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Guerre contre les Majors V 1.9913
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- Catégorie : Littérature générale > Romans
- Date de publication originale : 17/02/2006
- Date de publication sur Atramenta : 25 février 2013 à 21h02
- Dernière modification : 7 avril 2013 à 20h23
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- Longueur : Environ 355 pages / 115 584 mots
- Lecteurs : 557 lectures
- Coup de cœur des lecteurs (×1)
- Mots clés : pamphlet guerre majors
Cette oeuvre est complète, mais a besoin de relecteurs.
Guerre contre les Majors V 1.9913
Du rififi dans le Médoc : Promenade au bord du lac
17/05/2006, 21:21
À 20 heures, il n’y aurait que les web télés pour s’occuper. Le petit ordinateur fourni dans la location du studio de vacances a basculé dans le mode « ricain » lors de son démarrage par Véra. Il est hors de question que Franck y touche et que Véra puisse constater les différences entre Net et Supra-Net. Malheureusement, l’offre en films français est réduite, et date d’avant 2010, afin que les changements sociaux de la société française, exploités dans les fictions, ne soit pas perceptibles à l’envahisseur.
Il y aurait bien aussi une partie d’un jeu de société qui se joue plutôt à deux de préférence, mais ce soir, Véra ne semble pas très réceptive.
Comme les jours ont rallongé, Franck préconise un tour de la base à pieds. Il fait environ trois kilomètres, si on passe dans les petites voies sans issue.
Véra accepte. Elle met tout de même un petit pull-over car le temps est un peu frais le soir.
À la plage Nord, Véra se raidit. L’homme à la sucette est là. Il a une paire de jumelles et scrute l’horizon.
La plage étant petite, et les convenances d’actualité, Véra lui souhaite un bonsoir en français qui ne souffre d’aucune dérobade.
Il baisse ses jumelles, tourne la tête, répond.
— Bonsoir Mademoiselle.
— Vous observez le paysage ?
— Les oiseaux. La-bas, dans les roseaux, il y a quelques canards et il m’a bien semblé voir quelques mouettes blanches dans le ciel. L’océan n’est pas loin et on dirait qu’il y a une décharge à ciel ouvert à deux trois kilomètres au nord-ouest. Pourtant, il ne devrait rien y avoir. C’est une zone protégée.
— Les restes d’un restaurant de la côte peut-être. Ou d’un particulier qui se serait débarrassé de ses poubelles dans les bois…
— Possible…
Pendant ce temps, quatre personnages observent le trio et se montrent discrets. Tellement que chaque binôme n’a pas encore repéré l’autre.
Le premier binôme est constitué d’un « faux couple », arrivé l’après-midi, mais actuellement vêtu efficace. Pantalon en jean, chemise en coton robuste et gilet reporter semi-militaire. À leurs pieds, chaussures de marche. Ils ont tout l’attirail des espions, et sont même armés.
Il s’agit de l’équipe envoyée de Paris pour protéger l’homme à la sucette. Ils sont au courant de la présence de Franck mais ils ne doivent prendre contact avec aucun des deux.
L’autre équipe est masculine. Deux américains, déguisés en pêcheurs canadiens, voulant avoir l’air de paysans.
Ces deux solides lascars ont eux-aussi un équipement performant. Chaussures robustes et légères, jumelles à vision nocturne, lunettes spéciales, pistolet automatique pouvant lancer des grenades fumigènes ou aveuglantes, stylo espion…
Eux-aussi sont là pour l’homme à la sucette. Et ils pensent que celui-ci touche au but et doit savoir que la base du Contaut a été réactivée. Ils ne savent pas qu’ils se sont fait déceler par leurs ordures ménagères, jetées à quelques kilomètres en plein bois entre le Contaut et Bombannes.. Mais que l’homme à la sucette est loin de suspecter quoi que ce soit.
Mais il est vrai que de cet emplacement, avec le matériel optique adéquat, il est possible de voir l’extrémité nord, à quelques huit kilomètres et la base du Contaut.
Véra fait parler l’homme à la sucette. Il se présente comme nègre d’écrivain de roman d’espionnage. Il a collaboré au dernier Jacques Beaumont, cet as de l’Agence de Traitement du Renseignement (Ex DGSE). Le dernier tome (« Échec au Roi ») venant de sortir en version électronique, il prend un peu de recul dans sa région d’origine. Véra s’en veut de ne pas avoir pensé plus tôt à lire ce genre de littérature, qui doit être instructif, même s’il s’agit d’une fiction.
— J’espère que la souscription pour l’édition papier marchera bien. Le marché de l’écriture a été fortement perturbé par les majors du livre puis la « World Company » qui avait réduit de façon drastique le nombre de parutions.
— En tant que nègre, vous êtes intéressé aux ventes ?
— Bien sûr. L’auteur apporte son nom, sa notoriété, ses personnages mais le nègre fait partie de la création. C’est l’éditeur qui est payé au fixe. Et de moins en moins en pourcentage par livre en fonction de la quantité de volumes commandés. Le distributeur a une marge aussi. Seule la création assume la part de risque. Celui-ci est limité lors de l’édition papier, mais si la distribution électronique en ligne, achetée par la Bibliothèque Nationale, ne génère pas de demande papier, le salaire est un peu juste…
— En Amérique, on vend la distribution électronique ou le livre…
— Et quand ça marche, l’auteur n’a que des miettes. Nous, nous participons à la culture en proposant notre livre sous forme électronique.
Déjà, il nous apporte l’essentiel : la subsistance et la protection de l’enregistrement de l’œuvre, gratuitement. Et tout le monde peut le lire en ligne, ce qui est tout de même limité. Le lecteur a besoin du contact papier et de la disponibilité d’un livre. Les PDA ne sont pas géniaux. Ensuite, nous pouvons vendre les droits pour une fiction télévisée ou filmographique. Mais notre vrai gagne pain, c’est le papier. Seulement, il est interdit d’éditer au-dessus du nombre souscriptions versées. Ainsi, le prix des livres reste bas, puisque il n’y a pas de pertes, pas de publicité, ni de méga bénéfices pour les éditeurs. Mais tout le monde y gagne. Les éditeurs ont beaucoup d’auteurs à publier puisque les Français reprennent goût à la lecture. Et ceux-ci commandent facilement sur le Net et sont livrés en deux jours. À peine la souscription effectuée, le livre est programmé sur les presses pour le lendemain, avec le nombre total de commandes de la journée édité à la suite, et son nom et son adresse sont directement imprimés sur la couverture, composée par l’internaute ou objet de plusieurs choix proposés. Le livre personnalisé est aussi numéroté. Les gens sont très heureux d’avoir leur nom à côté de celui de l’auteur. Moi, je me contente d’être à la dernière page, avec les autres « collaborateurs »… En plus, l’acheteur peut choisir entre trois type de qualité : poche, standard et luxe. Nous vendons très peu en format de poche car les gens qui font l’acte d’achat aiment les livres et n’hésitent pas à investir dans le confort de lecture et la qualité de l’objet quand ils ont pu lire des extraits de la version électronique et constater la qualité du produit. Ceux-là ne lisent donc pas l’intégralité de la version électronique, par choix, pour se ménager le suspense.
De plus, nous avons le droit de « rajouter » vingt pour cent de texte sur la version papier, non indispensables à l’intrigue… ».
— Très intéressant. Et vous ne faites pas de livre à vous ?
— J’y travaille. Mais dans un autre registre. Ma passion, c’est l’histoire, et plus particulièrement le « bas moyen âge ». Ce sera un seul livre, un peu comme un petit chapitre de la grande encyclopédie. Il y aura un peu d’art dans son écriture afin de faire passer le message scientifique, et mon métier de nègre me permet de peaufiner mon style. Quelque part, je suis sûr qu’à juger entre l’imagination de mon auteur, et mes années d’expérience dans l’écriture, on prouverait que c’est tout de même grâce à moi que Jacques Beaumont sort du lot par rapport aux autres espions.
— Et pour le réalisme des gadgets ?
— C’est une question d’extrapolation des techniques scientifiques actuelles. Le grand public pense que l’espion a besoin d’une panoplie au top de la technologie pour réussir sa mission. Ne le détrompons pas. Ça fait partie du rêve. Mais je pense qu’un bon espion, c’est d’abord celui qui ne ressemble pas à l’image qu’on s’en fait, vous ne croyez pas ?
— À vous entendre, tout le monde serait donc suspect…
— En effet, et pourquoi pas vous aussi ?
— Ah ah ah. Oh non, je n’oserai jamais faire un travail aussi risqué. (Puis, prenant un petit air de nunuche…) Comme je ne pourrais connaître comme vous les moindres arcanes des croisades, de la guerre de cent ans…
— Petite mise au point Mademoiselle, il ne faut pas confondre le Haut et le Bas. Le Bas Moyen-Âge commence au quatorzième siècle. Le Haut Moyen-Âge est la période antérieure…
Franck est hors course depuis le début. Il constate des trous énormes dans son éducation d’espion. Heureusement pour lui qu’il a une couverture d’autant plus simple qu’elle correspond à son personnage « d’avant engagement ». Mais Véra et l’homme à la sucette se jaugent mutuellement. Véra se doute maintenant qu’elle doit être fichée dans les services de l’homme à la sucette. Elle ne se doute pas à quel point elle n’est pas anonyme. L’homme à la sucette n’ose plus penser à un hasard, mais comme il n’a pas été contacté, il ne doit y avoir rien de grave, sauf si sa sécurité est menacée. Mais il sait que Franck est un allié et que Véra l’ignore. Il ne s’estime donc pas en danger. De plus, les deux protagonistes se laissent un peu aller au courant de sympathie, mis en place à l’origine, pour endormir la méfiance de l’autre…
Si l’homme à la sucette trouve que c’est une maladresse de vouloir griller une couverture qu’on sait manifestement fausse (Si Véra est là pour lui), il apprécie le piège, la finesse et la culture de sa charmante ennemie. Véra quant à elle juge de la qualité de l’homme, qui sait avoir une couverture crédible. Néanmoins, poursuivre l’interrogatoire pourrait lui donner l’alerte. Elle préfère en rester là.
— Vos vacances doivent être calmes. Que faire pour éviter l’ennui de la morte saison ?
— Mademoiselle, un littéraire n’est pas un homme d’action, mais de réflexion. Et il a toujours avec lui, soit des livres, soit sa bibliothèque intérieure. Les longues soirées au bord du lac peuvent en esprit me ramener à Rousseau et ses « Rêveries ». Les journées en bord de mer désertique sont aussi un pur délice pour l’introspection comme pour l’abandon de soi au sein d’une nature qui nous dépasse et nous protège.
Et l’océan invite au voyage. Les promenades en forêt avec le chant des cigales, l’odeur de la résine, le craquement des aiguilles de pins sont excellentes pour la santé, au niveau sportif comme pour lutter contre le stress. Enfin, nager, en mer ou sur le lac, apaise les douleurs articulaires et revigore le corps. À mon âge, j’en ai bien besoin. Et dans d’autres circonstances (Véra est enceinte) le soleil se ferait un plaisir de vous caresser intégralement de ses chauds rayons pour vous offrir rapidement un teint mielleux plus ou moins brun du plus bel effet.
— Vous êtes un charmeur.
— Un admirateur de la gent féminine seulement. Votre ami n’a pas de souci à se faire et par conséquence moi non plus.
Véra douterait presque de ses chefs. Cet homme ne peut être un chef important dans un service de renseignement. Cette façon de parler, nonchalante, ampoulée… il s’écoute. Alors, il est vraiment écrivain. Sportif, malgré tout. Ces mains sont noueuses, ses muscles de bras secs, ses jambes encore musclées, son ventre assez plat, surtout pour un homme de son âge. De plus, ses yeux sont vifs, et il a un détachement révélateur d’un homme qui a beaucoup vécu. Un dilettante du verbe doublé d’une machine à tuer en vacances ? Véra peine à imaginer cela, et doute.
— La marche et la natation me sont recommandées. J’ai donc bien choisi l’endroit pour mes petites vacances avant de retourner en Amérique.
À ces mots, le cœur de Franck se serre. Elle parle de ce non-dit à un autre que lui. Il se garde d’intervenir, et même s’éloigne un peu, gardant l’oreille aux aguets.
— Le coin est assez grandiose. Nous avons des pare-feu qui coupent nos forêts comme les rues découpent vos villes, bien que nos pins s’élèvent moins haut que vos immeubles.
— J’ai effectivement remarqué cela avec les vues satellites du Net. Nos forêts auraient bien besoin d’être aussi surveillées et protégées du feu. Mais nos parcs naturels sont sauvages et immenses.
— Cette forêt est exploitée. Et le temps plus que les indemnisations promises à l’époque a su effacer les ravages de la tempête de 1999. Néanmoins, beaucoup d’arbres ont moins de quinze ans et n’ont pas encore leur hauteur d’adulte. Mais au moins, le bois non ramassé a fini de pourrir ou a été dévoré par les insectes.
— Vous semblez bien connaître cette région.
— Je n’y étais pas revenu depuis bien longtemps. Mais elle n’a pas changé.
— Elle aurait bien besoin d’entretien. Les routes sont dans un état déplorable.
— Les services publics médocains sont inexistants depuis la scission. Le Médoc veut faire sécession et nous ne voulons pas faire une guerre pour cela.
— Vous n’avez pas d’armée pour la faire.
Sourire de l’homme à la sucette. D’ailleurs, il a remarqué qu’il suçote moins en vacances. C’est meilleur pour sa ligne et sa dentition. Il en prendrai bien une maintenant, mais il a laissé sa provision au bungalow.
— Il y a d’autres moyens de la faire. Ici, en l’occurrence, on mise sur l’économie. Pour l’instant, la région vivote en récupérant ses savoirs faire ancestraux confisqués par la World Company. Il y a aussi un retour à l’autarcie. Mais l’argent obtenu sert à acheter des 4x4 et du gas-oil. Les prix de ces produits vont progressivement augmenter. Une douane va être mise en place sur la ligne de séparation terrestre Quand ils voudront se libérer des « obligations » avec le reste du pays, ils seront appauvris et ils n’auront pas de quoi bâtir un port sur la gironde, pour être approvisionnés par des sources extérieures. À un moment donné, la population souhaitera le retour dans nos frontières car leurs dirigeants seront incapables d’assurer l’infrastructure minimale.
— sauf si…
Véra se tait. Bien sûr, son pays va « aider » cette région. Une tête de pont, pour pouvoir quitter la France « officiellement » et pouvoir soutenir le gouvernement fantoche laissé en place de façon crédible grâce à la proximité.
— Sauf si les dirigeants y arrivent quand même. Après tout, des pays plus petits existent bien.
— Je ne crois pas qu’ils y arriveront mais admettons. Quel intérêt de faire une guerre pour autant ?
— Vous ne me semblez pas si pacifiste.
— J’ai connu la guerre… dans mes voyages.
— Moi pas.
— Peut-être parce qu’on vous l’a évitée.
— Vous l’auriez perdue.
— Vous ne la gagnerez pas.
Toute l’attitude de l’homme à la sucette a changé. Il observe les alentours. Il est devenu méfiant. Véra pâlit. Et s’il était armé, devenait menaçant. Ses chefs ne se sont pas trompés.
Franck intervient.
— Monsieur, ma compagne n’est pas à proprement parler une militaire. Elle est venue pour rebâtir, et recréer des contacts avec la population, si des dommages collatéraux au conflit avaient malmené des civils.
L’homme à la sucette entre dans le jeu. Il fait mine de se détendre, sourit à Véra.
— Veuillez m’excuser Mademoiselle. Je suis un peu vieux jeu et mon père était militaire en Algérie. Alors, quand il s’agit de patriotisme, je m’échauffe un peu.
— je suis désolée de vous avoir froissé, monsieur. Je comprends votre colère. Je me doute bien que tout le peuple français n’est pas composé de pirates informatiques et de terroristes du Net.
Et puis, votre patience est parfois mise à rude épreuve. Je n’aurai pas dû aborder un thème sensible. Surtout que cette région semble vous porter particulièrement à cœur.
— J’y ai passé toutes les vacances de mon enfance. Et les choses ne seront plus jamais les mêmes de toute façon…
— Pourrions nous organiser une petite réconciliation autour d’un verre à Maubuisson. Il doit bien y avoir un bar d’ouvert.
— J’ai repéré une sorte de Bodéga où l’on y consomme de savoureux cocktails, y compris sans alcool.
— On vous emmène ?
— Je me change et nous nous retrouvons au rond point du stand de tir à l’arc ?
— À tout à l’heure donc.
Franck et Véra retournent à l’appart. L’homme à la sucette à son bungalow. Derrière eux, il y a un peu de mouvement dans les fourrés. Le « faux couple » vient de tomber entre les mains des deux costauds. Inconscients, ils sont ficelés sans ménagement et jetés dans le coffre du 4X4, garé un peu plus loin.
Table des matières
- Préface de Jack Minier Env. 4 pages / 1100 mots
- Présentation par l’auteur (mars 2013) Env. 3 pages / 889 mots
- D. Day Two Env. 4 pages / 1136 mots
- Veille d’élection Env. 3 pages / 790 mots
- Un enlisement perceptible Env. 3 pages / 732 mots
- Fuite à Varennes Env. 6 pages / 1824 mots
- L’Appel du petit Kaporal Env. 3 pages / 645 mots
- La Net Révolution Env. 4 pages / 951 mots
- La cache aux serveurs Env. 5 pages / 1284 mots
- La Campagne de France Env. 4 pages / 1034 mots
- Franck Env. 5 pages / 1399 mots
- Manifestation tragique Env. 4 pages / 1239 mots
- Une défaite sans combat Env. 3 pages / 857 mots
- Contre-Attaque Env. 3 pages / 790 mots
- Brian Env. 3 pages / 958 mots
- Chantage en chanson ou ratage en rançon ? Env. 3 pages / 651 mots
- Véra S. Env. 4 pages / 1164 mots
- Nuit d’amour Env. 2 pages / 373 mots
- L’homme de l’ombre Env. 3 pages / 719 mots
- Le Site Assassiné (Elsa et Christian) Env. 3 pages / 892 mots
- Fusions chaudes Env. 3 pages / 826 mots
- 14 juillet en berne Env. 4 pages / 1329 mots
- Expulsion Env. 3 pages / 976 mots
- Fils de héros Env. 2 pages / 647 mots
- Prise du Net pouvoir Env. 4 pages / 1113 mots
- Épuration idéologique Env. 3 pages / 757 mots
- Supra Net Env. 3 pages / 867 mots
- Enrôlé Env. 4 pages / 1336 mots
- Derrière les barreaux Env. 5 pages / 1482 mots
- Alain Env. 3 pages / 807 mots
- Puces motos à Niort Env. 5 pages / 1312 mots
- Bienvenue Major DAD Env. 4 pages / 1053 mots
- Camps de redressement Env. 5 pages / 1412 mots
- Les DRM passent dans les mœurs Env. 2 pages / 397 mots
- Honneur et décadence Env. 4 pages / 1134 mots
- Manifestations Env. 4 pages / 1093 mots
- Dure journée Env. 4 pages / 1284 mots
- Triste conjoncture Env. 3 pages / 938 mots
- Captivante captivactivité Env. 4 pages / 1182 mots
- Die Hard 2 Env. 3 pages / 787 mots
- Un scénario pour l’été 2007 Env. 5 pages / 1491 mots
- Avis de tempête Env. 6 pages / 1772 mots
- La voiture qu’il nous faut Env. 9 pages / 2882 mots
- Installation Env. 6 pages / 1723 mots
- Le mariage d’Elsa et Christian Env. 6 pages / 1867 mots
- Jasmine Env. 7 pages / 2153 mots
- Souriez, vous êtes filmés Env. 5 pages / 1308 mots
- Die Hard 3 Env. 4 pages / 1308 mots
- Night hard too Env. 6 pages / 1982 mots
- Rafle au réveil Env. 4 pages / 1218 mots
- Du rififi dans le Médoc : Préambule Env. 6 pages / 1649 mots
- Escapade Env. 5 pages / 1654 mots
- Du rififi dans le Médoc : D’est en Ouest Env. 6 pages / 1804 mots
- Incarcérations Env. 5 pages / 1358 mots
- Palpitations Env. 1 page / 265 mots
- Du rififi dans le Médoc : Bombannes Env. 10 pages / 3335 mots
- Le Pouilleux Env. 6 pages / 1898 mots
- Interrogatoires Env. 5 pages / 1475 mots
- Du rififi dans le Médoc : Promenade au bord du lac Env. 9 pages / 2842 mots
- Contre espionnage Env. 5 pages / 1537 mots
- Du rififi dans le Médoc : Tourisme Env. 9 pages / 3066 mots
- La plus belle des prisons ? Env. 5 pages / 1596 mots
- Du rififi dans le Médoc : Commando malgré lui Env. 6 pages / 1870 mots
- Cœurs froids banlieues chaudes Env. 6 pages / 1730 mots
- Du rififi dans le Médoc : retour précipité Env. 5 pages / 1428 mots
- Les horreurs de la guerre Env. 13 pages / 4154 mots
- Du rififi dans le Médoc : Dernier jour de plage Env. 9 pages / 2952 mots
- Au bout du monde Env. 5 pages / 1279 mots
- Du rififi dans le Médoc : Odyssée Épilogue Env. 8 pages / 2477 mots
- Un nouveau départ Env. 5 pages / 1671 mots
- La Boite de Nuit : Acte 1 Env. 5 pages / 1564 mots
- Sombres prémices Env. 8 pages / 2516 mots
- La Boite de Nuit : acte 2 Env. 8 pages / 2645 mots
- Pour toujours Env. 9 pages / 2902 mots
- Musique de guerre Env. 12 pages / 3780 mots
- Postface Env. 2 pages / 454 mots
- Les Bonus Env. 13 pages / 3820 mots
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