C'est entre cri de vie et cri de l'à quoi bon, entre révolte merde et merde et abdication zut de zut, parce que quand la douleur rencontre l'incompréhension, on ne sait même plus ressentir ce qu'on éprouve. C'est "ça" que je lis ici. Et donc, forcément, comme en plus et malgré tout, c'est si bellement écrit, ça pince le coeur.
Il y a un petit côté "ancien pas si loin" qui est charmant.
Le tout est assaisonné à la sauce du jour avec un rythme vif dans l'écriture. (autrement dit aussi, mais pas seulement : je ne me suis pas ennuyée, ce qui est un record).
Parfois, j'ai hésité pour retrouver qui était qui, mais ce n'était pas suffisamment lourd pour me faire passer l'envie (donc : j'a suivi l'histoire).
J'ai eu l'impression que le texte a été écrit en plusieurs temps.
L'écriture est "moderne" (pour l'instant, je ne trouve pas mieux), les dialogues (ce qui n'est pas évident) sont bien pliés.
Je vois aussi des pensées (du narrateur) très "justes". Ex :
"J’étais le meilleur ! Bien sûr !
Je ne parviendrais jamais à convaincre.
J’ai répondu au mail, accusant réception, remerciant Sandra et l’équipe complète. J’aurais voulu lui confier quelques mots avant cette rencontre de septembre, je me sentais oppressé."
Globalement : c'est un récit qui mériterait une relecture parce qu'il a de la portée et qu'avec un peu de revisite, il serait plus fameux qu'il ne l'est, ce qui est déjà pas mal !
Ici, marcher ressemble à une métaphore : avancer, bercer et chérir ses désirs, grandir et découvrir, pour ne pas que la solitude éteigne la flamme. J'aime ce poème, merci DAMY :-)
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Oui eh bien c'est superbe. Voilà. Le titre n'est pas glamour mais la chute du poème le justifie. Merci Jérémie :-)
Amélie Gahete le 11 avril 2021 à 19h01
2 pages
Chapeau. Le résultat est drôle, loufoque, et forcément, musical. Merci V9v :-)
Amélie Gahete le 6 avril 2021 à 9h44
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Très très bon. Chaque lumière ici est contrebalancé par son ombre, les formulations renvoient à des images précises, justes. Merci Damy :-)
Amélie Gahete le 6 avril 2021 à 9h42
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Eh ben ! C'est pas gai gai mais c'est drôle drôle ! Il y a des tournures bien ficelées et l'oeuf est tout mignon ! Sympa, l'ensemble !!
Amélie Gahete le 3 avril 2021 à 12h27
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Tu nous avais avertis : pas gai. :-) :-) Mais très beau, fluide aussi ce qui ne gâte rien :-)
Amélie Gahete le 3 avril 2021 à 12h25
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A la fois délicat et précis, mais cette précision, plutôt que d'enfermer le poème, ouvre grand les portes à l'émotion. Très beau.
Amélie Gahete le 3 avril 2021 à 8h47
2 pages
C'est entre cri de vie et cri de l'à quoi bon, entre révolte merde et merde et abdication zut de zut, parce que quand la douleur rencontre l'incompréhension, on ne sait même plus ressentir ce qu'on éprouve. C'est "ça" que je lis ici. Et donc, forcément, comme en plus et malgré tout, c'est si bellement écrit, ça pince le coeur.
Amélie Gahete le 29 mars 2021 à 18h54
71 pages
Bon... alors.... :
Il y a un petit côté "ancien pas si loin" qui est charmant.
Le tout est assaisonné à la sauce du jour avec un rythme vif dans l'écriture. (autrement dit aussi, mais pas seulement : je ne me suis pas ennuyée, ce qui est un record).
Parfois, j'ai hésité pour retrouver qui était qui, mais ce n'était pas suffisamment lourd pour me faire passer l'envie (donc : j'a suivi l'histoire).
J'ai eu l'impression que le texte a été écrit en plusieurs temps.
L'écriture est "moderne" (pour l'instant, je ne trouve pas mieux), les dialogues (ce qui n'est pas évident) sont bien pliés.
Je vois aussi des pensées (du narrateur) très "justes". Ex :
"J’étais le meilleur ! Bien sûr !
Je ne parviendrais jamais à convaincre.
J’ai répondu au mail, accusant réception, remerciant Sandra et l’équipe complète. J’aurais voulu lui confier quelques mots avant cette rencontre de septembre, je me sentais oppressé."
Globalement : c'est un récit qui mériterait une relecture parce qu'il a de la portée et qu'avec un peu de revisite, il serait plus fameux qu'il ne l'est, ce qui est déjà pas mal !
Amélie Gahete le 28 mars 2021 à 19h33
2 pages
Excellente et réjouissante cette histoire !!
Amélie Gahete le 27 mars 2021 à 17h54
1 page
Ici, marcher ressemble à une métaphore : avancer, bercer et chérir ses désirs, grandir et découvrir, pour ne pas que la solitude éteigne la flamme. J'aime ce poème, merci DAMY :-)
Amélie Gahete le 27 mars 2021 à 7h39
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