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Navigation : Lecture libre > Action, aventure, polars > Policier et Roman noir > Nouvelles noires (recueil VVNN)

Nouvelles noires (recueil VVNN)

Couverture de l'oeuvre
  • Catégorie : Action, aventure, polars > Policier et Roman noir
  • Date de publication sur Atramenta : 6 janvier 2015 à 21h43
  • Dernière modification : 3 avril 2019 à 16h03
  • Longueur : Environ 78 pages / 27 515 mots
  • Lecteurs : 174 lectures + 212 téléchargements
Par Vis9vies
  • 356 oeuvres en lecture libre
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Œuvre publiée sous licence CC0

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Nouvelles noires (recueil VVNN)

Sous le grand if

 

Mon Choupinou. Tu veux bien que je m’assoie à côté de toi ? … Ça ne fait rien. Je sais que tu fais la gueule et que tu ne me répondras pas. T’as toujours tiré la tronche dès que les évènements refusaient de s’adapter à ta conception du monde et ce n’est pas aujourd’hui que ça va changer, hein ? Bon, je ferai mon monologue tout seul comme un grand ! Tu ne m’en voudras pas…

Tu ne trouves pas qu’on est bien tous les deux sous le grand if, avec ce soleil de fin d’hiver qui annonce l’exubérance du printemps ? Regarde toutes ces fleurs autour de nous qui déposent les couleurs de l’arc-en-ciel à nos pieds ! N’est-ce-pas magnifique ? Il fait encore un peu froid, mais rassure toi, je n’en ai pas pour très longtemps.

Tu t’en doutes, c’est la dernière fois que je prends le temps de me justifier. Avec un peu de chance, cela te permettra de tirer définitivement un trait sur notre histoire. Elle n’avait pas trop mal commencé, notre histoire, quand on y repense. Il y a un peu plus de quatre ans… Quatre ans, déjà. Comme le temps passe vite ! Tu t’en souviens ? Nous nous étions rencontrés en décembre. Tu cherchais un cadeau pour ta petite nièce et moi aussi. On a commencé à échanger nos points de vue et avons fini par aller prendre un verre…

La fin d’année nous a donné l’occasion de passer le réveillon ensemble avec un tas de copains, et nous avons fini tous les deux, isolés du monde, les yeux dans les yeux, et plus… affinités aidant ! Je t’avais offert ce parfum de Cacharel, à la couleur de ta passion et à la fragrance de ta sensualité. Amor amor. Tu as continué de le porter avec bonheur durant les années qui ont suivi. Pour nous, j’ai surtout vu Amor Fati. On ne s’est pas vraiment posé de question. Notre destinée nous emportait. À force de nous envoyer des SMS à longueur de journée, nous avons conclu rapidement qu’il serait plus intelligent de rester ensemble. Tu as décrété que nous emménagerions dans un duplex pour la Saint-Valentin. Je n’ai rien trouvé à y redire ! Nous avons dormi dans un appart vide ou presque. Un réchaud, deux assiettes, deux bols, deux fourchettes, quelques provisions et juste un matelas sous la couette. De vrais amoureux !

Par la suite, tu as toujours souhaité fêter les Saint-Valentin comme un anniversaire de mariage. Celle qui a suivi le début de notre vie commune annonçait de grands bouleversements. Tu portais Bastien et nous savions que nous serions débordés dans les mois à venir. Ce fut un jour tout en tendresse, comme l’une de ces journées volée au temps avant de plonger dans les remous de l’existence. La suivante, tu ne l’as voulue que pour nous. Depuis presqu’un an Bastien était devenu le centre du monde et nous n’arrivions plus à nous retrouver. On a collé Bastien pour quelques heures chez tes parents qui en étaient ravis, et nous nous sommes offerts une soirée en amoureux avec resto et spectacle. Tu rayonnais. Tu avais remis cette petite robe rouge qui laissait tes épaules nues, et qui faisait croire à tous ceux qui te voyaient que tu étais une star de cinéma. Nous étions jeunes à nouveau. J’en garde un très beau souvenir.

Pour notre quatrième Saint-Valentin, je suis désolé de te dire ça, mon Choupinou, je crois que nous formions déjà un vieux couple. Nous avions laissé Bastien chez tes parents et avons pris trois jours au bord de la mer. Tu te rappelles ? Un temps pourri. Il pleuvait et le ciel restait chargé de grisaille. Nous avons assez peu parlé et nos propos n’étaient que des phrases vides lancées pour nous rassurer sur notre avenir. Nos éclats de rire sonnaient parfois comme du cristal fêlé, mais l’important était de sauver les apparences. Nous pensions tous les deux sincèrement qu’il ne s’agissait que d’une baisse de régime, une période transitoire nécessaire avant de nous adapter à une vie stable. Je pense que nous avions tous les deux un peu peur de ça, justement. D’un avenir plan-plan. Mais nous étions aussi persuadés que notre amour saurait balayer tous les tracas du quotidien. On se trompe parfois, même sur des sentiments importants… Tu connais cet air célèbre : « ♫ L’amour est enfant de bohème ; il n’a jamais, jamais connu de loi… ♫ tou-dou-dou-dou… ♫ prends garde à toi. Prends garde à toi ! »

Notre dernière Saint-Valentin, c’était hier. Tu n’as pas raté ton coup ! Tout le monde était là. Nos amis, la famille et même cet hurluberlu de Jean-Chri qui d’habitude est en train de parcourir les quatre coins de la planète ! Tu as dû être contente de tous les voir… Oui, tout le monde était là… sauf Julien. Il m’avait proposé de venir mais je lui ai dit que je ne préférais pas. Pour toi.

C’est pas la peine de te retourner… Il faut bien qu’on en parle, de Julien, puisqu’il est le sujet de nos discordes !

Tu ne peux quand même pas me reprocher d’avoir découché. En trois ans de vie commune, je n’ai même pas regardé une fille ! Je n’avais que toi dans les yeux. T’en es consciente, au moins ? Jusqu’à ce projet de jardin expérimental. Et je ne t’ai rien caché. Au début… Je t’ai parlé de Julien dès le premier jour, mais tu écoutais à peine. Tu parlais d’aller voir tes cousines avec Bastien dans le Limousin, et tu savais très bien qu’en tant qu’architecte sur ce nouveau dossier, je ne pourrais pas prendre de vacances avec toi. Le mois d’août, pour moi, serait synonyme de boulot. T’étais d’accord avec la prime que ça pouvait nous rapporter mais pas question de sacrifier tes vacances, hein ? Excuse… C’est la rancœur. En attendant, c’est bien grâce à toi que j’ai pu connaître Julien. Lui, le « jardinier », comme tu disais avec ironie. Le concepteur d’espaces verts, je te rappelle. Rien à voir avec un jardinier ! Pour essayer de le rabaisser à ce point, il fallait que tu pressentes déjà un danger… Ça n’a pas été compliqué : tout seul dans un appart en plein mois d’août, il y a de quoi devenir cinglé ! Alors, quand Julien m’a proposé de venir chez lui en attendant ton retour, j’ai pas hésité. En plus, je n’étais plus qu’à dix minutes du chantier. C’était tout bénef, sans compter sa piscine. On s’entendait super bien. Dès le premier contact. Un vrai pote. Avec lui, je me sentais apaisé. C’était bien plus facile pour bosser le soir.

C’est quand tu es rentrée que j’ai senti le vide laissé par son absence. En trois semaines, passées si vite, j’avais pris mes marques naturellement et, en me retrouvant dans l’appart, je tournais en rond. Heureusement, la rentrée scolaire t’a reprise dans ton métier d’instit et Bastien, jugé précoce, expérimentait la maternelle. J’ai pu revoir Julien dans la journée. Les soirs, tu me reprochais d’être dans la lune. Je te disais que j’étais à fond dans le projet d’architecture. Les soirées étaient terriblement longues. J’avais un besoin viscéral de sa présence. Ce n’était pas sexuel, mais seulement physique. Un besoin impératif de sentir que son espace se mêlait au mien. Des atomes crochus qui se cherchaient et qui pleuraient de solitude. Même toi, tu ne m’avais jamais fait ça. Pas comme ça. On peut dire que cette constatation m’a travaillé ! Surtout qu’il n’y avait rien entre lui et moi. Pas de contact portant à confusion, pas de parole suggestive. Rien qu’une estime réciproque. Quand il était là, je me sentais intelligent et mon travail avançait à grand pas. Dès qu’il n’était plus là, j’étais comme perdu. Pour moi, il était devenu un ami. Un très bon ami, dont je n’arrivais plus à me passer. Je sentais bien que quelque chose clochait. Je me suis mis à fantasmer… Tu as dû le sentir puisque c’est à partir de ce moment que tu as commencé à me faire des reproches. La seule excuse que je trouvais était de te dire que ce projet me pompait toute mon énergie…

La seconde erreur que tu as faite a été de partir, encore seule, durant les vacances de Toussaint. Stage de méditation suivi d’une cure de thalasso. Tu disais en avoir besoin. Je veux bien le croire car je devais être invivable. Bastien chez tes parents, comme d’habitude. J’en ai parlé à Julien qui m’a de nouveau invité chez lui. J’allais voir Bastien deux à trois fois par semaine. Je n’ai pas pu en dire autant de toi…

Je savais qu’en allant chez Julien, il allait forcément se passer un truc. Il fallait que je crève l’abcès et je sentais que lui aussi en avait conscience. Je n’étais pas très à l’aise, mais je me disais qu’après ça, la situation aurait au moins le mérite d’être claire. Les premiers repas ont été tendus. Il me fixait longuement sans dire un mot et je piquais du nez dans mon assiette pour éviter son regard. Jusqu’au jour où il m’a demandé à brûle-pourpoint si j’avais déjà couché avec un mec. J’te dis pas comme j’étais mal ! Je n’avais jamais envisagé ce genre de relation avant de le rencontrer. On s’est expliqués et on a reconnu qu’il fallait que l’on arrête de tourner autour du pot, qu’on avait une attirance indéniable l’un pour l’autre. Il ne s’est rien passé d’autre ce jour-là. Mais après, ça allait mieux. Il n’y avait plus d’électricité dans l’air. J’étais à fond dans la réalisation de l’étude et mes sentiments ne me prenaient plus la tête. Et un soir, ça s’est fait. Très simplement. Sans gêne, comme si ça allait de soi. Et la vie a continué avec des vibrations différentes, plus belles, plus intenses. J’ai vraiment eu l’impression d’avoir trouvé ma place.

Je sais que tu n’arrives pas à me comprendre, mais ça ne se commande pas, l’amour. Il y a quelque chose de physique qui se passe ; il n’y a pas que la raison et l’éducation qui dirigent nos sentiments. Si encore tu ne m’avais pas suivi ! Et surtout, surtout, si seulement tu ne m’avais pas posé d’ultimatum ! On n’en serait pas là. Tu crois pas ? J’aurais pu essayer de mener une double vie. Pour toi, pour Bastien. Mais non ! T’as piqué une crise. Je l’ai vue venir quand tes yeux bleus ont viré au gris, comme un ciel d’orage qui s’annonce. « Un mec, un vrai, c’est un type responsable qui s’occupe de sa famille, pas un enculé ! » Que tu disais, comme si t’y connaissais quelque chose. Vulgaire, en plus. Ça, encore, j’aurai pu passer dessus. Mais quand t’es montée dans la chambre de Bastien en disant que tu prenais ses affaires et que vous partiriez tous les deux loin de moi, là, je n’ai pas pu laisser faire. Tu te rappelles ? T’étais comme une furie à déballer son placard à la recherche de ses vêtements. J’ai tenté de t’arrêter mais tu t’es débattue. C’est là que tu as décidé de prendre la fuite. « Je m’en vais ! J’te supporte plus ! » Et tu t’es précipitée en dehors de la chambre. Je t’ai rattrapée sur le palier mais tu étais dans une rage folle ! Tu as même écrasé le pistolet en plastique que Bastien aimait tant et qui accompagnait sa panoplie de cow-boy. Tu me diras, depuis le temps que tu disais qu’il ne fallait pas apprendre la violence aux enfants en leur offrant des jouets débiles… Bref, c’est après ça que tu as dégringolé les escaliers plus vite que prévu.

C’est toi qui es partie. Tu te rends compte maintenant, que, là où tu vas, tu ne pourras pas emmener Bastien ? C’est dur pour Bastien, mais il a encore son papa qui veille sur lui. Et Julien est d’accord pour qu’on essaie de vivre tous ensemble dans sa grande maison. Tu sais, Bastien, il aura un grand jardin pour jouer, et sera aussi bien élevé par deux hommes qui l’aiment que par un homme et une femme qui se déchirent. Tu ne crois pas ? Et puis j’ai promis à tes parents qu’ils pourront continuer de le garder à la sortie de l’école. Je pense que ça se passera bien.

Je te laisse. J’ai déjà trop abusé de ton temps. J’aime bien ce bel if planté par ton aïeul en l’honneur de sa femme Maryvette. Il disait qu’elle et l’arbre avaient les mêmes racines et la même âme sombre, que leurs peaux laissaient sur la langue la même âcreté. Un comique, ton arrière-grand-père ! Je crois qu’on se serait bien entendu tous les deux. Ah, Choupinou, j’espère que tu ne m’en veux pas pour ce croche-pied que je t’ai fait en haut de l’escalier ? À la police et à la morgue, j’ai dit que tu avais trébuché contre le canard à bascule de Bastien…

Bisou, mon Choupinou.

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Table des matières

  1. Recueil VVNN Env. 1 page / 10 mots
  2. Note liminaire Env. 1 page / 268 mots
  3. Bo Env. 5 pages / 1498 mots
  4. Le petit oiseau Env. 4 pages / 1310 mots
  5. Labyrinthe Env. 6 pages / 2039 mots
  6. Comme une orange piquée de clous de girofle Env. 4 pages / 1373 mots
  7. Les mecs ! Env. 4 pages / 1202 mots
  8. Sous le grand if Env. 7 pages / 2307 mots
  9. Défi Encre Noire, une petite vengeance personnelle Env. 11 pages / 3610 mots
  10. Subversion Env. 10 pages / 3099 mots
  11. Le Prix Plumes de Merle Env. 3 pages / 1065 mots
  12. 18, rue de Chatillon Env. 3 pages / 851 mots
  13. Encre en sang Env. 2 pages / 740 mots
  14. Hard Env. 1 page / 183 mots
  15. J’ai fait le boulot ! Env. 5 pages / 1714 mots
  16. Des vacances, enfin ! Env. 3 pages / 984 mots
  17. Le prix des bottes de sept lieues Env. 10 pages / 3282 mots
  18. La dernière chance de Marcel Guignon Env. 5 pages / 1665 mots
  19. La fille du bout d’la rue Env. 1 page / 315 mots
/ du chapitre 8 sur 19
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