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La belle illusion
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- Catégorie : Littérature générale > Romans
- Date de publication sur Atramenta : 13 juillet 2020 à 15h30
- Dernière modification : 20 janvier 2021 à 18h24
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- Longueur : Environ 166 pages / 56 878 mots
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La belle illusion
Inéxorable chute
Les journées de travail se succédaient les unes après les autres, aux rythmes des dossiers en tous genres, des petits aux plus grands accidents de la vie. Certains se plaignaient d’un petit froissement de taule de leur véhicule non remboursé à la hauteur de leur espérance alors que d’autres voyaient le patrimoine de tout une vie s’envoler suite à un incendie, une inondation incontrôlable. Le destin peut nous jouer des tours qui nous échappe totalement comme j’étais moi-même en train de le vivre. J’essayais pour lutter de ne plus penser en enchaînant les clients et en n’oubliant tout ça avec mon ami anxio. Les doses sont rapidement passées de trois comprimés par jour, à quatre, cinq et encore plus si j’étais harcelé par mes fantômes aux visages et silhouettes féminines. Ils ressemblaient tous à Laurence où Mathilde, mais avec des formes et caractères différents selon les jours. Par instants ils pouvaient m’insulter, m’agresser, me culpabiliser, ou tout au contraire, essayer de me séduire, de me réconforter, ce qui me torturait encore davantage. Pendant la semaine, je parvenais certains jours à éviter mon ami Jack comme pour prouver à mes ex, qu’elles avaient eu tort, que je maîtrisais bien la situation. Cela devenait sans que je veuille l’admettre, de plus en plus difficile. Un soir après le travail alors que j’étais exténué par une journée compliquée et assaillie de ruminations incessantes, j’ai commencé par retourner au café une fois puis deux, trois, et presque tous les jours. Le week-end je sortais beaucoup, j’évitais de fréquenter les lieux dans lesquels on allait avec Mathilde. La douleur était trop vive et je craignais qu’en la revoyant cela soit encore plus difficile. J’allais au café seul, parfois je parvenais à m’initier dans des conversations, à faire connaissance avec les habitués des lieux, mais progressivement, Jack me voulait que pour lui. J’ai fini par me retrouver presque toujours seul, en face de mon verre, qui se vidait chaque jour un peu plus vite. Tu me remontais assez bien le moral au début puis progressivement les choses ne faisaient qu’empirer. Je me sentais encore plus mal. La nuit je faisais toujours plus de cauchemars et mon deuxième ami, avait de plus en plus de mal lui aussi à m’aider. Au petit matin mon énergie semblait se vider comme une pile qui se décharge toujours un peu plus et cette culpabilité qui se collait à moi comme la sueur de mon corps que je ne parvenais plus à évacuer. J’arrivais de moins en moins à me regarder dans la glace sans une forme de dégoût. J’avais du mal à reconnaître l’homme qui avait séduit Laurence puis Mathilde. Je m’efforçais tant bien que mal de continuer à aller au travail mais mes petites absences, mes erreurs, devenaient de plus en plus fréquentes. Mon médecin traitant devenait plus réticent pour me renouveler les prescriptions. Il pensait que cela était déraisonnable de continuer à prendre autant d’anxiolytique et surtout sans amélioration. L’anti dépresseur qu’il m’avait prescrit il y a 15 jours n’avait rien amélioré et surtout il ne faisait pas très bon ménage avec mes deux amis ce qui me conduisit à l’arrêter. Il aurait sûrement été préférable d’arrêter mes deux autres potes ! Il insistait maintenant pour que j’aille voir un psychiatre. Mais pour quoi faire, je ne me sentais pas déprimé comme l’avait été maman. D’ailleurs en parlant de maman, cela faisais plusieurs mois que je ne l’avais pas vu. Je n’avais plus beaucoup le temps et lors de ma dernière visite on s’était disputé. A vrai dire, c’est surtout moi qui me suis énervé au sujet de médicaments qu’elles m’avaient vu prendre dans la pharmacie. Ce n’était pas grand-chose pourtant, juste quelques mots me mettant en garde sur le risque de prendre trop de médicaments et le besoin de me faire aider. Cela a suffi à me mettre en colère et je suis partis sans donner plus aucunes nouvelles et ne plus répondre à ses appels téléphoniques.
Lisa avait réussi brillamment son bac avec mention très bien, ce qui la motivait pour aller en fac de Médecine. Elle faisait ces études à Besançon et continuait à rentrer tous les soirs chez maman en bus, en attendant d’avoir son permis. Elle ne voulait pas prendre un appartement en ville, de peur de laissé maman seule. Pendant ce temps-là, je m’enfermais sur moi-même avec mes deux amis et laissait ma petite sœur gérer la situation. J’étais le grand frère et je ne faisais rien pour l’aider, tout au contraire. Je savais que maman sortait d’une période difficile et je ne faisais rien pour améliorer les choses. Un jour Lisa et même passée à la maison. J’ai regardé par l’œilleton de la porte et comme j’étais trop défoncé, je n’ai pas ouvert sans ma poser la moindre question. Égoïstement, je me suis réfugié dans mon univers sans mesurer la souffrance que j’occasionnais sur mes proches.
Au travail la situation se dégradait toujours plus, surtout depuis que Mathilde était partie. Elle avait trouvé un autre poste avec apparemment de meilleures perspectives d’avenir. Elle était partie dans un autre cabinet d’assurance de l’autre côté de la ville. Avant j’essayais de faire bonne figure et faire attention à ma présentation, je n’aurais pas aimé qu’elle me regarde avec dédain, pitié. Tout ça n’a plus d’importance, elle n’est plus là depuis déjà cinq mois. Je pense qu’elle a retrouvé quelqu’un. Je l’ai revu un soir alors que j’étais déjà bien imbibé. Elle était assise en face d’un homme, dans un des cafés du centre-ville où nous allions souvent. Elle semblait heureuse, souriante, comme à son habitude, comme au début de notre relation. J’imaginais qu’elle lui parlait d’avenir, d’avoir une maison, des enfants, de se marier…Comme pris d’un élan subit de lucidité, je mettais dit que nous n’avions jamais évoqué ces questions-là. Notre relation se limitait à vivre au jour le jour sans nous projeter dans l’avenir. Nous n’avions sûrement aucun avenir ensemble ! Il est vrai qu’elle ne m’avait jamais rien promis, mais en même temps, à mesure que notre relation se consolidait, je n’ai rien fait pour lui prouver qu’on pouvait avancer, aller plus loin que ce que nous avions imaginé au début. J’aurais pu lui demander d’avoir un enfant avec moi. Je savais qu’elle commençait pas se poser des questions à ce sujet et qu’elle ne voulait pas comme elle le disait ; « faire un enfant de vieille ». Elle le disait en riant mais elle le pensait sincèrement. Je m’en veux d’être si passif, attendre que les choses me tombent dans les mains, où que l’on décide pour moi. C’est sûrement pour cela qu’avec mes amis Jack et Anxio on s’entend si bien. Je n’ai besoin de prendre aucune initiative, je me laisse porter par leurs effets et c’est eux qui dirigent. C’est curieux, je viens de m’apercevoir que je viens de dire « c’est eux qui dirigent ! ». Je me suis toujours défendu en disant que c’était moi qui avait la maîtrise. Les choses auraient -elles changées ?
Deux mois passait encore et suite à une énième remarque sur mon travail qui ne donnait plus satisfaction, mon patron m’a licencié. Je serais malhonnête de dire qu’il ne m’avait pas prévenu. Il m’avait demandé de me faire soigner et avait de nouveau pointer du doigt ma relation trop fusionnelle avec Jack. Il ignorait que j’avais aussi mon ami Anxio. Il ne savait pas que depuis un certain temps, j’aurai voulu que mes deux potes me laissent un peu respirer, que je puisse sortir, voir du monde, faire des choses sans eux…mais je ne pouvais plus ! Oui, Laurence et Mathilde avaient bien raison ; j’étais bien alcoolique ! Il était bientôt temps que je m’en aperçoive mais surtout que je veuille bien me l’admettre. Le soir je n’arrivais plus à dormir sans eux, et même avec eux, j’arrivais à me réveiller plusieurs fois dans la nuit avec des cauchemars de plus en plus horribles. Je faisais souvent le même. C’est le jour de mes obsèques et je ne distingue pas au début tous les visages ; je vois clairement maman et Lisa qui pleurent, il y a aussi Fabien qui semble aussi très attristé, Gaétan, Christophe, Nathalie, Céline, Christine, tous les amis du Lycée. Plus loin en arrière, se trouve mon père, visage neutre ou rien ne transparaît. Il serait au salon de l’agriculture, qu’il aurait la même présentation. A côte de lui, se tiennent sa femme et leur fille. Enfin, je présume que c’est elle. Puis, toute une foule de personnes que j’ai croisé tout au long de ma vie, comme Madame Dado, mon institutrice du primaire. Elle devait avoir à peine quarante ans, qu’on lui en donnait déjà soixante. Fréquenter les enfants ne permet pas forcément de préserver la jeunesse surtout quand on ne les aime pas. Il y a Monsieur Grandjean, le bon boulanger de mon enfance, qui faisait tant de bons croissants que ce soit au beurre, nature ou au chocolat. Le facteur Legrand ; il portait bien son nom. Il ressemblait à un héron tellement il était mince avec de longues jambes fines. Tante Marthe, tellement austère que je me demande si je l’avais déjà vu rire. Là ce n’était pas le jour. Il y avait aussi des cousins, cousines dont certains que je n’avais pas vu depuis des années. Mes amis d’enfance ; William, Alain, Thierry avec qui j’ai partagé mes années au primaire. Nos parties de foot interminables, nos querelles pour gagner les parties de bille, nos cabanes dans les bois, les rigolades et aussi nos premiers flirts à se disputer le premier bisou de Sophie. Puis une foule d’anonyme ; je n’en connais pas la moitié. Que font-ils là ? Au milieu de cette assemblée ; deux belles femmes, tout de blanc vêtue. Elles portent la même robe et une rose rouge à la main. Au début, je ne perçois pas les visages, puis au fur et à mesure qu’elles se rapprochent de la fosse, je reconnais Laurence et Mathilde. Elles paraissent complices et ont le visage presque livide, comme si c’étaient-elles qui avaient quitté ce monde. En arrivant au bord de la fosse, elles jettent leur rose, puis au bout de quelques secondes, qui semblent être une éternité, les fossoyeurs rebouchent doucement le trou, jusqu’à ce que je ne perçoive plus la moindre source de lumière. Je suis plongé dans un noir si sombre que je ne vois rien. Au bout d’un moment, je me rends compte que mon cœur bat, que je respire, que je peux bouger mais que je ne peux plus sortir. Je suis dans un cercueil enterré, enterré vivant. Je crie de toute mes forces, mais personnes ne m’entend. C’est à ce moment-là que je me réveil tout transpirant. La sueur s’écoule de mon front jusqu’à mes tempes. Mes mains tremblent si fortement que je ne peux même pas empoigner un verre et que l’anxiété me coupe le souffle. Il faut vite que je me relève, que Jack m’aide ou alors Anxio ou les deux à la fois. J’espère juste qu’il me reste une bouteille. Après avoir bu avec grande difficulté, un, deux, trois verres, je me sens mieux. Mes deux amis ne m’aident plus comme je le voudrais. L’apaisement qu’ils me procuraient devient de plus en plus éphémère. Je suis obligé de faire de plus en plus appel à eux pour avoir quelques moments de répit. Depuis la perte de mon travail, je ne vois quasi plus personnes en dehors de celles que je croise pour aller chercher mon pain, faire mes courses. Même au café je n’y vais que très rarement. Jack et Anxio ne laissent plus de place pour personnes. Ils me veulent pour eux seuls et je fini par ne supporter plus qu’eux. J’ai l’impression de changer. Je n’arrête pas de ruminer avec constamment ce sentiment d’échec qui me poursuit et me rend de plus en plus irritable. Chaque début de mois je percevais mon chômage et j’avais alors un peu d’argent, enfin l’illusion d’en avoir. Cet après-midi-là, j’en n’avais profité pour sortir puis rapidement j’étais parti au café. J’avais trop bu et je me souviens que j’avais changé plusieurs fois de bistrot, certainement pour pouvoir continuer à me faire servir. Les verres se sont succédé tout l’après-midi, puis mon cerveau a dû fortement bugger. Je me souviens juste qu’en fin d’après-midi en voulant rentrer chez moi, deux individus m’ont traité d’ivrogne, je ne sais plus pour qu’elle raison et les coups sont partis. Enfin j’ai dû plus en prendre qu’en donner.
Le lendemain matin j’étais sur un brancard et dans un long couloir qui ressemblait à celui d’un hôpital. J’avais mal la tête mais aussi aux côtes. Je pouvais difficilement me tourner et j’avais une forte douleur derrière la tête. Je commençais aussi par ressentir une oppression qui devenait insupportable avec le sentiment que mon corps était pris dans un étau et qu’on s’amusait à serrer doucement. L’angoisse montait, incontrôlable, accompagnée de forts tremblements. J’appelais mais personne ne répondait puis des silhouettes blanches sont venues de je ne sais où. Elles me parlaient et disaient qu’elles voulaient m’emmener mais j’ignorais où ? Elles semblaient menaçantes et il fallait que je m’enfuie, je pouvais plus rester là, mais d’autres arrivaient encore et plus je me débattais, moins je pouvais bouger. Une d’elle avait une sorte de seringue, puis les formes sont devenues de plus en plus floues, jusqu’à ce que je ne perçoive plus rien. Je ne les voyais plus, j’étais dans une sorte d’apesanteur. J’avais l’impression que mon corps flottait et qu’il ne m’appartenait plus. Mon esprit semblait s’égarer je ne sais où et j’ai sombré dans un lourd sommeil onirique. Je revoyais mon père avec ma mère et moi jeune enfant. Il y a longtemps que je ne les avais pas vu ensemble et en plus, la main dans la main. Ils semblaient si heureux, ils s’embrassaient même. Je ne m’imaginais pas que cela avait pu arriver un jour. Moi je souriais, gambadais dans ce grand jardin qui m’était familier, celui de ma belle enfance. Maman me disait de faire attention, de ne pas courir trop vite, puis subitement, aussi rapidement qu’on tourne une page, j’étais avec Fabien. Je n’arrivais pas percevoir où c’était, son visage était si jeune puis il vieillissait rapidement jusqu’à ce qu’il se transforme en un horrible cadavre qui se riait de moi ; « allez viens avec moi, ne résiste pas, ça sert à rien, c’est bien ce que tu veux, non, haha… ». Puis je me voyais sur un lit d’hôpital, j’étais attaché avec l’horrible vision de ses larves, milles pâtes, qui commençaient par doucement se rapprocher de moi, monter sur mon corps et se diriger sur mon visage. Je ne pouvais pas lutter, j’essayais de bouger, fermer la bouche mais j’étais à leur merci. Dieu du ciel, une femme en blouse, on dirait un Docteur qui venais m’aider. Elle était en face de moi, elle me parlait, je lui répondais mais elle semblait ne pas comprendre, puis maman apparaissait avec Lisa derrière elle. Ma douce sœur, elle devait m’en vouloir, elle voulait peut-être se venger. Ah non elle pleurait avec maman, me voilà rassuré, rassu …ré. Je ne pouvais plus garder les yeux ouverts, j’entendais encore quelques voix, on aurait dit qu’elles parlaient de moi. Elles semblaient dire que mon état de santé était inquiétant, que c’était grave, que Jack mais aussi Anxio étaient les responsables de mon état de santé.
Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans cet état-là. J’avais eu l’impression d’avoir mené un dur combat et d’en être sorti vainqueur. Était-ce une victoire ou une simple bataille gagnée ? Je ne savais encore pas ? Ma mère et ma sœur venaient très régulièrement me voir. C’est elles qui m’ont parlé de cette période-là et qui m’ont dit par la suite que j’étais resté comme ça pendant trois semaines. J’ai aussi par bride quelques souvenirs de cette horrible expérience. Je me souviens certains cauchemars qui semblaient réels et peut-être l’était-il ? Je ressens encore ce sentiment de vide, de solitude, où personne ne pouvait m’aider sauf la présence de maman et Lisa que j’arrivais à percevoir à certains moments de lucidités. Après trois nouvelles semaines d’hospitalisations, je suis enfin sortie. Tant bien que mal, j’ai fini par écouter le conseil du médecin et je suis parti quelques jours chez maman pour poursuivre ma convalescence. Rien n’avait changé. Ma chambre était restée la même. Mon grand lit en sapin marron clair grinçait toujours autant, le sommier ne s’était pas arrangé avec le temps. Mon poster de Madonna à côté de mon armoire avait un peu jauni mais elle était restée toujours aussi jeune. Je la gardais auprès de moi, je n’avais qu’à tourner la tête sur ma droite et elle était à mes côtés. Une femme que j’avais réussi à maintenir auprès de moi, au prix d’une vie figée sur un papier glacé comme mes vielles photos de mes ex compagnes. C’est tout ce qu’il me restait d’elles. De l’autre côté du mur, un vieux poster avec toutes mes stars hollywoodiennes masculines ; John Wayne, Marlon Brandon, Paul New man, Steve McQueen. Que des hommes qui symbolisait la virilité, la force, le charisme ; tout le contraire de moi ! Au fond de la pièce, en face de ma tête de lit, mes stars de tennis ; John McEnroe, Jimmy Connors, Mats Wilander. Toute mon adolescence et avec mes souvenirs de matchs contre Thierry. C’était quelqu’un de sympa, mais sur le cours, il devenait insupportable. Il n’acceptait pas de perdre et pouvait être de mauvaise foi pour gagner le point. Bien souvent je finissais par céder. Il donnait l’impression de jouer sa vie sur le court alors que pour moi, c’était juste un jeu. Sur ma petite bibliothèque, quelques bibelots comme des soldats de plomb, qui me rappelait qu’a un bref moment de ma vie, j’avais pensé faire une école militaire. J’ai fini par ne même pas faire l’armé ; réformé pour pied plat. Je n’étais ni content ni malheureux, contrairement à de nombreux appelés qui auraient aimé être à ma place. Chez maman, je retrouvais le réconfort, la sécurité de la famille. Maman semblait avoir bien récupéré de sa période difficile. Lisa m’avait confirmé cela. Elle n’avait plus de suivi avec le psychiatre mais continuait à prendre son traitement que lui renouvelait le médecin de famille. Lisa était maintenant une belle jeune femme de vingt ans. Une petite brune d’environ un mètre soixante-cinq, cheveux long qui lui retombait au milieu du dos, quand elle ne les attachait pas. Elle avait un visage fin, ovale, yeux bruns. Elle ne ressemblait ni à maman, ni à papa mais avait dû prendre le meilleur des deux. Ça beauté ne se résumait pas qu’a son physique mais à sa personnalité toute entière. Je pense que si maman allait mieux elle y était pour beaucoup, c’est sûr ! En tout cas ce n’était pas grâce à moi ! Elle poursuivait brillamment sa deuxième année de FAC de médecine avec l’intention d’être généraliste.
Table des matières
- Les années Lycées Env. 17 pages / 5775 mots
- Le début d’une relation passionnelle Env. 11 pages / 3648 mots
- Douce descente Env. 5 pages / 1428 mots
- Quand revient l’amour Env. 12 pages / 4011 mots
- A vouloir courir deux lièvres… Env. 16 pages / 5355 mots
- Inéxorable chute Env. 10 pages / 3283 mots
- Lente convalesence Env. 10 pages / 3274 mots
- Le retour à l’emploi Env. 12 pages / 4065 mots
- Le retour des vieux démons Env. 9 pages / 2859 mots
- Ce qui devait arriver… Env. 5 pages / 1661 mots
- Le retour des beaux jours. Env. 12 pages / 3937 mots
- Le jour où plus rien ne sera pareil Env. 18 pages / 6077 mots
- Au fond du trou Env. 13 pages / 4526 mots
- La belle illusion Env. 5 pages / 1486 mots
- Je crois qu’après avoir vu ça… Env. 7 pages / 2229 mots
- L’épilogue Env. 9 pages / 3264 mots
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2 pages -
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- Oeuvre déclarée complète, relue et corrigée par son auteur.
- Défilé de monde
- Christian Granger
- Inclassables