Résumé de l'oeuvre
« La littérature est l’essentiel, ou n’est rien. Le Mal – une forme aiguë du Mal – dont elle est l’expression, a pour nous, je le crois, la valeur souveraine. Mais cette conception ne commande pas l’absence de morale, elle exige une "hypermorale" »
(Avant-propos de La littérature et le mal, G. Bataille).
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