J'aime beaucoup ce poème, sa simplicité renforce l'émotion.
Juste au lieu " d'inondant" ( car j'évite les participes préents) j'aurais écrit " inondait".
Vous avez le don de me toucher.
Merci à vous.
Merci pour le sourire occasionné et les reflexions aussi.
Oui " repos éternel" sous entendrait que la vie ne l'est pas, un repos, un long fleuve tranquille et je dirais heureusement.
Quant au repos éternel, façon de dire, ou plutôt de nier le " néant" que l'on a de la peine à imaginer. Ah! oui, j'oubliais que l'on pourrait aller au paradis, ou en enfer. Par les temps de canicule que nous subissons,que j'ai beaucoup de peine à supporter, cela ne me tente pas; La paradis? Retrouver toutes les personnes que je n'ai pas aimées, cela ne me tentent pas non plus; Te retrouver encore, et pouvoir converser je suis d'accord, mais dans l'immensité, comment nous retrouver?
Le néant me parait légitime.
Un titre comme tu les affectionnes, et que j'affectionne moins, car tu utilises beaucoup; Que mon avis.
Tu as je crois des hexasyllabes.
Alors cela te fait écrire
"On le saura jamais"
Du langage parlé, mais en écrit,cela me choque, et tu fais une faute pour respecter la versification régulière.
Un choix, que je respecte, mais qui ne me plait pas.
Je reconnais le travail de ce poème. Pour la forme, beau travail, la césure, les rimes riches.
La première strophe:
"Je suis resté rivé devant l’immense bleu
De l’œuvre monochrome
Qui m’a soudain capté comme capte le feu
Mais je ne suis qu’un gnome."
Je la trouve "faible" par rapport aux autres, le premier vers ( il est vrai que je suis sensible aux premiers vers qui donnent je trouve le ton- ici d'actualité puisque l'on parle de bleu) avec un verbe être, après deux fois le verbe capter, certainement fait exprès, et le mot gnome, rime riche et pas facile, mais que je trouve difficile à voix haute.
Le poème ne me touche pas, mais peut-être parce que je me suis focalisée sur la forme.
modifié pour faute ortho
Vraiment du bel ouvrage etsur la longueur. Bravo.
Je ne suis pas spécialement fan de Lamartine, trop romantique, tout comme votre poème. Je préfère le vôtre.
Mon commentaire était un peu court,je conçois; Votre poème utilise un vocabulaire recherché, mais sans emphase.
Les strophes sont égales en qualité, le trait ne semble pas forcé, les vers coulent, on ne ressent pas la recherche pour la forme ( gage de qualité) et si je les aime toues, la dernière, plus simple peut-être me touche particulièrement.
Un récit animalier, une tragédie, rivalité homme-nature, et un dernier paragraphe rédigé commeune fable, style que vous affectionnez et maîtrisez si bien.
J'ai lu d'une traite, et je ne regrette pas; L'histoire est bien racontée,presque un huit clos; Documentée,comme dab et ORIGINALE! Une chute, que je n'avais pas prévue, bravo.
Oui, elle vous plaisait bien n'est-ce-pas? Enfin le héros! Un peu de courage, que diable! Les femmes aiment être abordées, mais si! Bon d'accord, à mon âge, à part pour me demander l'heure, ou alors, où se trouve le rayon des biscottes...
Mais il ya une phrase qui est vrai malhuereusement, et que je déplore:
"Les femmes quant à elles s’en agaçaient et ne laissaient rien passer."
Je trouve qu'on le voit moins dans la gente masculine.
J'ai beaucoup aimé, mais comme dab!
Que dire?
La forme est parfaite, la ballade invite. Beaucoup de douceur, de rêverie, d'amité complice dans ce poème.
Mais il ne me séduit pas, pourquoi?
Il est trop parfait, il me manque une ptite flamme d'un je ne sais quoi; Enfin si, je le sais, il n'est pas en vers libres. Du joli travail,donc un j'aime, qui serait assorti si cela existait d'un petit moins
Je ne sais pourquoi j'ai pensé immédiatement à Théodore Monot.
Ce texte est d'une richesse absolue. Pourquoi absolue?
Parce que pour moi, il fait un cercle qui se boucle, certainement pléonasme, un cercle doit être fermé mais bon...je me comprends.
Il y a tant à débattre, à apprendre dans ce texte.
La poésie, car la poésie ( comme on l'entend) est omni-présente.
Une richesse de vocabulaire. La connaissance des lieux. Et puis, après la réflexion sur l'origine de la vie, la place de la femme, la vision du monde, des relations entre homme et femme. Et plein de choses encore, ce texte mériterait d'être un sujet d'explication de texte philosophique.
Vraiment chapeau. mais je ne suis pas surprise, dès votre premier texte paru, il y a tant d'années maintenant, je vous avais dit la richesse de votre écriture, et bien sûr, ma surprise de lire vos fêlures puisque vous abordiez votre personnalité.
modifié: Et oui, votre dernière phrase peut choquer les occidentaux que nous sommes, mais n'oublions pas, qu'il y a d'autres civilisations, et nous sommes minoritaires, cette dernière phrase est un vaste sujet.
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J'aime beaucoup ce poème, sa simplicité renforce l'émotion.
Juste au lieu " d'inondant" ( car j'évite les participes préents) j'aurais écrit " inondait".
Vous avez le don de me toucher.
Merci à vous.
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Merci pour le sourire occasionné et les reflexions aussi.
Oui " repos éternel" sous entendrait que la vie ne l'est pas, un repos, un long fleuve tranquille et je dirais heureusement.
Quant au repos éternel, façon de dire, ou plutôt de nier le " néant" que l'on a de la peine à imaginer. Ah! oui, j'oubliais que l'on pourrait aller au paradis, ou en enfer. Par les temps de canicule que nous subissons,que j'ai beaucoup de peine à supporter, cela ne me tente pas; La paradis? Retrouver toutes les personnes que je n'ai pas aimées, cela ne me tentent pas non plus; Te retrouver encore, et pouvoir converser je suis d'accord, mais dans l'immensité, comment nous retrouver?
Le néant me parait légitime.
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Un titre comme tu les affectionnes, et que j'affectionne moins, car tu utilises beaucoup; Que mon avis.
Tu as je crois des hexasyllabes.
Alors cela te fait écrire
"On le saura jamais"
Du langage parlé, mais en écrit,cela me choque, et tu fais une faute pour respecter la versification régulière.
Un choix, que je respecte, mais qui ne me plait pas.
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Je reconnais le travail de ce poème. Pour la forme, beau travail, la césure, les rimes riches.
La première strophe:
"Je suis resté rivé devant l’immense bleu
De l’œuvre monochrome
Qui m’a soudain capté comme capte le feu
Mais je ne suis qu’un gnome."
Je la trouve "faible" par rapport aux autres, le premier vers ( il est vrai que je suis sensible aux premiers vers qui donnent je trouve le ton- ici d'actualité puisque l'on parle de bleu) avec un verbe être, après deux fois le verbe capter, certainement fait exprès, et le mot gnome, rime riche et pas facile, mais que je trouve difficile à voix haute.
Le poème ne me touche pas, mais peut-être parce que je me suis focalisée sur la forme.
modifié pour faute ortho
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Une histoire réservée aux mecs? J'ai pas compris grand chose, ni où vous vouliez en venir.
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Vraiment du bel ouvrage etsur la longueur. Bravo.
Je ne suis pas spécialement fan de Lamartine, trop romantique, tout comme votre poème. Je préfère le vôtre.
Mon commentaire était un peu court,je conçois; Votre poème utilise un vocabulaire recherché, mais sans emphase.
Les strophes sont égales en qualité, le trait ne semble pas forcé, les vers coulent, on ne ressent pas la recherche pour la forme ( gage de qualité) et si je les aime toues, la dernière, plus simple peut-être me touche particulièrement.
1 page
Un récit animalier, une tragédie, rivalité homme-nature, et un dernier paragraphe rédigé commeune fable, style que vous affectionnez et maîtrisez si bien.
3 pages
J'ai lu d'une traite, et je ne regrette pas; L'histoire est bien racontée,presque un huit clos; Documentée,comme dab et ORIGINALE! Une chute, que je n'avais pas prévue, bravo.
Oui, elle vous plaisait bien n'est-ce-pas? Enfin le héros! Un peu de courage, que diable! Les femmes aiment être abordées, mais si! Bon d'accord, à mon âge, à part pour me demander l'heure, ou alors, où se trouve le rayon des biscottes...
Mais il ya une phrase qui est vrai malhuereusement, et que je déplore:
"Les femmes quant à elles s’en agaçaient et ne laissaient rien passer."
Je trouve qu'on le voit moins dans la gente masculine.
J'ai beaucoup aimé, mais comme dab!
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Que dire?
La forme est parfaite, la ballade invite. Beaucoup de douceur, de rêverie, d'amité complice dans ce poème.
Mais il ne me séduit pas, pourquoi?
Il est trop parfait, il me manque une ptite flamme d'un je ne sais quoi; Enfin si, je le sais, il n'est pas en vers libres. Du joli travail,donc un j'aime, qui serait assorti si cela existait d'un petit moins
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Je ne sais pourquoi j'ai pensé immédiatement à Théodore Monot.
Ce texte est d'une richesse absolue. Pourquoi absolue?
Parce que pour moi, il fait un cercle qui se boucle, certainement pléonasme, un cercle doit être fermé mais bon...je me comprends.
Il y a tant à débattre, à apprendre dans ce texte.
La poésie, car la poésie ( comme on l'entend) est omni-présente.
Une richesse de vocabulaire. La connaissance des lieux. Et puis, après la réflexion sur l'origine de la vie, la place de la femme, la vision du monde, des relations entre homme et femme. Et plein de choses encore, ce texte mériterait d'être un sujet d'explication de texte philosophique.
Vraiment chapeau. mais je ne suis pas surprise, dès votre premier texte paru, il y a tant d'années maintenant, je vous avais dit la richesse de votre écriture, et bien sûr, ma surprise de lire vos fêlures puisque vous abordiez votre personnalité.
modifié: Et oui, votre dernière phrase peut choquer les occidentaux que nous sommes, mais n'oublions pas, qu'il y a d'autres civilisations, et nous sommes minoritaires, cette dernière phrase est un vaste sujet.
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