Triptyque d’un soir – Chapitre 3 : Sautée au pas, au galop aussi…

Je n’en revenais pas. Je ne croyais pas Maude si pute. J’étais scié en deux ! Luc m’avait parlé de ses charmes et de son aisance au plumard mais là, personne ne m’avait fait une telle pipe ! Une salope pareille, je n’avais jamais croisée. Quel contraste avec ma conne de femme que je venais de larguer. Une gourde à côté d’elle !

Les jambes encore en flanelle, je repris mes esprits et j’eus envie de l’embrasser alors que Luc sortait de nouvelles bouteilles du frigidaire qui dégueulait de bières glacées. Il y avait à boire pour tenir un siège !

Je caressai les seins de Maude et je décidai de continuer de la dessaper pour lui mater le derrière. J’avais peur qu’elle ne change d’avis ou que Luc stoppe son jeu qui visiblement le dépassait.

Quel cul elle avait cette gonzesse ! Je rêvais de la coucher sur le ventre et d’y glisser ma langue bien profond. J’avais envie de l’enculer !

Mes yeux la gobaient, la léchaient de partout. Je n’avais jamais vu un corps si beau. C’était la première vraie blonde que je m’envoyais, que je pouvais toucher et caresser. Ses petites lèvres ressemblaient à des ailes de papillons. Un papillon que je savais éphémère mais dont j’allais bien profiter !

Alors, je me mis à ignorer complètement la présence de mon copain Luc et j’eus soudain l’envie de la faire jouir à mon tour. J’avais besoin d’enfourner ma bouche dans cette touffe jaune trempée qui sentait l’amour, la forcer à grimper aux rideaux. Baiser bestial, invasif. J’avais hâte que ma queue se rendurcisse pour lui donner du plaisir. Je rêvais d’être en elle et de la violenter un peu. La bousculer et lui donner ce qu’elle voulait ! De la bonne baise ! Du cul sans limite.

Du plaisir, elle se mit à nous en demander. Tour à tour, elle guida nos bouches vers son entrecuisse. Très directive la chaudasse !

Elle n’étouffa pas ses cris comme dans la voiture. Je pus découvrir ses vocalises. Une sacrée chanteuse !

J’adorai le goût de sa chatte. Je crus bien pouvoir m’y noyer.

Elle ne voulut pas qu’on s’arrête alors nous descendîmes quelques bières de plus et elle recommença à dresser nos tiges et taquiner notre virilité. Elle sut comment nous donner l’envie de se dépasser. Elle était vautrée sur le canapé et nous scrutait en se touchant.

Ses yeux se posèrent sur moi et elle lâcha un ordre qui nous surprit :

« Baisez-moi ! ».