De l'action, du verbe, et du Beaujolais (ou une autre friandise du genre) La trilogie fonctionne à merveille.
Une écriture souple, ronde, rôdée, pleine de grâce et de glaviots.
Pas la peine de sortir le dico pour comprendre tous les tenants et les aboutissants d'une pareille alchimie. On laisse juste le narrateur nous guider, et c'est bien comme ça !
16 pages
Une écriture sombre mais toujours aussi incisive dans sa forme.
Quant au fond, il se transmet de génération en génération, comme un leg terrible.
2 pages
Géant !
17 pages
Bonne année : deux mille vins, ou plus sobrement vingt vins.
Voeux prometteurs.
Mais pour cette célébration là, nous avons bu le vin nouveau avant de faire la vendange !
Bonne journée Hervé !
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