Merci Mary pour ces voeux d'un monde meilleur.
J'ai bien aimé cette pique à l'égard des puissants :
"dont la magique sève déplaît au capital"
Bonne année à toi aussi, prends bien soin de toi.
Il faut avoir vécu la chaleur de Nice la belle pour comprendre l'effroi de la voir ainsi vidée de sa substance.
Toujours un immense plaisir de te lire Mary. Bravo !
Ma femme me demande : "A quoi penses-tu ?" à quoi je réponds : "Je ne pense pas et quand je pense, c'est à rien ".
Sur ce, je file à la cuisine achever de faire la vaisselle et là, je pense, donc j'essuie.
Encore une perle, Mary !
Le malheur veut que les "quelques uns qui prônent le dialogue" comme dit Claudine sont bien démunis devant la foule des autres.
En observant ces belliqueux, on se demande que faire et on n'a le choix qu'entre regarder impassibles ou ... leur rentrer dedans.
Cruel dilemme.
Ce poème me touche profondément.
Quand je me retourne et que je vois le gâchis de mon passé, j'ai aussi envie de fuir vers des ailleurs plus glorieux, mais on ne peut se défaire des valises de l'enfance ou du passé.
Il nous reste le temps de la réflexion pour tamiser les souvenirs et en extraire le peu de joie et de bonheur que l'on a tout de même pu propager autour de nous, ce qui adoucira notre départ.
Ah que ça fait du bien de revenir lire d'aussi belles choses Mary.
Comme beaucoup, j'adore les coquilles, joli clin d'oeil et puis j'aime ces petits gastéropodes, oh non pas pour les manger, mais parce que ce sont des bestioles sympathiques qui sont d'ailleurs le fier emblême de la ville de Namur d'où je suis originaire !
1 page
Merci Mary pour ces voeux d'un monde meilleur.
J'ai bien aimé cette pique à l'égard des puissants :
"dont la magique sève déplaît au capital"
Bonne année à toi aussi, prends bien soin de toi.
2 pages
Il faut avoir vécu la chaleur de Nice la belle pour comprendre l'effroi de la voir ainsi vidée de sa substance.
Toujours un immense plaisir de te lire Mary. Bravo !
1 page
Toujours aussi alerte Mary.
Vraiment c'est un délice de te lire.
Comme Dany, j'apprécie les coquelicots qui crient de couleur !
1 page
Quel terrible vérité !
On a beau se retourner et se retourner encore, le malaise est général.
Il faut être solide pour ne pas craquer !
3 pages
Ma femme me demande : "A quoi penses-tu ?" à quoi je réponds : "Je ne pense pas et quand je pense, c'est à rien ".
Sur ce, je file à la cuisine achever de faire la vaisselle et là, je pense, donc j'essuie.
1 page
Encore une perle, Mary !
Le malheur veut que les "quelques uns qui prônent le dialogue" comme dit Claudine sont bien démunis devant la foule des autres.
En observant ces belliqueux, on se demande que faire et on n'a le choix qu'entre regarder impassibles ou ... leur rentrer dedans.
Cruel dilemme.
1 page
Ce poème me touche profondément.
Quand je me retourne et que je vois le gâchis de mon passé, j'ai aussi envie de fuir vers des ailleurs plus glorieux, mais on ne peut se défaire des valises de l'enfance ou du passé.
Il nous reste le temps de la réflexion pour tamiser les souvenirs et en extraire le peu de joie et de bonheur que l'on a tout de même pu propager autour de nous, ce qui adoucira notre départ.
1 page
Cruel dilemme ! On voudrait bien, mais on peut pas, on oserait bien, mais on sait pas et la nature malmenée nous secoue dans ses sanglots.
1 page
Quelle tristesse d'avoir dû contempler les fugaces splendeurs de ce beau moi de mai comme des passagers confinés derrière les vitres d'un TGV.
1 page
Ah que ça fait du bien de revenir lire d'aussi belles choses Mary.
Comme beaucoup, j'adore les coquilles, joli clin d'oeil et puis j'aime ces petits gastéropodes, oh non pas pour les manger, mais parce que ce sont des bestioles sympathiques qui sont d'ailleurs le fier emblême de la ville de Namur d'où je suis originaire !
Page suivante