Pendant que je lisais ton poème, mon chat est venu s'allonger sur mes genoux, retardant l'écriture de ce commentaire!
J'aime beaucoup. J'aime ta poésie imaginative et imagée. Tout particulièrement cette entrée en matière qui, s'en crier gare, nous plonge au coeur du problème. Pollution, gaspillage, atteintes à la santé, tout s'enchaîne en quelques mots et ces images bien choisies. Bravo! Et on ne sait même pas apprécier ce qu'on gâche, en privant les générations futures de ce qu'on aura consommé sans vergogne. Pas de quoi en concevoir une quelconque fierté.
Mais voilà nous sommes de grands ou de petits profiteurs, gaspilleurs... Car nous avons tous pris part au carnage... Et nous continuons en pleine conscience... La faune, la flore... Le pillage-gaspillage des ressources naturelles... Et l'eau...
Je t'envie cet élan d'espérance qui vient ponctuer ce beau poème. Je n'en ai pas eu le courage dans le mien qui se morfond ou se complet dans mes idées désabusées.
Et cette touche finale... Irremplaçables...
J'admire et je doute. Tu as raison et je n'ai peut-être pas tort de craindre l'usage que certains auront de l'intelligence artificielle, peut-être parce qu'ils sont déjà dotés d'une sensibilité virtuelle? Va savoir.
Vous m'avez beaucoup amusé avec ce texte que j'ai vraiment apprécié.
Mais quelque chose d'étrange m'a surpris,cette association entre Angers et Roland via de Vigny. Je ne sais comment il vous a été suggéré, car en effet le lien est bien réel.
Une "filiation" des plus directes est établie entre Angers et Roland puisque ce dernier était le premier comte d'Anjou.
Tout près du château que vous avez cité avec ses impressionnantes murailles, il est d'ailleurs statufié aux pieds du Roi René, le plus illustre des comtes d'Anjou. Avec son cor!
Merci pour cette douceur en provenance de l'agréable ange vint.
Je perçois dans ton récit l'émotion suscitée par ce voyage, ces rencontres. Il m'a remémoré la chanson écrite sur Eva Peron en 76 je crois.
Don't cry for me, Argentina
The truth is
I never left you
All through my wild days
My mad existence
I kept my promise
Don't keep your distance
And as for fortune
And as for fame
I never invited them in
Though it seemed.
Jean-François
Texte magnifique par son inspiration et la façon de traiter La question existentielle dont la réponse se dérobe à nous. L'idée que nous atteindrons un jour notre fin, en le sachant ou pas, est complexe, difficile à admettre pour nous qui sommes toujours en quête de certitudes, d'assurances... On veut tout savoir sur tout et même au-delà!
D'ailleurs, cet ailleurs est-il si infini? On en repousse sans cesse les limites. L'univers ne serait-il pas fini, puisque les trous noirs ingurgitent des galaxies...
Dans cette incertitude, ton texte beau et émouvant offre un apaisement.
Merci Fredy.
La quête d'espérance de tous temps demeure une absolue nécessité.
Le nôtre n'est pas pire, simplement les lamentations sont partagées instantanément et trouvent une résonance démultipliée. Alors soyons plus forts, sublimons l'espérance en la chantant comme avec vos si doux vers.
Merci.
1 page
Pendant que je lisais ton poème, mon chat est venu s'allonger sur mes genoux, retardant l'écriture de ce commentaire!
J'aime beaucoup. J'aime ta poésie imaginative et imagée. Tout particulièrement cette entrée en matière qui, s'en crier gare, nous plonge au coeur du problème. Pollution, gaspillage, atteintes à la santé, tout s'enchaîne en quelques mots et ces images bien choisies. Bravo! Et on ne sait même pas apprécier ce qu'on gâche, en privant les générations futures de ce qu'on aura consommé sans vergogne. Pas de quoi en concevoir une quelconque fierté.
Mais voilà nous sommes de grands ou de petits profiteurs, gaspilleurs... Car nous avons tous pris part au carnage... Et nous continuons en pleine conscience... La faune, la flore... Le pillage-gaspillage des ressources naturelles... Et l'eau...
Je t'envie cet élan d'espérance qui vient ponctuer ce beau poème. Je n'en ai pas eu le courage dans le mien qui se morfond ou se complet dans mes idées désabusées.
Et cette touche finale... Irremplaçables...
J'admire et je doute. Tu as raison et je n'ai peut-être pas tort de craindre l'usage que certains auront de l'intelligence artificielle, peut-être parce qu'ils sont déjà dotés d'une sensibilité virtuelle? Va savoir.
7 pages
Tous mes remerciements pour ce voyage au pays de la céleste, coincé entre deux géants sud-américains, écrasé peut-être...
1 page
Vous m'avez beaucoup amusé avec ce texte que j'ai vraiment apprécié.
Mais quelque chose d'étrange m'a surpris,cette association entre Angers et Roland via de Vigny. Je ne sais comment il vous a été suggéré, car en effet le lien est bien réel.
Une "filiation" des plus directes est établie entre Angers et Roland puisque ce dernier était le premier comte d'Anjou.
Tout près du château que vous avez cité avec ses impressionnantes murailles, il est d'ailleurs statufié aux pieds du Roi René, le plus illustre des comtes d'Anjou. Avec son cor!
Merci pour cette douceur en provenance de l'agréable ange vint.
6 pages
Je perçois dans ton récit l'émotion suscitée par ce voyage, ces rencontres. Il m'a remémoré la chanson écrite sur Eva Peron en 76 je crois.
Don't cry for me, Argentina
The truth is
I never left you
All through my wild days
My mad existence
I kept my promise
Don't keep your distance
And as for fortune
And as for fame
I never invited them in
Though it seemed.
Jean-François
1 page
Texte magnifique par son inspiration et la façon de traiter La question existentielle dont la réponse se dérobe à nous. L'idée que nous atteindrons un jour notre fin, en le sachant ou pas, est complexe, difficile à admettre pour nous qui sommes toujours en quête de certitudes, d'assurances... On veut tout savoir sur tout et même au-delà!
D'ailleurs, cet ailleurs est-il si infini? On en repousse sans cesse les limites. L'univers ne serait-il pas fini, puisque les trous noirs ingurgitent des galaxies...
Dans cette incertitude, ton texte beau et émouvant offre un apaisement.
Merci Fredy.
1 page
Une flamme hésitante qui, sous un léger souffle, semble osciller entre espérance et tristesse.
J'aime cette simplicité.
2 pages
La quête d'espérance de tous temps demeure une absolue nécessité.
Le nôtre n'est pas pire, simplement les lamentations sont partagées instantanément et trouvent une résonance démultipliée. Alors soyons plus forts, sublimons l'espérance en la chantant comme avec vos si doux vers.
Merci.
1 page
Humanité et bienveillance, beauté de l'imaginaire, j'ai beaucoup apprécié.