Des mots d'enfants ?
Peu importe dans le fond. Vous savez les transcrire avec les vôtres.
C'est un bonheur de retrouver Agnès Chêne dans ce "Gribouillon".
Vive la poésie, vive la réalité et vive le rêve.
J'ai parcouru certains de vos poèmes et je remarque une chose. A chaque fois, la dernière strophe est la plus réussie. C'est important, car c'est elle qui marque le lecteur. Mais cela n'est pas suffisant pour que vos poèmes prennent la dimension que vous pouvez leur donner.
Je suis content de vous découvrir.
J'apprécie le côté naïf de votre poème. Naïf ne doit pas être pris dans un sens négatif, loin de là. Lisez beaucoup de poètes, connus ou inconnus. Laissez-vous guider par leurs mots et portez un regard attentif à leur manière d'exprimer les sentiments qui les habitent et qu'ils cherchent à transmettre.
Il faut du temps pour trouver son style.
Continuez à publier, Atramenta est là pour cela et ne vous formalisez pas des critiques, mais servez-vous en pour en faire des forces.
Il y a de l'idée et j'apprécie la tentative. J'apprécie ce qui ressort des textes. Il faut retravailler la présentation. Jouer sur différentes formes de phylactères, sur leur positionnement, alléger le contenu ou le scinder en plusieurs bulles. Je ne sais pas, peut être peut-on imaginer que les dits phylactères puissent dessiner quelque chose ? Je ne sais pas si je me fais bien comprendre ?
Je me souviens d'avoir lu ces poèmes de Verlaine vers l'âge de 11 ans. Je ne rendais pas compte de leur qualité poétique à l'époque.
Je dois avoir encore dans un coin de ma bibliothèque cette belle édition sur papier vélin.
Ce qu'il y a de fabuleux avec Rimbaud, c'est que la poésie perce à la moindre occasion dans "Une saison en enfer", y compris et surtout dans les moments les plus brutaux. Puissions-nous y trouver une source d'inspiration.
Je n'ai lu que la version écrite à quatre mains avec Ulys.
Il y a une belle harmonie dans ce poème. On ne sait pas si le sujet est féminin ou masculin, un homme pouvant très bien aussi s'envelopper dans le châle de l'aimée, en vivant cette méditation.
C'est un travail qui ne ressemble pas forcément à ce que vous faites et proposez d'ordinaire. Il est bien de donner autre chose.
J'aime beaucoup l'ambiance poétique et la construction de ce poème. Je suis un peu plus indécis sur le fond. Il me plait assurément. Il manque sans doute un peu d'émotion. Je dirais que la présence de l'autre n'est pas assez marquée peut-être.
Una vera mamma e un vero amico. Merci pour ces instants d'intimités tellement bien décrits. Il n'y a pas besoin d'en faire des tonnes ni plusieurs volumes pour parler de l'amitié dans tout ce qu'elle a de profond. Et comment on se retrouve désemparé lorsque le lien se brise.
Nella vit dans ton coeur et maintenant un peu pour nous aussi.
1 page
Bravo !
Le vieux Charles avait bien raison de recommander et de préférer l'impair.
Un sacré coup de coeur.
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Des mots d'enfants ?
Peu importe dans le fond. Vous savez les transcrire avec les vôtres.
C'est un bonheur de retrouver Agnès Chêne dans ce "Gribouillon".
Vive la poésie, vive la réalité et vive le rêve.
1 page
J'ai parcouru certains de vos poèmes et je remarque une chose. A chaque fois, la dernière strophe est la plus réussie. C'est important, car c'est elle qui marque le lecteur. Mais cela n'est pas suffisant pour que vos poèmes prennent la dimension que vous pouvez leur donner.
Je suis content de vous découvrir.
1 page
J'apprécie le côté naïf de votre poème. Naïf ne doit pas être pris dans un sens négatif, loin de là. Lisez beaucoup de poètes, connus ou inconnus. Laissez-vous guider par leurs mots et portez un regard attentif à leur manière d'exprimer les sentiments qui les habitent et qu'ils cherchent à transmettre.
Il faut du temps pour trouver son style.
Continuez à publier, Atramenta est là pour cela et ne vous formalisez pas des critiques, mais servez-vous en pour en faire des forces.
11 pages
Il y a de l'idée et j'apprécie la tentative. J'apprécie ce qui ressort des textes. Il faut retravailler la présentation. Jouer sur différentes formes de phylactères, sur leur positionnement, alléger le contenu ou le scinder en plusieurs bulles. Je ne sais pas, peut être peut-on imaginer que les dits phylactères puissent dessiner quelque chose ? Je ne sais pas si je me fais bien comprendre ?
15 pages
Je me souviens d'avoir lu ces poèmes de Verlaine vers l'âge de 11 ans. Je ne rendais pas compte de leur qualité poétique à l'époque.
Je dois avoir encore dans un coin de ma bibliothèque cette belle édition sur papier vélin.
23 pages
Ce qu'il y a de fabuleux avec Rimbaud, c'est que la poésie perce à la moindre occasion dans "Une saison en enfer", y compris et surtout dans les moments les plus brutaux. Puissions-nous y trouver une source d'inspiration.
2 pages
Je n'ai lu que la version écrite à quatre mains avec Ulys.
Il y a une belle harmonie dans ce poème. On ne sait pas si le sujet est féminin ou masculin, un homme pouvant très bien aussi s'envelopper dans le châle de l'aimée, en vivant cette méditation.
C'est un travail qui ne ressemble pas forcément à ce que vous faites et proposez d'ordinaire. Il est bien de donner autre chose.
J'aime beaucoup l'ambiance poétique et la construction de ce poème. Je suis un peu plus indécis sur le fond. Il me plait assurément. Il manque sans doute un peu d'émotion. Je dirais que la présence de l'autre n'est pas assez marquée peut-être.
Bravo pour ce poème, à tous les deux.
Henri
4 pages
C'est du bon ça. Il y aurait de quoi en faire une chanson, enfin une toune, pour rester dans le contexte.
5 pages
Una vera mamma e un vero amico. Merci pour ces instants d'intimités tellement bien décrits. Il n'y a pas besoin d'en faire des tonnes ni plusieurs volumes pour parler de l'amitié dans tout ce qu'elle a de profond. Et comment on se retrouve désemparé lorsque le lien se brise.
Nella vit dans ton coeur et maintenant un peu pour nous aussi.
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