Au début, les chapitres partent sur un bout de chanson, les deux premiers, et après ça rentre tout de suite dans le parcours. J'ai trouvé ça trop bref souvent, et à un moment, il est écrit à peu près : je m'y connais en élevage d'animaux, sauf que c'était à peine évoqué auparavant. Il y a quelques anecdotes mais cette histoire d'animaux, ça aurait pu rajouter un peu d'épaisseur, et il doit y en avoir d'autres sans doute, comme la musique qui est un peu présente au début à travers les paroles de chanson, mais après ça devait être des punks sourds, ta bande :) Je me dis aussi qu'il n'y a pas d'autres noms que le votre, et j'imagine que c'est à cause des contextes difficiles ou de la pudeur juste envers des amis ou connaissances, c'est pas facile de raconter directement un bout de sa vie, mais du coup, c'est assez froid. Il n'y a pas du tout de "pathos", de formule pour tirer les larmes, y'a un peu d'humour parfois, de la colère aussi, mais ça reste posé même un peu trop comme je disais.
L'histoire se lit bien, assez vite, j'ai du y passer 20 minutes avec ce commentaire, il y a de la marge pour en rajouter si vous voulez.
J'ai eu du mal à différencier les deux personnages, après la première page je n'arrivais plus vraiment à les suivre. la juxtaposition de leurs évocations a été difficile à suivre, j'attendais je crois un déroulement et j'ai plutôt eu l'impression de lire une suite d'invocation. Il y en a un pourtant puisque à la fin les deux personnages se rencontrent, mais ça tombait brusquement pour moi, sans que je sache comment l'histoire en arrivait là.
Peut-être que j'attendais quelque chose de plus didactique, à la façon d'un "conte de fée" plus ou moins, c'est à dire une intrigue, des personnages plantés comme pour un récit. Ici, c'est très allégorique, ça m'évoquerait une prose poétique pour le ton au moins.
Le scénario est original. J'ai compris qu'il s'agissait de l'histoire d'une femme qui échappe à un viol (ou pas) et tue son assaillant qui l'aurait drogué, elle se retrouve dans la rue et monte dans un bus dont le conducteur est un ancien criminel sexuel sous traitement, qui l'amène à la police malgré de nouvelles crises de nymphomanie de l'héroïne.
Bref, le violeur est mort, la femme est sauve même si elle aura sans doute un peu honte, pas du viol mais de la suite, et c'est un happy end.
Les "drogues de comportement" font la structure du récit j'ai l'impression, mais la drogue du violeur ne semble pas un "GHB", quelque chose qui agit sur la mémoire de la victime, mais elle semble imaginé depuis les traitement contre les impulsions des criminels sexuels, avec un effet inverse assez déshinibiteurs. C'est peut-être un "viagra pour femmes" plutôt que le GHB.
L'écriture m'aurait déçu dans un recueil de nouvelles, c'est assez confus et "surjoué" à mon goût fréquemment. Il y a un certain rythme mais il devient presque un défaut, il serait trop monocorde, il manquerait de nuance : j'ai lu sans entrave mais je devais souvent à l'entrée d'un paragraphe me revisualiser ma lecture précédente, j'ai été encombré du "plan de la ville" par exemple, les personnages semblent dans un environnement connu alors que comme lecteur, j'étais comme un touriste devant son plan, du moins pour certains passages.
PS : argh, je raconte "tout", ça peut déplaire, je repasserai pour effacer au besoin.
J'ai eu l'impression que le poème faisait un lien entre un paysage et des souvenirs, avec aussi l'intervention de l'heure du jour pour ce prisme, ce "crépuscule" qui donne le titre au poème. j'imagine que c'est un parallèle aux "heures de la vie", le crépuscule évoquerait plus ou moins la mort ou ses prémices. Un peu comme avec les saisons où le printemps fait la jeunesse et l'hiver la vieillesse, fréquemment en poésie.
En fait, le souvenir n'apparait pas et ça ne semble pas le but de le raconter, le poème ferait plutôt un "mode d'emploi" d'écriture, comme s'il parlait des conditions d'écriture, de ce que l'imagination invente du décor. Il y a des allusions à l'écriture avec les mots "stylo" et "majuscules" et des interprétations allégoriques du paysage, les "deux ailes de brumes" seraient sans doute "les longs bras des âmes floues" mais le portrait ne va pas plus loin.
L'espoir final, par rapport au titre, ça serait sans doute l'aube ou l'aube de quelque chose, d'une nouvelle séance d'écriture ou d'un nouvel entretien avec ses souvenirs peut être.
Au final, j'ai l'impression que le poème "le dit au lieu de le faire", les vers se succèdent mais ne s'enrichissent pas les uns les autres à mon goût. Il y a un peu de musique mais c'est plutôt pictural, je verrais trop vaguement un tableau fantastique mais il y a peu de contrastes, de dégradés, ou d'autres effets picturaux justement.
Ah, on dirait un pamphlet contre le monde moderne, une allégorie des dangers des logiciels propriétaires qui envahissent le quotidien. Je serais peut-être un peu sévère en critiquant la chute, ce mot de passe qui arrive comme un "deus ex machina", enfin un petit diable plutôt en l’occurrence, ce n'est pas un problème de crédibilité mais plutôt de "brusquerie", ça viendrait trop vite boucler la boucle, en me laissant une impression de facilité, par rapport à ce qui précède. L'histoire se pose très bien, j'ai suivi sans problème l'aventure du vaisseau et de son technicien qui tente de le sauver.
Je dois aimer vos titres par ce que je n'ai pas chercher ce texte dans votre profil mais parmi la SF, alors que j'ai commenté un de vos poèmes juste avant (à moins que ce poème que j'ai cru commenté n'ai jamais existé ?! "Boileau", "à cause d'un alex'", non... j'irai vérifié)
J'ai bien aimé le ton, dès le début je le trouvais assez proche des écrits de Poe, Lovecraft ou Jules Verne, comme marqué par l'époque du début du siècle dernier, ça a capturé mon attention efficacement, et je ne suis pas déçu du scénario, dont je trouve aussi la trame "d'époque", avec une certaine "naïveté", un refus de la surenchère gratuite je veux dire, quelque chose de très direct : un rêve, un doute, et l'atmosphère seule pour lancer tout ça (sans passage Gore, ou héroïne "potiche" pour se taper le héros, etc.)
J'ai des réserves : d'abord, l'abus de références, avec Maupassant, Pierre pelot et Polansky, ça tourne au chaperonnage de catherinette, et en plus, au moins pour les deux derniers, ça semble une excuse pour ne pas décrire véritablement les scènes, en tout cas, c'était une frustration pour ma lecture. Sinon, il me semble que l'histoire du magnétoscope pourrait être plus concise, le style me semblait patiner un peu sur la fin (Il regarde, il prend la télécommande, ça téléphone, il garde la télécommande... bref, je n'ai pas mimer le héros en lisant, mais je le suis d'une certaine manière et ça me semblait tourner à une drôle de gymnastique). Le ton que je trouvais, début 20ème ou années 30, il doit être un plus ancien que l'époque fictive du récit, comme je l'imagine au final (c'est aussi à cause du magnétoscope, je crois, l'objet "date" le récit sur le tard, au début, il y a juste des avions).
Une narratrice vraiment bien campée, c'est marrant parce que malgré tous les détails sur sa "monstruosité", à plusieurs reprise je me suis sentis "grosse". C'est très humain en fait comme récit, j'ai trouvé, il y a de vieilles ficelles immergées dans un contexte très proche, avec cette geek qui passe sur VDM :) La vieille ficelle, ça serait juste de dénoncer le regard du lecteur lambda en incarnant ce qui peut lui faire détourner le regard, et en rendant cela attirant d'une certaine manière, mais c'est toujours un ressort efficace.
J'ai préféré la seconde histoire, même si au final, on ne verra pas ces "censu-rats", qui sont de véritables rats grignotant les fils et détectant les connections. Ça fait un peu comme un James Bond où le héros se ferait descendre par la première sentinelle rencontré dans sa première mission, c'est assez frustrant. Même sans en faire un super héros, il aurait pu être sauvé, un peu comme l'anti-héros du film Brazil, mais d'ailleurs, il rêve celui-là, il n'est pas vraiment sauvé.
La première histoire rejoint un peu les angoisses de la guerre froide, ça doit dater des années 70 la peur de la guerre bactériologique.
Je regrette un peu le personnage-narrateur unique dans les deux. Le second rôle, c'est le secret du récit captivant je crois, le point de vue indirecte sur le héros pour le mettre en valeur.
J'ai cru un moment qu'il y aurait une histoire avec le chien de la dame qui précède le héros pour faire la queue au téléporteur : comment ça se passerait si une puce de l'animal venait à se mêler de la démolécularisation ? Mais je crois que ça m'est insinué cette histoire par ce détail et l'allusion au film "La mouche". De même pour le passage sur la comparaison entre téléportation et crainte des ogm, au passé dans le contexte, qui donne un peu de profondeur.
L'humour est assez bon vivant : "Je la connaissais comme si elle m'avait fait." c'est limite un peu gros et comme il n'y a qu'un personnage/narrateur, je me demandais si ça allait être tout le long de cette veine-là, mais non, c'est assez sobre et efficace, l'humour n'est pas le seul ressort du texte.
8 pages
Salut,
Au début, les chapitres partent sur un bout de chanson, les deux premiers, et après ça rentre tout de suite dans le parcours. J'ai trouvé ça trop bref souvent, et à un moment, il est écrit à peu près : je m'y connais en élevage d'animaux, sauf que c'était à peine évoqué auparavant. Il y a quelques anecdotes mais cette histoire d'animaux, ça aurait pu rajouter un peu d'épaisseur, et il doit y en avoir d'autres sans doute, comme la musique qui est un peu présente au début à travers les paroles de chanson, mais après ça devait être des punks sourds, ta bande :) Je me dis aussi qu'il n'y a pas d'autres noms que le votre, et j'imagine que c'est à cause des contextes difficiles ou de la pudeur juste envers des amis ou connaissances, c'est pas facile de raconter directement un bout de sa vie, mais du coup, c'est assez froid. Il n'y a pas du tout de "pathos", de formule pour tirer les larmes, y'a un peu d'humour parfois, de la colère aussi, mais ça reste posé même un peu trop comme je disais.
L'histoire se lit bien, assez vite, j'ai du y passer 20 minutes avec ce commentaire, il y a de la marge pour en rajouter si vous voulez.
3 pages
J'ai eu du mal à différencier les deux personnages, après la première page je n'arrivais plus vraiment à les suivre. la juxtaposition de leurs évocations a été difficile à suivre, j'attendais je crois un déroulement et j'ai plutôt eu l'impression de lire une suite d'invocation. Il y en a un pourtant puisque à la fin les deux personnages se rencontrent, mais ça tombait brusquement pour moi, sans que je sache comment l'histoire en arrivait là.
Peut-être que j'attendais quelque chose de plus didactique, à la façon d'un "conte de fée" plus ou moins, c'est à dire une intrigue, des personnages plantés comme pour un récit. Ici, c'est très allégorique, ça m'évoquerait une prose poétique pour le ton au moins.
5 pages
Le scénario est original. J'ai compris qu'il s'agissait de l'histoire d'une femme qui échappe à un viol (ou pas) et tue son assaillant qui l'aurait drogué, elle se retrouve dans la rue et monte dans un bus dont le conducteur est un ancien criminel sexuel sous traitement, qui l'amène à la police malgré de nouvelles crises de nymphomanie de l'héroïne.
Bref, le violeur est mort, la femme est sauve même si elle aura sans doute un peu honte, pas du viol mais de la suite, et c'est un happy end.
Les "drogues de comportement" font la structure du récit j'ai l'impression, mais la drogue du violeur ne semble pas un "GHB", quelque chose qui agit sur la mémoire de la victime, mais elle semble imaginé depuis les traitement contre les impulsions des criminels sexuels, avec un effet inverse assez déshinibiteurs. C'est peut-être un "viagra pour femmes" plutôt que le GHB.
L'écriture m'aurait déçu dans un recueil de nouvelles, c'est assez confus et "surjoué" à mon goût fréquemment. Il y a un certain rythme mais il devient presque un défaut, il serait trop monocorde, il manquerait de nuance : j'ai lu sans entrave mais je devais souvent à l'entrée d'un paragraphe me revisualiser ma lecture précédente, j'ai été encombré du "plan de la ville" par exemple, les personnages semblent dans un environnement connu alors que comme lecteur, j'étais comme un touriste devant son plan, du moins pour certains passages.
PS : argh, je raconte "tout", ça peut déplaire, je repasserai pour effacer au besoin.
1 page
Bonjour Jodelle,
J'ai eu l'impression que le poème faisait un lien entre un paysage et des souvenirs, avec aussi l'intervention de l'heure du jour pour ce prisme, ce "crépuscule" qui donne le titre au poème. j'imagine que c'est un parallèle aux "heures de la vie", le crépuscule évoquerait plus ou moins la mort ou ses prémices. Un peu comme avec les saisons où le printemps fait la jeunesse et l'hiver la vieillesse, fréquemment en poésie.
En fait, le souvenir n'apparait pas et ça ne semble pas le but de le raconter, le poème ferait plutôt un "mode d'emploi" d'écriture, comme s'il parlait des conditions d'écriture, de ce que l'imagination invente du décor. Il y a des allusions à l'écriture avec les mots "stylo" et "majuscules" et des interprétations allégoriques du paysage, les "deux ailes de brumes" seraient sans doute "les longs bras des âmes floues" mais le portrait ne va pas plus loin.
L'espoir final, par rapport au titre, ça serait sans doute l'aube ou l'aube de quelque chose, d'une nouvelle séance d'écriture ou d'un nouvel entretien avec ses souvenirs peut être.
Au final, j'ai l'impression que le poème "le dit au lieu de le faire", les vers se succèdent mais ne s'enrichissent pas les uns les autres à mon goût. Il y a un peu de musique mais c'est plutôt pictural, je verrais trop vaguement un tableau fantastique mais il y a peu de contrastes, de dégradés, ou d'autres effets picturaux justement.
3 pages
Bonjour,
Ah, on dirait un pamphlet contre le monde moderne, une allégorie des dangers des logiciels propriétaires qui envahissent le quotidien. Je serais peut-être un peu sévère en critiquant la chute, ce mot de passe qui arrive comme un "deus ex machina", enfin un petit diable plutôt en l’occurrence, ce n'est pas un problème de crédibilité mais plutôt de "brusquerie", ça viendrait trop vite boucler la boucle, en me laissant une impression de facilité, par rapport à ce qui précède. L'histoire se pose très bien, j'ai suivi sans problème l'aventure du vaisseau et de son technicien qui tente de le sauver.
7 pages
Re salut Marc,
Je dois aimer vos titres par ce que je n'ai pas chercher ce texte dans votre profil mais parmi la SF, alors que j'ai commenté un de vos poèmes juste avant (à moins que ce poème que j'ai cru commenté n'ai jamais existé ?! "Boileau", "à cause d'un alex'", non... j'irai vérifié)
J'ai bien aimé le ton, dès le début je le trouvais assez proche des écrits de Poe, Lovecraft ou Jules Verne, comme marqué par l'époque du début du siècle dernier, ça a capturé mon attention efficacement, et je ne suis pas déçu du scénario, dont je trouve aussi la trame "d'époque", avec une certaine "naïveté", un refus de la surenchère gratuite je veux dire, quelque chose de très direct : un rêve, un doute, et l'atmosphère seule pour lancer tout ça (sans passage Gore, ou héroïne "potiche" pour se taper le héros, etc.)
J'ai des réserves : d'abord, l'abus de références, avec Maupassant, Pierre pelot et Polansky, ça tourne au chaperonnage de catherinette, et en plus, au moins pour les deux derniers, ça semble une excuse pour ne pas décrire véritablement les scènes, en tout cas, c'était une frustration pour ma lecture. Sinon, il me semble que l'histoire du magnétoscope pourrait être plus concise, le style me semblait patiner un peu sur la fin (Il regarde, il prend la télécommande, ça téléphone, il garde la télécommande... bref, je n'ai pas mimer le héros en lisant, mais je le suis d'une certaine manière et ça me semblait tourner à une drôle de gymnastique). Le ton que je trouvais, début 20ème ou années 30, il doit être un plus ancien que l'époque fictive du récit, comme je l'imagine au final (c'est aussi à cause du magnétoscope, je crois, l'objet "date" le récit sur le tard, au début, il y a juste des avions).
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Bonjour Marc,
J'ai lu dépit' et répit' du fait de la présentation, et le "à cause d'un Alex'" rendait aussi le ton humoristique je crois :)
9 pages
Bonjour,
Une narratrice vraiment bien campée, c'est marrant parce que malgré tous les détails sur sa "monstruosité", à plusieurs reprise je me suis sentis "grosse". C'est très humain en fait comme récit, j'ai trouvé, il y a de vieilles ficelles immergées dans un contexte très proche, avec cette geek qui passe sur VDM :) La vieille ficelle, ça serait juste de dénoncer le regard du lecteur lambda en incarnant ce qui peut lui faire détourner le regard, et en rendant cela attirant d'une certaine manière, mais c'est toujours un ressort efficace.
4 pages
Bonjour,
J'ai préféré la seconde histoire, même si au final, on ne verra pas ces "censu-rats", qui sont de véritables rats grignotant les fils et détectant les connections. Ça fait un peu comme un James Bond où le héros se ferait descendre par la première sentinelle rencontré dans sa première mission, c'est assez frustrant. Même sans en faire un super héros, il aurait pu être sauvé, un peu comme l'anti-héros du film Brazil, mais d'ailleurs, il rêve celui-là, il n'est pas vraiment sauvé.
La première histoire rejoint un peu les angoisses de la guerre froide, ça doit dater des années 70 la peur de la guerre bactériologique.
Je regrette un peu le personnage-narrateur unique dans les deux. Le second rôle, c'est le secret du récit captivant je crois, le point de vue indirecte sur le héros pour le mettre en valeur.
4 pages
Bonjour,
J'ai cru un moment qu'il y aurait une histoire avec le chien de la dame qui précède le héros pour faire la queue au téléporteur : comment ça se passerait si une puce de l'animal venait à se mêler de la démolécularisation ? Mais je crois que ça m'est insinué cette histoire par ce détail et l'allusion au film "La mouche". De même pour le passage sur la comparaison entre téléportation et crainte des ogm, au passé dans le contexte, qui donne un peu de profondeur.
L'humour est assez bon vivant : "Je la connaissais comme si elle m'avait fait." c'est limite un peu gros et comme il n'y a qu'un personnage/narrateur, je me demandais si ça allait être tout le long de cette veine-là, mais non, c'est assez sobre et efficace, l'humour n'est pas le seul ressort du texte.
Un bon petit moment de lecture, merci.
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