Regarder vers l'avant.
T'ai-je déjà cité de mot de Dickens : "accroche ta douleur à ton dos, elle te portera loin." ?
Et déjà dans le fait de l'écrire ; l'écrit est salvateur, il nous met en accord avec nous-même.
En tant que chti, j'ai beaucoup apprécié le tout ainsi que la touche de folie tourbillonnante. L'auteur assailli par tous ses personnages, c'est pas mal.
Difficile, hein, biloute, d'écrire le chti afin d'essayer de rendre les sons car c'est à 99% oral ! Je parle d'expérience sur ce point.
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J'y vois plutôt toute la misère de la dépendance, ici si bien exprimée. Merci, Jean-Ba.
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Prendre conscience du ciel obscur pour apercevoir enfin l'étoile.
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Une manière un peu foutraque de traiter d'une actualité. On sourit volontiers.
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peut-être moins d'intellectualisation et plus vivre l'instant et ses petites joies. :)
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Grand sourire de feu ma houppette à mes chaussette. Mention spéciale pour les fesses à la retroussette. :)
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Ne serait-ce pas un tantinet pessimiste ? Il reste les yeux rieurs ou sourieurs et ... le toucher ; ensuite chacun de se passer le gel... :)
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J'aurai intercédé de la même manière : en emportant son handicap ailleurs, Syrius en a laissé un grand au cœur de son amie.
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Regarder vers l'avant.
T'ai-je déjà cité de mot de Dickens : "accroche ta douleur à ton dos, elle te portera loin." ?
Et déjà dans le fait de l'écrire ; l'écrit est salvateur, il nous met en accord avec nous-même.
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J'y vois un acte de foi, l'amour qui demeure, uniquement positif car dégagé du charnel, post mortem.
De bien belles métaphores.
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En tant que chti, j'ai beaucoup apprécié le tout ainsi que la touche de folie tourbillonnante. L'auteur assailli par tous ses personnages, c'est pas mal.
Difficile, hein, biloute, d'écrire le chti afin d'essayer de rendre les sons car c'est à 99% oral ! Je parle d'expérience sur ce point.
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