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Guerre contre les Majors V 1.9913
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- Catégorie : Littérature générale > Romans
- Date de publication originale : 17/02/2006
- Date de publication sur Atramenta : 25 février 2013 à 21h02
- Dernière modification : 7 avril 2013 à 20h23
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- Longueur : Environ 355 pages / 115 584 mots
- Lecteurs : 557 lectures
- Coup de cœur des lecteurs (×1)
- Mots clés : pamphlet guerre majors
Cette oeuvre est complète, mais a besoin de relecteurs.
Guerre contre les Majors V 1.9913
Night hard too
Avertissement avant lecture.
Ce passage croustillant demandé par un lecteur, je n’ai jamais osé le mettre en ligne. Peur du débutant et peur des commentaires qu’il aurait pu générer. J’espère ne pas violer les règles de la charte d’écriture…
Il est tout seul. Et il se sent en trop.
Il doit surveiller le nouvel agent, en mission « d’accompagnement » du lieutenant Sanders, officier de renseignements américain, mais surtout fille de V.I.P.
Et cet agent est en train de donner beaucoup de sa personne pour remplir sa mission. Au début, ce n’était que roucoulades, petits compliments et flirt pressant. Très convaincant le type. Enfin, il n’est pas du sien. L’agent américain par contre est assez canon. Le serait-elle un peu moins qu’on ne peut dire non froidement à une telle furia amoureuse. Par contre, une moche qui vous regarde comme ça, il vaut mieux prendre ses jambes à son coup et déménager sans laisser d’adresse.
Les préliminaires l’ont déjà assez mis mal à l’aise. Il est d’ailleurs l’objet assez involontaire de rires en cascade dans la buvette voisine. En effet, ses nouveaux collègues de travail ont devant eux deux mini-ordinateurs comme Franck.
L’un reçoit le flux vidéo en provenance de Franck et le projette sur le mur en grand.
L’autre contrôle la camera qui espionne le bleu. Et il n’en mène vraiment pas large.
Chacun à sa bière en main et y va de son commentaire. Il y a des soirées de permanence qui valent la peine d’être vécues.
Après de fougueux baisers un peu maladroits, Franck a libéré les seins de Véra de leur prison de soie. Comme quoi, mademoiselle aime son confort pour dormir. Elle lui répond que non, c’est pas pour lui, mais pour elle qu’elle s’offre de la lingerie. Ce serait quand même dommage de ne pas profiter de la lingerie française en cette occasion, alors que les Américains n’avaient pas envahi la France depuis soixante-dix ans. Franck ne compte pas faire dans la dentelle pour autant. Pour lui, c’est la peau de Véra qui est la plus douce. De même, le sous- vêtement masculin de Franck n’intéresse pas longtemps Véra, plus désireuse de s’offrir le contenu.
Le bleu qui a raté la séance de la veille en reste bouche bée, ce qui redouble les rires un peu jaunes à la buvette. Mais Véra charme l’animal qui sort entièrement de son panier pour trouver un premier fourreau qui a du mal à s’adapter à sa taille. Franck s’y sent un peu à l’étroit dans un premier temps puis le latex se fait oublier. Il est d’une belle couleur fraise. Véra lui dit qu’elle essaierait bien le modèle extraterrestre à la menthe une autre fois. Pourquoi fraise aujourd’hui ? Une envie prémonitoire qui ne les alarme pas.
Franck reste allongé sur le lit et préfère regarder les neuf dixièmes du temps au plafond. Il ne peut ignorer les faits et gestes de Véra mais la voir le chavire. Elle s’arrange pour qu’il ne puisse l’ignorer en lui présentant ses fesses sous le nez. Mais pour le punir, elle a gardé sa culotte et ses pieds appuient sur ses épaules et ses bras.
Franck ne peu que lever les avants-bras, la saisir aux hanches et allonger son cou vainement. Car elle se rapproche parfois de son nez, mais pas assez. En attendant, il a l’impression que son sexe enflammé va éclater comme une vulgaire baudruche et qu’elle le confond avec un sucre d’orge géant.
Puis, elle pivote, s’assoie sur son ventre, pose ses mains sur ces cuisses, lui libère les bras, lui mets ses pieds contre ses oreilles. Les bas lui caressent la peau. Il étend les bras et elle lève un peu les fesses pour qu’il fasse glisser la culotte vers l’avant.
Celle-ci passe les genoux, les mollets et arrive devant les yeux de Franck. Elle lève alors les jambes en les serrant un peu. Le centre est gêné par ses petits pieds. Elle rit et laisse enfin le passage. Franck l’a à peine posée sur la table de nuit que la féline s’est propulsée en avant, et simultanément a écarté les genoux, les a posés de part et d’autre du buste à Franck et que pour finir, elle l’étouffe entre le haut de ses cuisses et son bas ventre en se frottant contre son visage.
Le bleu ne respire plus lui aussi et en a comme Franck les oreilles qui chauffent. Les autres se demandent si leur agent ne va pas claquer sur le champ de bataille et la walkyrie fait résonner Wagner dans tous les cœurs et toutes les têtes. Franck en effet n’a pas pu longtemps profiter de ce que Véra lui offrait. N’abandonnant pas sa monture, cette fois, elle s’est mise sur la selle et est partie en plein galop. Ses reins se creusent, ses hanches doivent se croiser, son bassin ondule, son corps gondole et Franck s’accroche au bois de lit. Elle ralentit parfois pour l’embrasser, et alors ses seins lui labourent sa poitrine.
Elle joue. Elle s’appuie sur lui, pose ses pieds sur ces épaules, ou se couche en arrière en l’emportant avec elle.
Le lit craque, le mur résonne, les ressorts gémissent. Elle pivote, lui tourne le dos et il peut la voir le faire disparaître. Ses doigts de pieds lui arrachent ses boucles de poitrine. Elle lui embrasse les chevilles. Un moment, elle s’assoie, droite comme un i. Elle passe ses jambes entre ses cuisses, les lui écarte, puis s’incline en avant en lui faisant relever les jambes. Elle ajuste sa position. Lui pose ses pieds sur son dos. Les douces fesses de Véra lui caressent alors le dessous des cuisses et ses pieds lui labourent les hanches. C’est du sadisme, et il se laisse faire un temps.
Véra en profite pour monter en température. S’offrir et dominer en même temps, ça lui plaît. Elle ne ressent pas la moindre fatigue, mais plutôt une formidable énergie.
Franck veut reprendre le contrôle et se redresse. Véra se rapproche du bout du lit. C’est Franck qui s’avance, puis Véra, puis Franck. Elle progresse au-dessus du sol du haut de ses bras. Franck s’assoit au bord du lit. C’est maintenant lui qui imprime le mouvement. Véra a allongé ses jambes et Franck en profite pour la fesser très légèrement, comme si elle était un tambour. Elle replie ses jambes et les talons touchent presque ses fesses, mais elle est un peu trop cambrée. Elle remonte alors en s’appuyant sur les genoux de Franck et se libère. Elle se rassoie ensuite tranquillement sur Franck pour se reposer un peu. Il lui embrasse le haut des épaules et l’arrière du cou en jouant avec ses cheveux. Il compte en les piquant du doigt ses multiples grains de beauté dorés. Est-elle lionne, léopard ou panthère, cette si fougueuse et si souple Véra ? Les trois à la fois et il vaut mieux éviter ses griffes.
Véra se débarrasse de ses derniers vêtements hormis un bas. C’est troublant.
Les espions de choc profitent de la récupération de Véra pour rire aux dépens du bleu, mais surtout pour prendre une troisième bière pour se remettre. Ils ont tous le palpitant à 180. Le bleu, lui, transpire abondamment et a dénoué un peu sa cravate et fait sauter le bouton du haut à sa chemise. On le voit hésiter à sortir sa veste.
Le chant guttural de Véra remonte en intensité. Toujours assise sur Franck, elle lui serre les jambes. Puis se lève. Elle en a les jambes qui tremblent quelques secondes. Puis elle pose ses genoux face au lit et allonge son buste. Franck se place donc en conséquence et le couple se reforme. Cette fois reptilienne, Véra parvient à glisser grimper sur le lit. Franck s’adapte. Puis elle se redresse sur ses quatre membres. Cette fois, ils se synchronisent en opposition de phase pour que chacun ne fasse que la moitié du chemin. Il faut dire que celui-ci est assez long. Puis Véra se remet sur le dos et se laisse faire. Elle remonte ses jambes, l’encourage avec ses talons. Elle se redresse, lui attrape le cou, s’y suspend. Franck parvient à rester debout. Il se sert de ses bras pour la soutenir tandis qu’elle s’occupe de glisser contre lui. Fatigué après un moment, il pivote et s’assoit sur le lit. Véra le pousse en arrière, en abuse encore un peu, puis le laisse à nouveau s’allonger. Elle se pose sur lui et ils reprennent un peu leur souffle tout en s’embrassant tendrement.
La quatrième bière s’impose, car la troisième, même non terminée est trop chaude et les canettes, serrées un peu fort, gardent l’empreinte des doigts crispés.
Le bleu décidément ne supporte plus la veste. Il voudrait que les autres reviennent pour qu’il puisse aller faire un tour, marcher dans le couloir, taper contre une porte, enfin, n’importe quoi plutôt que de subir ce stress. Il n’est ni voyeur, ni indifférent.
Véra roucoule, sourit, embrasse et se remet à bouger. C’est pour cette fois lui dit-elle. Elle lui remonte les bras au-dessus de la tête et s’appuie sur ses poignets. Sa danse reprend alors que ses yeux brûlent. Plusieurs fois elle quitte Franck pour mieux le retrouver, toujours plus fort. Le priapisme de celui-ci devient critique et ses yeux commencent à rouler. Véra elle amplifie encore son mouvement, l’accélère, quand tout à coup, alors que ses genoux enserrent le torse de Franck, elle se cambre, se tétanise, et pousse un long hurlement rugissement.
Dans la débâcle, Franck a l’impression que les cheveux agités en tous sens prennent réellement feu tandis que Véra ondule violemment de gauche à droite. Véra la rousse est en éruption et personne n’en verra plus car un pied de lit cède. Véra est projetée sur le côté et vers l’avant et elle entraîne dans sa chute la table de chevet tandis que le « portable » de Franck tombe et disparaît sous l’armoire.
Aucun des deux amants ne s’est fait mal et ils se rassurent dans un souffle tandis qu’ils se rapprochent pour ne faire plus qu’un et se reposer. Véra éteint la lampe de chevet tombée à terre grâce à l’interrupteur sur le fil. Ils s’endorment presque aussitôt après un petit rire complice sur la descente de lit. Franck a pris soin de les envelopper tout deux dans les couvertures qui elles aussi avaient glissé et qu’il a pu attraper sans se relever.
Véra s’est endormie avant lui et il dépose un dernier baiser sur le tout petit dauphin bleu tatoué sur son épaule.
Les compères rejoignent le bleu, et un peu éméchés lui demandent un rapport, lui font des reproches sur sa tenue débraillée, demandent des détails que le bleu bredouillant ne peut donner.
« Montre les images alors ! »
Et le bleu s’aperçoit qu’il n’a rien enregistré, alors que ce genre de scène doit l’être systématiquement pour pouvoir éventuellement servir pour faire pression sur un agent ennemi, surtout s’il s’agit d’une femme.
Il a donc droit à une engueulade en règle, se fait traiter de tous les noms de voyeur possible, d’incapable etc. tant et si bien qu’il en quitte la pièce dès que possible pour aller se désespérer plus loin.
Un collègue compatissant va chercher des bières pour tout le monde, à boire dès le retour du bleu. Voilà une soirée qu’il n’oubliera pas.
Table des matières
- Préface de Jack Minier Env. 4 pages / 1100 mots
- Présentation par l’auteur (mars 2013) Env. 3 pages / 889 mots
- D. Day Two Env. 4 pages / 1136 mots
- Veille d’élection Env. 3 pages / 790 mots
- Un enlisement perceptible Env. 3 pages / 732 mots
- Fuite à Varennes Env. 6 pages / 1824 mots
- L’Appel du petit Kaporal Env. 3 pages / 645 mots
- La Net Révolution Env. 4 pages / 951 mots
- La cache aux serveurs Env. 5 pages / 1284 mots
- La Campagne de France Env. 4 pages / 1034 mots
- Franck Env. 5 pages / 1399 mots
- Manifestation tragique Env. 4 pages / 1239 mots
- Une défaite sans combat Env. 3 pages / 857 mots
- Contre-Attaque Env. 3 pages / 790 mots
- Brian Env. 3 pages / 958 mots
- Chantage en chanson ou ratage en rançon ? Env. 3 pages / 651 mots
- Véra S. Env. 4 pages / 1164 mots
- Nuit d’amour Env. 2 pages / 373 mots
- L’homme de l’ombre Env. 3 pages / 719 mots
- Le Site Assassiné (Elsa et Christian) Env. 3 pages / 892 mots
- Fusions chaudes Env. 3 pages / 826 mots
- 14 juillet en berne Env. 4 pages / 1329 mots
- Expulsion Env. 3 pages / 976 mots
- Fils de héros Env. 2 pages / 647 mots
- Prise du Net pouvoir Env. 4 pages / 1113 mots
- Épuration idéologique Env. 3 pages / 757 mots
- Supra Net Env. 3 pages / 867 mots
- Enrôlé Env. 4 pages / 1336 mots
- Derrière les barreaux Env. 5 pages / 1482 mots
- Alain Env. 3 pages / 807 mots
- Puces motos à Niort Env. 5 pages / 1312 mots
- Bienvenue Major DAD Env. 4 pages / 1053 mots
- Camps de redressement Env. 5 pages / 1412 mots
- Les DRM passent dans les mœurs Env. 2 pages / 397 mots
- Honneur et décadence Env. 4 pages / 1134 mots
- Manifestations Env. 4 pages / 1093 mots
- Dure journée Env. 4 pages / 1284 mots
- Triste conjoncture Env. 3 pages / 938 mots
- Captivante captivactivité Env. 4 pages / 1182 mots
- Die Hard 2 Env. 3 pages / 787 mots
- Un scénario pour l’été 2007 Env. 5 pages / 1491 mots
- Avis de tempête Env. 6 pages / 1772 mots
- La voiture qu’il nous faut Env. 9 pages / 2882 mots
- Installation Env. 6 pages / 1723 mots
- Le mariage d’Elsa et Christian Env. 6 pages / 1867 mots
- Jasmine Env. 7 pages / 2153 mots
- Souriez, vous êtes filmés Env. 5 pages / 1308 mots
- Die Hard 3 Env. 4 pages / 1308 mots
- Night hard too Env. 6 pages / 1982 mots
- Rafle au réveil Env. 4 pages / 1218 mots
- Du rififi dans le Médoc : Préambule Env. 6 pages / 1649 mots
- Escapade Env. 5 pages / 1654 mots
- Du rififi dans le Médoc : D’est en Ouest Env. 6 pages / 1804 mots
- Incarcérations Env. 5 pages / 1358 mots
- Palpitations Env. 1 page / 265 mots
- Du rififi dans le Médoc : Bombannes Env. 10 pages / 3335 mots
- Le Pouilleux Env. 6 pages / 1898 mots
- Interrogatoires Env. 5 pages / 1475 mots
- Du rififi dans le Médoc : Promenade au bord du lac Env. 9 pages / 2842 mots
- Contre espionnage Env. 5 pages / 1537 mots
- Du rififi dans le Médoc : Tourisme Env. 9 pages / 3066 mots
- La plus belle des prisons ? Env. 5 pages / 1596 mots
- Du rififi dans le Médoc : Commando malgré lui Env. 6 pages / 1870 mots
- Cœurs froids banlieues chaudes Env. 6 pages / 1730 mots
- Du rififi dans le Médoc : retour précipité Env. 5 pages / 1428 mots
- Les horreurs de la guerre Env. 13 pages / 4154 mots
- Du rififi dans le Médoc : Dernier jour de plage Env. 9 pages / 2952 mots
- Au bout du monde Env. 5 pages / 1279 mots
- Du rififi dans le Médoc : Odyssée Épilogue Env. 8 pages / 2477 mots
- Un nouveau départ Env. 5 pages / 1671 mots
- La Boite de Nuit : Acte 1 Env. 5 pages / 1564 mots
- Sombres prémices Env. 8 pages / 2516 mots
- La Boite de Nuit : acte 2 Env. 8 pages / 2645 mots
- Pour toujours Env. 9 pages / 2902 mots
- Musique de guerre Env. 12 pages / 3780 mots
- Postface Env. 2 pages / 454 mots
- Les Bonus Env. 13 pages / 3820 mots
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