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Guerre contre les Majors V 1.9913
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- Catégorie : Littérature générale > Romans
- Date de publication originale : 17/02/2006
- Date de publication sur Atramenta : 25 février 2013 à 21h02
- Dernière modification : 7 avril 2013 à 20h23
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- Longueur : Environ 355 pages / 115 584 mots
- Lecteurs : 557 lectures
- Coup de cœur des lecteurs (×1)
- Mots clés : pamphlet guerre majors
Cette oeuvre est complète, mais a besoin de relecteurs.
Guerre contre les Majors V 1.9913
Pour toujours
17/07/2006, 19:48
Juillet 2015.
Il y a beaucoup de monde aujourd’hui à Magny-cours. C’est le premier « Grand Prix de France » depuis 2011. Petit cadeau américain qui en janvier dernier ont réussi à faire changer le calendrier de la FIA.
La ville est donc occupée par un régiment de chars et un régiment d’infanterie chargés de la sécurité. Un quartier entier a été réquisitionné pour l’hébergement des pilotes durant ces trois jours.
La F1 n’a qu’un sponsor : La « World Company ». Le vieux Bernie Ecclestone est mort en 2009. Certains n’ont pas trouvé sa mort très naturelle, tellement il paraissait immortel et omniprésent. Il luttait contre la World Company mais les sponsors se faisant tous racheter, celle-ci tarissait au fur et à mesure les flots d’argent qui jusqu’à maintenant permettaient à la F1 d’exister.
Le vieux Bernie, requin jusqu’à lors, était devenu mécène pour faire encore rouler une saison de plus ces bolides d’exception. Finalement, la passion était plus importante que l’argent pour lui. Les sommes faramineuses « économisées » toute une vie durant fondirent comme neige au soleil pour garder les fastes habituels. La World Company tenta de ne plus diffuser les grands prix sur les chaînes privées et Bernie traita à perte avec les chaînes encore publiques.
Sa mort en attrista donc plus d’un mais son acharnement à soutenir la F1 contre plus fort que lui auréola sa légende bien au-delà de ce qu’il représentait jusqu’à lors.
Les funérailles furent grandioses et mondiales. Même s’il n’y eu aucun chef d’état, beaucoup de cadres des anciens groupes automobiles et des manufacturiers firent le déplacement. Pas un des pilotes et des mécaniciens des trente dernières années ne fut manquant, mis à part les morts. La World Company diffusa largement les images et dès le lendemain obtint enfin la main mise souhaitée sur les paddocks.
Les onze équipes de deux devinrent donc nationales, rattachées à des directions automobiles locales de la World Company. Ainsi l’émulation dans les usines automobiles pouvait passer par ce sport. Mais il manquait la France, puisque la World Company n’y existait plus.
En décembre 2014, sous incitation américaine, la direction de l’équipe italienne fournit donc à une équipe « française » un moteur V6 version 2012 pour la saison 2014. Ce moteur ne pouvait pas gagner, mais l’équipe de France pouvait faire « bon douzième »
C’est d’ailleurs ce qui se passa pour tous les grands prix. Les deux pilotes français, sympathiques au demeurant, n’étaient pas exceptionnels non plus. Mais en F1, comme dans le reste des sports télévisés, la France occupée revenait par la petite porte.
Sur le plateau de Satory, des ingénieurs français s’occupaient de mettre au point le châssis de la F1. Celui restait un classique « baquet » tape-cul mais ils avaient annoncé un « nouveau modèle » pour le grand prix de France. Peu de détails avaient filtré et quelques vieux aficionados avait honteusement suivi quelques programmes télévisés de l’occupant, espérant dans leur cœur un petit miracle pour cette occasion.
Las, les essais avaient été aussi décevants que d’habitude. L’équipe de France était en onzième et douzième ligne, un concurrent japonais partant des stands suite à un accident en qualification. L’esthétique avait effectivement un peu évolué. Un œil averti aurait remarqué que contrairement aux jours des essais, les ailerons n’avaient pas tout à fait la même position. De même, il aurait été intrigué par les lignes plus agressives du nouveau modèle, des entrées d’air mieux profilées… Il n’aurait pas manqué non plus que les trajectoires lors des essais étaient légèrement différentes que celles de leurs adversaires.
Encore aurait-il fallu aussi que l’équipe de France et ses pilotes bénéficient aussi d’un passage télé plus important. Mais bien sûr, l’équipe américaine était au premier plan, avec l’équipe Brésilienne et l’équipe anglaise. Les équipes allemandes et italiennes faisaient office de outsiders, car historiquement elles représentaient un énorme marché mais la politique de la World Company était tournée vers l’Amérique du Sud et les pays asiatiques.
Il fait chaud en ce dimanche 12 juillet 2015. 145.000 spectateurs ont fait le déplacement pour un circuit prévu à l’origine pour 130.000. Cola et autres sodas coulent à flot. Il n’y a pas d’eau minérale, car la World Company n’a pas pu encore récupérer ses anciennes usines françaises. Actuellement embouteillées par les Français eux-mêmes, leur vente ne rapporterait rien à la World Company. Les boissons sucrées augmentent la sensation de soif et les Français peu habitués à les consommer depuis les mesures draconiennes de santé publique prises en 2013 souffrent et consomment jusqu’à l’écœurement sans pour autant être soulagés.
Le rugissement des moteurs avant le tour de chauffe remplit le public de joie. L’odeur d’essence, d’huile chaude, de caoutchouc brûlé réveille chez les Français peu habitués à utiliser un véhicule polluant individuel des sensations oubliées. C’est le départ du tour de chauffe. Au passage des pilotes français, les rangs des spectateurs se soulèvent et leur clameur fervente parvient à couvrir le bruit des moteurs.
Sous les casques des deux pilotes, il y a aussi beaucoup d’émotion. Les mains tremblent un peu. Les yeux se brouillent un instant. Aujourd’hui, ils vont courir comme jamais. Et pourtant, ce n’est pas leur premier grand prix.
Dans la cohue du départ, les deux pilotes remontent de trois et cinq places grâce à une audace qu’on ne leur connaissait pas dès la sortie d’Estoril, écrasant un peu plus fort le vibreur que les autres, ils se surpassent et le commentateur a même l’impression qu’ils vont faire la course l’un contre l’autre.
Leur accélération est telle qu’avant le freinage à l’épingle d’Adélaïde, ils sont à presque 317 km/h. Le second manque même d’accrocher l’arrière du premier, ce qui fait frémir le public.
C’est vrai qu’entre eux, il y a une petite rivalité. Même amicale, mais c’est la course qui veut ça. Néanmoins dans les coulisses, une autre approche un peu moins sportive leur facilite aussi la chose.
Un semi-remorque mystérieux cache dans ses entrailles une intense activité. Vingt-quatre informaticiens, sous le contrôle d’un inquiétant personnage suivent sur leurs écrans les différentes constantes de chacun des pilotes. Ils ont piraté le réseau wi-fi large bande de chaque écurie, qui permet aux ingénieurs de contrôler électroniquement la voiture.
Depuis trois tours, la deuxième voiture de l’équipe chinoise gêne la première voiture française. Dans la ligne droite, son accélération est donc perturbée et sa « sixième » reste bloquée. Le dépassement est alors facilité pour le français.
Au vingt-cinquième tour, les Français sont respectivement huitième et douzième. Trois voitures ont abandonné. La France songe déjà à un premier point français en compétition. Le premier français ravitaille en un temps record. Le changement de pneus s’est bien passé. Personne n’a remarqué qu’ils étaient un peu différents des pneus normalement fournis pour l’ensemble des concurrents par la World Company. Et personne ne le verra. Car le revêtement un peu spécial est complètement usé au bout de vingt tours. L’usine de Saint-Étienne a bien travaillé sur ce coup-là…
Les ravitaillements se poursuivent et deux leaders n’ont « pas de chance »,perdant de précieuses secondes, l’un à cause d’une pompe à essence qui n’a pas envoyé la quantité programmée de carburant, et l’autre qui cale au moment de repartir, faisant bien rire l’auteur de ce « coup du sort » dans le camion.
Au trentième tour, la voiture du deuxième français sort de la piste au Château d’eau et file dans les graviers. Le silence se fait dans les tribunes puis un soupir de soulagement libère les cris d’encouragement. La voiture n’a pas calé. Elle s’extrait péniblement du piège et retrouve la piste. La Team décide de lui changer les pneus tout de suite et de le charger à fond en carburant pour tenir jusqu’à la fin. Au trente-deuxième tour, réservoir plein, pneus neufs et un petit aileron changé, le français repart pour une remontée homérique.
Une petite japonaise d’une cinquantaine d’année dans le public tremble en regardant sur les écrans géants la folie du français qui a décidé de prendre tous les risques pour rattraper le temps perdu. Il va aussi être favorisé par le sort.
À l’épingle d’Adélaïde, durant le quarantième tour, contre toute attente, le moteur du brésilien, troisième, s’enflamme. Il quitte sa voiture en catastrophe presque à la chicane du Nürburgring et la voiture de sécurité intervient. Forcément, les écarts entre pilotes se réduisent. Entre le premier Français, sixième, et le leader, il n’y a plus que vingt secondes. Le second français, quant à lui treizième n’est plus qu’à une minute.
Au quarante-troisième tour, les fauves sont à nouveau lâchés. Le premier français passe cinquième, puis quatrième. Le second, fougueux, parvient en deux tours à doubler trois concurrents.
Deux français dans les dix premiers, dont un à portée du podium. Dans les tribunes, devant les téléviseurs, c’est l’euphorie. Sur le net, les images sont maintenant diffusées en continu sur plusieurs serveurs. Mais même en supra-net, les Français ne savent pas que les pilotes qui courent ne sont pas ceux qu’ils croient. Mais quelques prénoms oubliés font à nouveau vibrer les chaumières pour comparer les deux pilotes à de prestigieux aînés.
Le secret est bien gardé sur le circuit. Et les troupes américaines ont fort à faire pour contenir la joie des spectateurs qui voudraient se rapprocher déjà des stands pour attendre les deux champions à leur arrivée, quitte à rater quelques tours.
L’ingénieur italien ne reconnaît pas non plus son moteur. Son deuxième pilote vient de se faire doubler à la reprise avant la fin de la ligne droite du Golf par le deuxième français. Et pourtant, sur les graphiques de performance, le français devrait avoir dix pour cent de puissance en moins que le nouveau moteur italien.
Ce qu’il ne sait pas, c’est que des ingénieurs français travaillent depuis six mois sur ce moteur et en ont modifié certains éléments. Il n’a tourné que sur le circuit toulousain ou sur des autoroutes fermées à la circulation pour des motifs anodins. Il a vingt pour cent de performances en plus que l’italien d’origine et la boîte électronique est mieux étalonnée en conséquence.
Au cinquante-deuxième tour, le premier français rattrape le second, de l’équipe américaine. Le premier est aussi un Américain. Le second français lui est septième à 23 secondes.
Il reste encore 18 tours. Il est impossible de rattraper le premier, en tête avec 42 secondes d’avance.
Au tour 54, le français est second et entame une poursuite vouée à l’échec à la « régulière ». Il y a cinquante-deux secondes d’écart avec le premier car l’américain alors second l’a retardé avant qu’il puisse le doubler à hauteur du golf dans une accélération époustouflante. Le freinage a été déclenché électroniquement par la Team car l’ingénieur a hurlé dans le camion à la catastrophe. Les pneus ont maintenant un bon plat chacun, mais l’ABS et l’électronique ont fait leur job. Le pilote, même aguerri, en a quand même eu une sacré émotion. Il est tout de même tancé assez fort dans les oreilles et l’homme à la sucette calme l’ingénieur afin que le pilote puisse à nouveau se concentrer sur la course.
Le second français lui-aussi attaque fort. Il double au Lycée dans le cinquante-cinquième tour, ce qui est plutôt inhabituel et qui ravit les spectateurs qui peuvent voir l’action de visu plutôt que sur les écrans. Au soixante-deuxième tour, il double encore au Golf. Puis au soixante-cinquième tour, dans la chicane d’Immola à la grande surprise de son adversaire qui quitte rapidement la piste pour ne plus y revenir. Il remonte régulièrement sur l’américain qui est troisième.
Les spectateurs retiennent leur souffle. Il est impossible de battre le premier, trop loin. Mais il pourrait y avoir deux français sur le podium. Les américains l’ont compris aussi.
Au soixante-huitième tour, sur les écrans géants, on voit exploser l’aileron avant gauche du second français. Dans le camion, on se repasse l’image au ralenti. Pas de doute, la voiture a été touchée par un projectile. L’aileron n’était pas assez bas pour toucher le sol et ainsi exploser. On a tiré sur une voiture. L’homme à la sucette voit rouge.
Le second américain commence à avoir des mini problèmes pour le ralentir. Ainsi, il va pouvoir être doublé par le pilote français, qui débordant de virtuosité parvient à maintenir son véhicule en piste mieux que lorsque il est en bon état. Une habitude chez lui. Quant à l’américain en tête de la course il va être « touché par le mauvais sort » dans le dernier tour.
L’informaticien hésite. « C’est trop dangereux ! ». Il s’agit de bloquer la boîte en sortie d’Adélaïde. Mais un pilote a un voile noir consécutif au 4.3 G sur le freinage, et il est encore à 80 km/h minimum.
— C’est la guerre » répond L’homme à la sucette. L’informaticien propose le château d’eau. Il y aura un « tout droit » provoqué à la direction durant une seconde qui permettra une sortie de piste sans accident. Il « calera » dans le gravier et la course ne risque pas d’être annulée à cause d’un accident grave. Cette annulation en plus donnerait l’avantage à l’américain.
— D’accord, répond l’homme à la sucette, mais ne le ratez pas.
— Et pour l’autre ?
— Laissez-le arriver troisième. On le verra sur la photo en dessous des deux français.
* *
En effet, à la grande joie du public, le dernier français parvint, avec ses pneus usés et son aileron brisé, à doubler l’américain et à monter ainsi sur le podium. Quand, deux tours plus tard, l’homme qui était en tête, resté sur le sable, regarda passer ses deux adversaires en tête, avec le cul encore dans son baquet bouillant, il en lança au loin, rageusement, le volant qu’il avait à peine décroché. Le drapeau à damier consacra alors les deux français qui firent un long tour d’honneur avant de rejoindre les stands. Ils descendirent de leur véhicule en gardant leur casque.
Passage dans des couloirs. Pesée… Sur le podium, nul ne remarqua qu’aucun des deux Français ne portait sur le visage les stigmates d’une course éprouvante. L’américain, troisième, avait lui une bien triste mine, bien que secrètement, l’absence de son leader le réjouissait.
Dans les stands, deux hommes se changeaient précipitamment, afin que personne de non autorisé ne puisse les voir en combinaison de pilote. Il leur fallait aussi se dissimuler. Leurs visages étaient depuis longtemps trop connus.
Quand le vingt-quatre février dernier, le jour de son anniversaire, il avait vu arriver cet homme des « services officiels » dans sa retraite suisse, il avait pensé à un escroc.
Une longue discussion avait suivi, réveillant de bons comme de mauvais souvenirs. En effet, malgré son âge, synonyme de retraite en France jusqu’en 2008, l’homme avait insisté sur ses qualités de pilote, de mécanicien, puis de meneur d’homme et de chef de projet. Ceci malgré son âge, puisque il lui arrivait encore de piloter sur glace des monstres mécaniques, d’exploser des radars et d’avoir une interdiction de permis à vie en France ? C’est qu’il devait avoir encore de beaux restes.
Ils étaient prêts à lui offrir son deux-centième grand prix, à soixante ans. Tel un Michel Vaillant super résistant, il allait pouvoir redonner des couleurs à la France occupée. Ses arguments sur le soutien qu’il avait eu la dernière fois qu’on était venu le trouver furent balayés par le fanatisme de cet homme qui semblait vraiment croire en lui. À la cinquième sucette, Alain craqua.
— C ’est d’accord. Qui est le second ?
Là, il ne fut pas d’accord tout de suite. « Pas lui. Il y a déjà assez de handicaps pour ne pas avoir à rajouter un baril de poisse… ». Mais il n’avait pas le choix. L’équipe devait être 100% française, pour l’histoire. Les jeunes poulains n’étaient pas si talentueux et ils avaient un emploi du temps peu discret.
Lorsque quinze jours plus tard, il revit Jean, il sut immédiatement que le temps avait tout pardonné et que c’était un ami qui lui avait manqué depuis trop longtemps. La coopération fut complète. L’équipe des techniciens, le secret, les essais… en juin, la voiture aurait été la meilleure du plateau et les trois voitures cassées par son partenaire n’étaient pas à sa charge.
Néanmoins, avec le nouveau simulateur prenant en compte la dernière version, Jean était le meilleur.
Kumiko trouva les deux compères au comble de la joie dans une étreinte virile en rien compromettante. Les deux « papys de la formule 1 » comme ils furent surnommés quelques années plus tard quand leur exploit devint public avaient vibré une dernière fois avec leur bolide. Ils avaient vécu un dernier grand prix exceptionnel et extrêmement dangereux.
— Mon chéri, fit-elle à Jean, j’ai eu si peur quand tu as cassé ton aileron à la fin.
— Mais… Ce n’était pas moi, c’était Alain.
Table des matières
- Préface de Jack Minier Env. 4 pages / 1100 mots
- Présentation par l’auteur (mars 2013) Env. 3 pages / 889 mots
- D. Day Two Env. 4 pages / 1136 mots
- Veille d’élection Env. 3 pages / 790 mots
- Un enlisement perceptible Env. 3 pages / 732 mots
- Fuite à Varennes Env. 6 pages / 1824 mots
- L’Appel du petit Kaporal Env. 3 pages / 645 mots
- La Net Révolution Env. 4 pages / 951 mots
- La cache aux serveurs Env. 5 pages / 1284 mots
- La Campagne de France Env. 4 pages / 1034 mots
- Franck Env. 5 pages / 1399 mots
- Manifestation tragique Env. 4 pages / 1239 mots
- Une défaite sans combat Env. 3 pages / 857 mots
- Contre-Attaque Env. 3 pages / 790 mots
- Brian Env. 3 pages / 958 mots
- Chantage en chanson ou ratage en rançon ? Env. 3 pages / 651 mots
- Véra S. Env. 4 pages / 1164 mots
- Nuit d’amour Env. 2 pages / 373 mots
- L’homme de l’ombre Env. 3 pages / 719 mots
- Le Site Assassiné (Elsa et Christian) Env. 3 pages / 892 mots
- Fusions chaudes Env. 3 pages / 826 mots
- 14 juillet en berne Env. 4 pages / 1329 mots
- Expulsion Env. 3 pages / 976 mots
- Fils de héros Env. 2 pages / 647 mots
- Prise du Net pouvoir Env. 4 pages / 1113 mots
- Épuration idéologique Env. 3 pages / 757 mots
- Supra Net Env. 3 pages / 867 mots
- Enrôlé Env. 4 pages / 1336 mots
- Derrière les barreaux Env. 5 pages / 1482 mots
- Alain Env. 3 pages / 807 mots
- Puces motos à Niort Env. 5 pages / 1312 mots
- Bienvenue Major DAD Env. 4 pages / 1053 mots
- Camps de redressement Env. 5 pages / 1412 mots
- Les DRM passent dans les mœurs Env. 2 pages / 397 mots
- Honneur et décadence Env. 4 pages / 1134 mots
- Manifestations Env. 4 pages / 1093 mots
- Dure journée Env. 4 pages / 1284 mots
- Triste conjoncture Env. 3 pages / 938 mots
- Captivante captivactivité Env. 4 pages / 1182 mots
- Die Hard 2 Env. 3 pages / 787 mots
- Un scénario pour l’été 2007 Env. 5 pages / 1491 mots
- Avis de tempête Env. 6 pages / 1772 mots
- La voiture qu’il nous faut Env. 9 pages / 2882 mots
- Installation Env. 6 pages / 1723 mots
- Le mariage d’Elsa et Christian Env. 6 pages / 1867 mots
- Jasmine Env. 7 pages / 2153 mots
- Souriez, vous êtes filmés Env. 5 pages / 1308 mots
- Die Hard 3 Env. 4 pages / 1308 mots
- Night hard too Env. 6 pages / 1982 mots
- Rafle au réveil Env. 4 pages / 1218 mots
- Du rififi dans le Médoc : Préambule Env. 6 pages / 1649 mots
- Escapade Env. 5 pages / 1654 mots
- Du rififi dans le Médoc : D’est en Ouest Env. 6 pages / 1804 mots
- Incarcérations Env. 5 pages / 1358 mots
- Palpitations Env. 1 page / 265 mots
- Du rififi dans le Médoc : Bombannes Env. 10 pages / 3335 mots
- Le Pouilleux Env. 6 pages / 1898 mots
- Interrogatoires Env. 5 pages / 1475 mots
- Du rififi dans le Médoc : Promenade au bord du lac Env. 9 pages / 2842 mots
- Contre espionnage Env. 5 pages / 1537 mots
- Du rififi dans le Médoc : Tourisme Env. 9 pages / 3066 mots
- La plus belle des prisons ? Env. 5 pages / 1596 mots
- Du rififi dans le Médoc : Commando malgré lui Env. 6 pages / 1870 mots
- Cœurs froids banlieues chaudes Env. 6 pages / 1730 mots
- Du rififi dans le Médoc : retour précipité Env. 5 pages / 1428 mots
- Les horreurs de la guerre Env. 13 pages / 4154 mots
- Du rififi dans le Médoc : Dernier jour de plage Env. 9 pages / 2952 mots
- Au bout du monde Env. 5 pages / 1279 mots
- Du rififi dans le Médoc : Odyssée Épilogue Env. 8 pages / 2477 mots
- Un nouveau départ Env. 5 pages / 1671 mots
- La Boite de Nuit : Acte 1 Env. 5 pages / 1564 mots
- Sombres prémices Env. 8 pages / 2516 mots
- La Boite de Nuit : acte 2 Env. 8 pages / 2645 mots
- Pour toujours Env. 9 pages / 2902 mots
- Musique de guerre Env. 12 pages / 3780 mots
- Postface Env. 2 pages / 454 mots
- Les Bonus Env. 13 pages / 3820 mots
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