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La belle illusion
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- Catégorie : Littérature générale > Romans
- Date de publication sur Atramenta : 13 juillet 2020 à 15h30
- Dernière modification : 20 janvier 2021 à 18h24
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- Longueur : Environ 166 pages / 56 878 mots
- Lecteurs : 10 lectures + 6 téléchargements
Cette oeuvre est complète, mais a besoin de relecteurs.
La belle illusion
L’épilogue
Depuis la finale, quelques semaines se sont écoulées et après l’euphorie de la victoire, le pays a retrouvé son calme et ces préoccupations quotidiennes. Cette courte embellie a vite laissé place à la morosité, bien aidée par nos économistes qui laissent envisager une sérieuse crise financière internationale. Les Français redeviennent les rois du pessimisme et je dirais, que je n’y fais pas exception. Je vis ma vie, tel un fantôme ou tout semble gris, noir. Les quelques tentatives de me sevrer, ont dû détruire quelques neurones. Je suis spectateur de ma vie, je ne parviens plus en en être acteur. Je divague la majeure partie de mon temps. Je vais encore dans mon petit bistro. L’ambiance est plus calme qu’en Juillet mais il reste toujours quelques habitués. Dani semble m’apprécier. J’aime sa franchisse, il ne se gêne pas pour me dire ce qu’il pense. Il pourrait se contenter de me servir à boire comme tant d’autres, mais il me donne aussi des limites. Pas pour se débarrasser de moi mais je pense pour me protéger. Pour lui je me détruis, il me conseil de me faire aider, de me soigner. Il m’a déjà présenté un client à lui qui est éducateur. On a discuté un peu une fois mais j’en suis resté là. Je n’arrive toujours pas après avoir traversé toutes ces épreuves à me voir sans alcool.
Je retrouve aussi parfois un autre fidèle client. Un vieil homme, enfin il fait vieux mais j’ai dû mal à lui donner un âge. Je dirais plus de cinquante ans par rapport à ce qu’il m’a dit. Comparé à moi, sa vie est une vraie tragédie. A sa naissance sa mère a fait une complication et elle est resté gravement handicapée. Son père ne lui a jamais pardonné et il a fallu qu’il passe son enfance avec cet homme qui le méprisait. Plus tard vers 20 ans, il était tout proche d’un contrat de footballeur professionnel mais un défenseur est venu à jamais briser sa carrière, en même temps que sa jambe droite. Il dit avoir ce jour-là tout perdu. Encore aujourd’hui, il en parle avec tellement d’émotion que j’ai du mal à retenir mes larmes. Depuis plus de trente ans qu’il se vante de picoler.
Il dit que c’est normal ;
- Je m’appelle Lavigne, comment voulez-vous avec un nom pareil que je n’aime pas le vin.
Ne vous y trompé pas, sous son apparence joviale se cache une réelle souffrance qu’il traine derrière lui depuis plus de trente ans. Pour lui son destin est écrit depuis le jour de sa naissance et il s’évertue à bien l’accomplir ;
- Même mon Docteur Mr Laud n’a pas pu me soigner alors vous voyez et en plus ce con quand il m’a envoyé en cure, j’ai eu la chambre 51, comment voulez-vous que je m’en sorte.
Quand il la racontait celle-là, avec son léger accent Marseillais, je peux vous dire que toute l’assemblé présente, ne pouvait s’empêcher de rire. Et en plus il joignait le geste à la parole ce qui rendait la scène encore plus marrante. Au bout d’un moment, Dani finissait par ne plus nous servir et nous demandait gentiment de rentrer chez nous. Je trainais alors parfois dans la rue ou je rentrais chez moi, puis finissait les quelques bières que j’achète à ma petite supérette. Mon ancien voisin n’est plus là, il s’est fait exclure de son logement, il ne payait plus. Je ne sais pas où il est parti, il ne m’a même pas prévenu. Il est parti comme il est arrivé, en ne laissant rien de son passage, si ce n’est que son dernier verre vide.
Dans mes moments de lucidités, je vois bien que je pars à la dérive comme un vieux rafiot qui ne peut plus faire face à la mer, tellement il prend l’eau. Prendre l’eau, l’expression me fait bien rire, moi qui ne bois que de la bière. Pas question en tout cas que je reparte en psychiatrie. Pas une troisième fois. Je mettais pourtant jurer, après ma première hospitalisation de ne jamais y retourner. Il y a un an, je me suis fait ramassé une fois de plus complétement ivre sur la voie publique et j’ai eu droit à un nouveau séjour. Retour à la case départ avec une hospitalisation de presque un mois. Le traitement antidépresseur, anxiolytique, hypnotique me ralentissait tellement dans les débuts que je me trainais comme si j’avais été saoul. C’était presque risible, on entretenait en quelques sortes mon état d’ébriété mais avec les médicaments. Pour être honnête, les inconvénients du traitement se sont progressivement atténués mais j’aime ironiser cet aspect du soin ; vouloir éclipser mon ami l’alcool par les médicaments et mon autre pote anxio. Si Jack était encore là, il n’apprécierait pas du tout ; « ha haha … ». Voilà que je me mets à avoir de l’humour.
A la sortie, il voulait que j’aille voir une association qui s’appelle les alcooliques anonymes. Drôle de nom, j’avais l’impression de devenir un peu plus insignifiant si je traduis par ce synonyme. Il y a bien longtemps, que j’avais l’impression d’être un étranger, vivre incognito. Je n’avais pas besoin d’eux pour ça !
Je suis quand même retourné voir mon psychiatre pour donner le change, des fois qu’un miracle se produise. Il m’avait prescrit un traitement qui s’appelle esperal. Il devait procurer des crises aversives en cas de consommation d’alcool et c’est vrai que ça a marché même un peu trop bien. Je me souviens ce soir-là, après avoir consommé un peu, beaucoup ou plutôt passionnément, cette réaction où j’ai cru mourir. Mon visage s’était mis à rougir au point où j’avais l’impression de surchauffer avec des palpitations tellement importantes que mon cœur semblait être trop à l’étroit dans ma poitrine. J’ai dû finir par m’évanouir et quand je me suis réveillé, j’étais par terre dans ma cuisine avec heureusement aucune blessure apparente. A ce moment-là, j’avais le choix entre continuer le traitement ou reprendre la bière et j’ai choisis la deuxième solution. Quand je vous dis que ma vie est faite de mauvais choix ! Inutile de vous dire qu’après ça, je ne suis plus allé revoir le psychiatre.
Je pense que pour les soins, c’était trop tard pour moi, il y a longtemps que j’avais abdiqué. Il me restait qui, quoi ? je n’arrivais pas à me raccrocher à quelque chose qui aurait pu me détourner du chemin que j’avais pris. Dans ma tête, il y a ces quelques mots qui revenaient maintenant régulièrement, ceux prononcés par Thierry Roland le soir de la finale. Ceux qui vont allusion qu’après avoir vécu cette victoire, on pouvait mourir tranquille. Je crois qu’il avait raison, ce moment-là, a surement été la dernière fois où j’ai ressentis une émotion de joie. Jamais, j’aurais imaginé que ce serait le foot qui me la procurait.
Me voilà à ce fameux soir ; ou seul devant toi, je fais le constat de ta perfidie. Face à face je te dis les choses. Pour l’occasion, je t’ai invité mon vieille ami, mon pire ennemie, mon Jack. J’ai même invité notre vieux pote anxio ; j’en n’ai déjà pris je ne sais pas combien. Je suis inspiré ce soir, j’ai laissé cette lettre toute en poésie, comme pour tirer ma révérence. Mais la tirer à qui ? Je ne sais pas ? Peut-être à Lisa, oui à Lisa, la seule personne qui m’est chère en ce monde. La seule pour qui je dois encore compter.
LENTE AGONIE
Que de trop vagues souvenirs, de ce temps-là.
Où je n’avais pas pensé, être encore là.
De tout ce que j’aurais bien pu imaginer.
Jamais, je n’aurais songé pouvoir me damner.
Ainsi vendre mon âme à une illusion.
Croire, que je contrôle ma compulsion.
Bien longtemps, j’ai pensé conserver la maitrise
De ce fameux ami, qui tramait sa traîtrise.
Je me rappel, les toutes premières années.
Où rien, je ne pouvais faire sans l’emmener.
Trop longtemps, il fut mon compagnon de soirée.
Qui me permettait, de m’amuser, délirer.
Le temps a fini par passer beaucoup trop vite
Je ne comprends pas, tout ce monde qui m’évite
Il me semble, que je suis bien resté le même
Mais moi seul, n’ai pas perçu ce profond abîme
Où minutieusement, je me suis jeté
Sans que personne, ne m’y ai précipité
Chaque jour passé, comme une lente agonie
Maintenant, de moi, on rit avec ironie
Tous mes fabuleux souvenirs, ont laissé place
A ma mélancolie, qui jamais ne se lasse
Me torture, toujours un peu plus chaque instant
Où le présent, ne fait plus parti de mon temps
Dans ma vie, plus la moindre trace de bonheur
Juste un goût amer et sans aucune saveur
Qui me confronte à ma sinistre déchéance
Là, où m’a doucement conduit ma dépendance
Au crépuscule de ma sinistre existence
J’attends sereinement la triste sentence
Celle que je perçois comme une délivrance
Comme ma somptueuse, source de jouvence.
Je suis las de me battre et d’attendre cette sentence inéluctable, où me conduit ma dépendance. Je n’ai plus là force, d’essayer de me contrôler sans y parvenir et toujours continuer à picoler. Toujours ces images du passé qui viennent me hanter. Ma belle vie avec Laurence que j’ai totalement raté, comme si j’avais été pris de démence. Cela me paraît si lointain, que je ne suis même plus sûr, qu’elle ait existé. Pourquoi ? pourquoi ce gâchis que je ne parviens toujours pas à m’expliquer. Y’a-t-il quelque chose à comprendre ? Je ne peux plus me défiler. Jack m’a trahie mais c’est bien moi, en fin de compte le seul responsable. Vous n’êtes pas d’accord avec moi ? Mon esprit se brouille, je me sens bien, je suis prêt. Prêt à quoi ? je ne sais encore pas ? Je me sens apaisé, je me laisse aller. Après un long trou noir qui a duré je ne sais combien de temps, j’ai l’impression que mon corps et balloté, j’entends des voix, on dirait qu’elles sont deux, trois ou plus ? Je perçois maintenant mais pas très distinctement, deux silhouettes, l’une d’elle semble s’acharner sur moi, on dirait qu’elle me frappe alors que l’autre prépare quelque chose, j’ai l’impression que c’est une piqure. Tout est encore floue. Ça y est, je vois mieux, non il ne me frappe pas, il me fait, oui c’est ça, un massage, un massage cardiaque. Je ne comprends pas, je me sens pourtant bien. Il y a bien longtemps d’ailleurs, que je ne me suis pas senti aussi bien. J’ai cette sensation étrange que mon corps ne m’appartient plus, que je suis à l’extérieur de lui, que je survole au-dessus de lui. Je vois cette scène comme si j’étais spectateur, je pourrais presque les aider. C’est bizarre, on dirait que je m’éloigne, que je laisse mon enveloppe charnelle, dénuée de ma substance de vie. Je me vois partir loin, très loin sur cette route serpentée, qui semble prendre tout son temps, pour disparaître dans une vallée verdoyante. Tout au bout, je vois maman, elle est jeune, elle m’attend, elle me tend la main. Il y a bien longtemps, que je ne l’avais pas vu si radieuse. Je devais être un jeune enfant. C’est curieux, je n’avais jamais remarqué ça. Lisa lui ressemble plus que je ne l’avais imaginé. Son sourire n’a pas changé. Elle a toujours ce regard empli de douceur qui vous rassure, vous donne confiance. La première chose que j’avais remarqué quand elle déprimait, c’est ce regard tendre, qui avait disparu mais qu’elle a réussi par la suite à retrouver. Contrairement à moi, elle s’est battu, elle s’en était sortie. C’est ce qui m’était le plus insupportable à accepter. Elle était passé par tant de moment difficile et après avoir retrouvé un certain bonheur, la mort nous l’avait emporté brutalement, sans lui donner la moindre chance. La faucheuse voulait prendre quelqu’un ce jour-là et il me l’a pris injustement. Il aurait pu me choisir moi, plutôt qu’elle, ou alors, il savait déjà que je ne lui échapperais pas, pour très longtemps. Mais là, elle me revenait plus jolie, plus douce que jamais. D’un geste du bras très délicat, elle m’invitait à la suivre. Il y aussi Fabien qui se tient à ces côtés. Lui aussi est souriant, il n’a pas changé. Toujours aussi chambreur ;
- Alors ça fait un moment que je t’attends, tu ne vas pas te dégonfler, allez viens avec nous tu seras bien ici, tu vas voir…
Il n’arrête pas de parler, c’est bien lui. Quand il veut quelque chose, il ne lâche jamais.
Tiens il y a aussi Lisa, je pensais pas la voir, mais elle ne se situe pas au même endroit. Il y a Pierre avec elle. Ils semblent être dans un couloir, ou plutôt une salle d’attente, oui c’est ça, c’est celle de l’hôpital. Lisa est en larmes, j’ai envie de lui crier qu’il ne faut pas, qu’elle ne s’inquiète pas pour moi, je vais bien, mais elle ne m’entend pas. En la regardant de plus près, j’ai l’impression qu’elle a changé physiquement, son ventre est ballonné. C’est bien ça, elle a un petit ventre tout arrondi alors que d’ordinaire elle est toute fine. Suis-je bête, bien sûr, elle doit être enceinte. Ils en avaient déjà tant de fois parlé. Je me demande si c’est un garçon ou une fille. Peu importe après tout, Lisa fera une excellente mère et Pierre un très bon père. Je ne sais pas si je serais là pour la naissance ? Je me demande qu’elle genre de tonton je pourrais être. Nul doute que le Marc d’avant, aurait pu donner quelque chose à cet enfant mais celui que je suis devenu, que pourrait-il lui apporter ?
Au loin, j’ai l’impression de voir une femme qui court toute affolée. Je ne rêve pas, c’est Laurence, c’est bien elle ? Je n’arrive pas à réaliser qu’elle soit là mais cela ne fait aucun doute, elle n’a presque pas changé. La maturité lui va à ravir, toujours ces beaux cheveux blonds. Ils sont plus courts avec maintenant un petit carré qui vient épouser son joli visage, aux traits toujours si parfait. Que fait elle là ? Serait-il possible qu’elle vienne pour moi ? Après toutes ces années, elle penserait encore à moi ? Je n’ose pas imaginer qu’elle ne m’ait encore pas oublié. Tant de fois, j’ai pensé la chercher mais j’ai toujours renoncé. Je ne voulais pas faire obstacle à sa nouvelle vie, je n’en n’avais pas le droit. Peut-être qu’elle n’était pas si heureuse que cela après tout ? Peut-être qu’elle a divorcé ? Et si sa fille était réellement de moi ? J’ai toujours eu ce doute. J’ai toujours regretté le jour de notre dernière discussion et à l’enterrement de maman, de ne pas avoir pu lui parler, lui courir après, la retenir …J’aurais pu prétexter n’importe quoi, la remercier d’être venue et ensuite tout aurait été possible. Fabien avait mille fois raison, encore une fois ! Le pire des choix et celui de ne faire aucun choix et c’est ce que je me suis évertué à faire toute ma vie. Ça y est, j’ai peut-être la réponse à ma grande amitié avec Jack. Il était peut-être que le bon prétexte, pour n’avoir aucune décision à prendre. Je le laissais faire et lui seul, le faisait pour moi. Il savait où il voulait me conduire, si moi, je l’ignorais. Est-il possible qu’elle m’aimait autant que moi et qu’elle ne m’ait jamais oubliée ? Et si en venant aujourd’hui, elle m’offrait une nouvelle chance ? Si tout restait encore possible ? J’ai à peine plus de trente-quatre ans après tout ! On pourrait élever sa fille ou notre fille et avoir d’autres enfants ? Bien sûr, pourquoi pas ? Avec elle aujourd’hui auprès de moi, je me sens capable de dire adieu à jack, anxio, pour toujours. Avec son soutien, je pourrais retrouver du travail. Je n’étais pas si nul dans ce que je faisais, je dirais même que j’étais assez consciencieux et avec plus de confiance en moi, tout serait possible. Ce qui me manquait jusqu’à ce jour, c’était un projet d’avenir mais avec elle, j’en n’ai un et j’ai bien compris, où me menait ma relation avec mes deux amis et pires ennemis. Plus question de leur laisser la moindre place. Enfin, s’il n’est pas trop tard. Combien de fois, j’ai voulu tuer le temps, qui semblait ne pas passer assez vite et voilà qu’aujourd’hui, j’en n’ai peut-être plus assez. C’est bizarre, l’environnement se met à changer comme lors d’une belle journée d’été, qui voit arriver la menace d’un orage. La clarté jusqu’alors de l’hôpital, laisse place à l’obscurité d’un long tunnel.
Je suis dans ce long tunnel sombre et j’avance d’un pas hésitant. Je dois être à peu près au milieu. Je marque un petit temps de pause et je vois une lumière vive à chaque extrémité. D’un côté, il y Laurence, Lisa, Pierre, qui me demandent de revenir vers eux et de l’autre, Maman, Fabien, qui veulent que je les suis. Je ne sais pas quoi faire, je ne voudrais décevoir personne. Je ne sais même pas s’ils sont réels, si c’est vraiment Laurence que je vois. Ce serait vraiment trop beau, j’ai du mal à le croire et pourtant, elle semble bien là, tout comme Lisa et Pierre, qui me demandent de m’accrocher et de ne pas les laisser. Il n’est peut-être pas trop tard pour que je prenne enfin la bonne décision. Ce qui est certain, c’est qu’aujourd’hui je vais suivre mon instinct, commencer par m’écouter. Jack n’a plus aucune influence sur moi, pas plus qu’anxio.
Je vais m’accorder encore quelques secondes de réflexion, fermer les yeux, prendre le temps de respirer d’une profonde et lente inspiration puis expirer très lentement. Écouter mon cœur battre d’un rythme régulier et laisser me guider par ma raison. Faire en un si court instant, la synthèse de ma vie et choisir de continuer où m’arrêter ici. Il y a tant de chose encore à partager, à faire, à construire, que je ne peux en un si bref instant, en établir la liste complète mais aussi tant de douleurs que je ne peux plus supporter.
La lumière s’intensifie, il me faut maintenant prendre une direction, celle que j’aurai choisie.
Table des matières
- Les années Lycées Env. 17 pages / 5775 mots
- Le début d’une relation passionnelle Env. 11 pages / 3648 mots
- Douce descente Env. 5 pages / 1428 mots
- Quand revient l’amour Env. 12 pages / 4011 mots
- A vouloir courir deux lièvres… Env. 16 pages / 5355 mots
- Inéxorable chute Env. 10 pages / 3283 mots
- Lente convalesence Env. 10 pages / 3274 mots
- Le retour à l’emploi Env. 12 pages / 4065 mots
- Le retour des vieux démons Env. 9 pages / 2859 mots
- Ce qui devait arriver… Env. 5 pages / 1661 mots
- Le retour des beaux jours. Env. 12 pages / 3937 mots
- Le jour où plus rien ne sera pareil Env. 18 pages / 6077 mots
- Au fond du trou Env. 13 pages / 4526 mots
- La belle illusion Env. 5 pages / 1486 mots
- Je crois qu’après avoir vu ça… Env. 7 pages / 2229 mots
- L’épilogue Env. 9 pages / 3264 mots
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2 pages -
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- Défilé de monde
- Christian Granger
- Inclassables