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Mon 11 septembre.
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- Catégorie : Littérature générale > Nouvelles
- Date de publication sur Atramenta : 17 août 2013 à 9h33
- Dernière modification : 23 août 2013 à 18h48
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- Longueur : Environ 5 pages / 1 447 mots
- Lecteurs : 14 lectures
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Mon 11 septembre.
Diwan Berthion
Mon 11 septembre.
La terre, la planète qui nous accueille depuis peu, est malade.
Elle est rongée par un mal sournois qui, petit à petit réduit à néant son formidable potentiel à donner la vie. Telle une pomme rongée par des asticots elle dépérit, et présente çà et là des marques indélébiles qu’a laissé le parasite qui la colonisé.
Aussi petit et vulnérable ce parasite colonisateur est terriblement envahissant et agressif, il est capable des pires machinations pour arriver à ses fins.
La terre est malade de l’homme.
L’homme n’est rien sur terre, à peine une portion congrue, microscopique vermine. Sans la terre l’homme est perdu, dans un avenir proche il le constatera, en attendant « l’espèce humaine » s’entretue, se massacre pour des petits riens, pour des différences d’opinions, de croyance, d’intérêts ou de couleur de peau.
Je pense que sur terre l’homme est la pire des créatures, aucune ne peut la concurrencer en termes de cruauté gratuite, de bêtise, et d’incohérence pure.
À quoi bon se qualifier d’être supérieure quand, incapable de discuter entre eux, tuer celui qui est différent, qui ne pense pas pareil, est la règle.
Bien venu sur terre, profitez en bien, observez bien ce microbe qui ronge la terre car bientôt sa connerie congénitale l’aura tué.
Elle est rongée par un mal sournois qui, petit à petit réduit à néant son formidable potentiel à donner la vie. Telle une pomme rongée par des asticots elle dépérit, et présente çà et là des marques indélébiles qu’a laissé le parasite qui la colonisé.
Aussi petit et vulnérable ce parasite colonisateur est terriblement envahissant et agressif, il est capable des pires machinations pour arriver à ses fins.
La terre est malade de l’homme.
L’homme n’est rien sur terre, à peine une portion congrue, microscopique vermine. Sans la terre l’homme est perdu, dans un avenir proche il le constatera, en attendant « l’espèce humaine » s’entretue, se massacre pour des petits riens, pour des différences d’opinions, de croyance, d’intérêts ou de couleur de peau.
Je pense que sur terre l’homme est la pire des créatures, aucune ne peut la concurrencer en termes de cruauté gratuite, de bêtise, et d’incohérence pure.
À quoi bon se qualifier d’être supérieure quand, incapable de discuter entre eux, tuer celui qui est différent, qui ne pense pas pareil, est la règle.
Bien venu sur terre, profitez en bien, observez bien ce microbe qui ronge la terre car bientôt sa connerie congénitale l’aura tué.
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