Nous sommes nés pour mourir, juste le temps d'un battement d'aile et l'on tire sa révérence. Reconstruis-toi et reviens à nous. Fais en sorte que ce battement d'aile dure une éternité.
Heureusement les enfants ignorent qu'en débarquant dans ce monde leur temps est déjà compté. Et si la mort n'était pas cette certitude à laquelle on croit? Cela serait merveilleux, car nous pourrions poursuivre le cours de notre vie avec l'insouciance du nouveau né.
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Nous sommes nés pour mourir, juste le temps d'un battement d'aile et l'on tire sa révérence. Reconstruis-toi et reviens à nous. Fais en sorte que ce battement d'aile dure une éternité.
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Heureusement les enfants ignorent qu'en débarquant dans ce monde leur temps est déjà compté. Et si la mort n'était pas cette certitude à laquelle on croit? Cela serait merveilleux, car nous pourrions poursuivre le cours de notre vie avec l'insouciance du nouveau né.
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C'est magnifique. Je me suis reconnu dans ce poème.
Merci Marietta pour ce moment de lecture. Un des meilleurs. Un moment de grâce.
Bravo !
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Très bien écrit. Une perle cette Amélie!
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Je suis passé une fois devant chez Gégène du côté de Marnes la vallée, mais c'était fermé. Bourvil ne s'y trouvait plus...
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Quelle joie d'avoir eu une mère qui puisse inspirer des sentiments aussi purs.
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Finalement, tu es plus heureuse que le connard qui râle sur son transat dans les Caraïbes parce que son verre de ponch à 100$ n'est pas frais assez !
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Toujours une très belle narration. Je sais, je me répète, un texte extrêmement plaisant à lire.
Merci Amélie
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Ouais ! Tu écris, et c'est peu de le dire ! Chaque mot percute, touche, force l'admiration.
Merci Bruno
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Ah ces souvenirs, comme tu sais si bien les faire revivre. C'est un genre que tu maîtrises à merveille. Ce pourquoi j'aime te lire.
Merci Marietta
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