Navigation : Lecture libre > Savoir, culture et société > Correspondances > Correspondance I
Correspondance I
-
- Catégorie : Savoir, culture et société > Correspondances
- Date de publication originale : 1925-1927
- Date de publication sur Atramenta : 18 septembre 2016 à 16h36
- Contributeur(s) : Françoise Pique
-
- Longueur : Environ 179 pages / 64 221 mots
- Lecteurs : 172 lectures + 300 téléchargements
Correspondance I
1893
À Marcel Schwob
Paris.
28 janvier 1893.
Mon cher ami,
Je continue à quêter ma passe. Le Figaro vient de me la refuser. Je vais la demander à Ollendorff, ensuite au Journal. Ensuite, j’irai franchement de ma poche.
Quelle jolie chose que la Diablesse verte ! J’ai reconnu votre goût pour les « départs » étranges. J’ai songé à la Maison de poupée, n’est-ce pas ? Je vous dis toujours que c’est très bien parce que c’est toujours très bien.
Croyez-moi, vous ferez, avec vos Petites filles, un livre qui comptera. Il faut de temps en temps se spécialiser.
Merci pour la reproduction de Poil de Carotte. Ce petit bonhomme me paraît déjà fané. Tant mieux ! Je le transformerai.
À Lundi soir.
Vôtre.
Paris.
[4 février 1893.]
Cher ami,
Xau n’a pas pu m’obtenir une passe sur la ligne de l’Est, avec laquelle il est en bisbille, mais il m’a offert d’en demander une sur la ligne de Lyon. Ma foi, j’ai accepté. Il m’a paru que c’était faisable. Nous nous retrouverons à Genève. Ça vaudra mieux que rien, et je pourrai partir après vous, rendre ainsi mon voyage moins long et mon absence moins dure.
Qu’en dites-vous ?
Si je peux, j’irai vous voir demain matin au saut du lit.
Vôtre.
Paris.
25 février 1893.
Mon cher ami,
Merci pour Poil de Carotte. Il ne doit plus vous en rester ; je vous ferai un paquet.
Si vous avez l’intention de reproduire une Coquecigrue, je m’en remets à vous pour le choix et vous remercie d’avance.
Je ne suis pas allé vous voir ces jours-ci parce que j’observe de très près le match vélocipédique Terront-Corre. C’est une douce folie, qui me repose.
Ollendorff prend la Lanterne sourde. Il la publiera dans le format du Voyage dans les yeux.
Je ne travaille pas ; je suis énervé je ne sais pourquoi. Cependant, déjà on pille Coquecigrues. Mais vous connaissez cet état-là.
J’ai lu les deux nouvelles que vous avez rapportées de votre voyage. Elles m’ont paru dures, mais j’y ai trouvé d’exquis détails. Toutefois, j’aime mieux Schwob imaginatif. Je suis sûr que vous aussi.
Bien vôtre.
Hôtel du Moulin Rouge,
Lagny. S. et M.
7 avril 1893.
Mon cher ami,
Au moment où j’ai l’air de vous oublier, vous me prouvez que vous ne m’oubliez pas, et je vois un Poil de Carotte annoncé aujourd’hui pour demain. Mais nous sommes un peu ennuyés.
Ma petite fille n’allant pas mieux, nous avons dû quitter Paris tout à coup pour la changer d’air. Nous voici à Lagny pour une huitaine de jours, le moins possible, et nous espérons que cela lui fera du bien.
Je pense rentrer à la fin de la semaine prochaine.
Nous sommes dans une auberge, les uns sur les autres, et je vous écris sur la table d’un café. Impossible de travailler, bien entendu. À peine puis-je lire un peu. Heureusement, j’ai eu la Reine Mandosiane ce matin, et je vous complimente vivement ; c’est léger et mystérieux, comme toutes vos nouvelles du même genre, d’une réalité étrange.
Si vous voyez Capus, excusez-moi auprès de lui. Je voulais les avoir ces temps-ci. C’est partie remise.
Écrivez-moi un petit mot si vous voulez bien, et dites-moi où vous en êtes, de vos ennuis.
Vôtre.
Paris.
[Mai 1893.]
Mon cher ami,
Vallette et Rachilde m’écrivent qu’ils viendront dîner demain soir Mercredi. Tâchez de vous faire libre. Vous ne l’êtes plus jamais, vraiment. Impossible d’aller vous voir à l’Écho, ces jours-ci. Je suis tout à de profondes joies vélocipédiques. J’ai vu un homme effroyable.
Vous a-t-on dit que j’étais passé Jeudi matin rue de l’Université ? Vous lèveriez-vous de bonne heure, maintenat ?
Avez-vous vu Tissot de Genève ?
À vous.
La Lanterne, de plus en plus sourde, ne paraît que jeudi.
Un mot, s. v. p.
Je n’ai pas reçu ma place pour les Tisserands. L’aurait-on encore, malgré ma rectification, envoyée à l’Écho ?
Paris.
2 juin 1893.
Mon cher ami,
Ne venez pas demain soir. J’ai mon père à dîner. Nous ne pourrions pas causer. Je vous ferai signe dans les premiers jours de la semaine prochaine.
La Lanterne ne paraît que demain, et encore !
Ce mot avant de lire votre conte, qui est, là, sur ma table, fascinateur.
Votre ami.
Paris.
4 juin 1893.
Mon cher ami,
Je suis allé, hier soir Samedi, à l’Écho, vers 6 h. Je vous portais un exemplaire du Lampion aveugle pour le Supplément, un ex. sur papier ordinaire, car j’espère pouvoir vous en offrir un sur hollande, à vous.
J’ai rencontré Rod, et je l’ai invité à déjeuner pour mardi matin, à midi. Je compte sur vous, n’est-ce pas ?
Bonne poignée de main.
Provisoirement :
Propriété Berne, par Firminy. Loire.
24 juin 1893.
Mon cher ami,
Aujourd’hui seulement je peux écrire quelques lettres. Je suis un peu ahuri au milieu d’une portion de ma famile qui n’a pas lu Coquecigrues et qui prend la Lanterne sourde pour un petit travail de serrurerie. Mais j’ai trouvé le temps de lire la gentille note que vous avez faite sur mon bouquin, (merci,) et, surtout, votre Paradoxe sur le Rire. C’est ingénieux au possible. Vous vous en êtes admirablement tiré. De loin, comme ça, votre prose prend une importance !… Vraiment, vous avez fait mes délices, et Courteline, qui est intelligent, doit être content.
J’ai reçu un mot bien charmant de Pottecher. Dites-lui que j’ai une bien vive sympathie pour lui.
Je ne sais pas quand je vous reverrai. Bousculé ces jours-ci, j’ai envie de chercher un petit coin où je pourrai enfin me remettre au travail à mon aise. Mais je ne suis pas du tout fixé. Les enfants vont bien, c’est l’essentiel.
Et vous, et vos ennuis ? Tâchez de m’écrire un petit mot. Faites cela, et je vous en serai reconnaissant. Je constate qu’il me suffit de changer de lieux pour perdre la tête. Hier, j’étais à Lyon, et j’ai passé ma journée à me demander ce que j’y faisais.
Bonjour à tous les amis, et des deux mains à vous.
Qu’est-ce que les sourds disent de la Lanterne, autour de vous ? Ça me paraît, d’ici, un four mignon. Mais je m’y habitue, et je vais lire du Shakespeare. Ah ! Ce Falstaff ! Je vous dois de bonnes lectures.
Chalet Robert. Arromanches.
Calvados.
8 juillet 1893.
Mon cher ami,
Ce petit mot seulement pour vous donner mon adresse, car nous venons à peine de nous installer. Nous sommes très bien, tout au bord de la mer. De ma fenêtre, on en voit de quoi enthousiasmer M. Vernet.
Je vais tâcher – ça ne sera pas commode, – de travailler un peu pour me pardonner à moi-même toutes ces folies. Je vais recopier un Poil de Carotte, (l’Aveugle, avec de simples changements de noms,) pour vous l’envoyer. Ensuite, vous prendrez, si vous le voulez bien, celui de Rosati. Enfin, je dirai à Valdagne de vous envoyer un exemplaire de Coquecigrues, où je vous engage fortement à puiser. De cette façon, j’aurai encore l’air d’un littérateur.
Et cette révolutionnette ? Vous êtes aux premières loges pour la suivre. Vous me raconterez cela quelque jour.
Avez-vous moins d’ennuis ?
Ici, nous allons bien.
Vôtre.
Toujours pas reçu le livre de Courteline.
Arromanches.
15 juillet 1893.
Mon cher ami,
Il y a quatre ou cinq jours que je ne reçois plus l’Écho, et la personne chargée de me l’envoyer de Paris n’a rien vu venir. M’aurait-on supprimé le service ? Ce procédé me surprendrait. Voulez-vous vous occuper de ce détail d’administration, ou vaut-il mieux que j’écrive à Henri Simon, moi-même ? Un petit mot de réponse, s.v.p., dans l’enveloppe ci-jointe.
J’aime beaucoup, beaucoup, le livre de Wyzewa. Il y a là-dedans un peu d’Écornifleur, mieux écrit et plus nuancé. N’est-ce pas votre avis ?
L’article qu’il a fait sur les Mimes, est également tout à fait remarquable. Voilà un esprit de plus à suivre de très près. Tant mieux !
Je vais faire 20 kilomètres pour aller chercher l’Écho aujourd’hui.
Portez-vous bien. Votre ami.
Toujours pas le livre de Courteline. N’en parlons plus.
À Tristan Bernard
Arromanches.
28 juillet 1893.
Ainsi, mon cher ami, on s’occupe encore de littérature à Paris, et les Tristan Bernard, en deux pages précieuses, disent leur fait aux Jules Renard, et que leur ironie dérive de leur vanité. C’est parfait, mais que pensez-vous du tennis ? J’ai joué hier pour la première fois, et je pressens une nouvelle passion. M. Schoppfer est maintenant mon homme. Quand je pense que j’ai passé les plus belles années de ma vie peut-être à jouer de la bicyclette !
Je considère aujourd’hui la mienne comme une machine d’enfant ou de personne trop fessue.
Malgré mes hautes préoccupations, je trouve un moment pour vous remercier. Vous êtes tout plein gentil, et l’homme de lettres que je fus vous envoie ses meilleures sympathies et ses compliments. Et désormais parlons d’autre chose. Je suis vos articles de sport avec admiration. Il me semble que votre maîtrise en ce genre « bat son pneumatique », et, quand vous écrirez du tennis, vous serez accompli.
Bien affectueusement.
À Georges Courteline
Chalet Robert.
Arromanches (Calvados).
31 juillet 1893.
Mon cher Courteline,
Je lis, ce matin, dans l’Écho, une chose qui s’appelle l’Île et qui est si drôle que ça me fait penser aux Ronds de cuir. Vous allez être bien surpris quand je vous aurai dit que je ne les ai pas reçus, et, pourtant, je suis sûr que vous me les avez envoyés. Ça serait fort, le contraire ! Enfin, voilà.
On est très bien ici. La mer est à 3 mètres 85 centimètres de ma fenêtre, et je passe mon temps à la regarder. Je vis en cochon intellectuel.
Amitiés.
Au cas où je ne devrais pas plus recevoir les Hannetons que les Ronds de cuir, prévenez-moi, afin que je découpe les feuilletons pour les faire relier ensuite.
Arromanches.
5 août 1893.
Mon cher ami,
Je reçois l’imposant paquet, et je vous pardonne. Ici, tout est à Courteline. Hier, à la gare de Bayeux, j’ai acheté les Facéties de Jean de la Butte. Ce petit bouquin est plein de chefs-d’œuvre. Enfin, que vous dirais-je ? Que vous êtes un bon camarade que j’aime beaucoup et un « homme de lettres » que j’apprécie fort. La mer et la campagne me rendent sentimental.
Je lis sur un journal belge : « Jules Renard en Georges Courteline, ziedaar de meest bekende onder de mieuwe « vroolijke schrijvers. » Qu’est-ce que ça veut dire ? Ça veut-il encore dire que je cherche à vous chiper votre place de l’Écho de Paris ?
Tenez-vous bien et ayez pour moi, je vous prie, l’amitié que j’ai pour vous.
À Marcel Schwob
Arromanches.
10 août 1893.
Mon cher ami,
Je lis seulement ce matin les changements survenus à l’Écho. J’espère qu’ils ne vous atteignent pas et qu’on vous donne une compensation. Un mot, je vous prie, là-dessus.
Le quotidien était pas mal bondé. S’ils y insèrent les prix des concours et les revues Vallette et Wyzewa, il va éclater. Et mon trou sera bouché une fois de plus. Mais je tâcherai de m’en passer demain comme hier. Enfin, mettez-moi au courant.
N’égarez pas mon Aveugle. Vous serez bien gentil de me le renvoyer si vous pouvez.
Au revoir, et bonne chance.
Arromanches.
10 août 1893.
Mon cher ami,
Je reçois le livre de M. votre oncle qui est bien gentil de penser à moi. Je vais lire la Tueuse à petites journées, et je lui écrirai ensuite, (ainsi qu’à Frantz Jourdain. Je suis bien en retard. Excusez-moi auprès de ce dernier. C’est pure paresse.) Déjà, remerciez M. Cahun.
Comment allez-vous ? Vos contes me donnent de vos nouvelles, des bonnes. Mes déplorables proses doivent vous indiquer l’état d’esprit où je suis. Il est grand temps que je rentre. Seul, Pascal me soutient un peu.
J’ai reçu un mot de M. Téry, qui vous connaît. Rien autre qu’une bonne poignée de main de votre ami.
Un homard vous ferait-il plaisir ? Si oui, dites-moi où vous l’adresser.
Arromanches.
14 août 1893.
Mon cher ami,
Il faut vraiment espérer que, parmi les tas de gens que vous avez obligés durant votre règne, il se trouvera quelqu’un qui ne l’aura pas oublié et s’efforcera de vous être utile pour que vous puissiez trouver une compensation.
Je n’ai pas besoin de vous dire, n’est-ce pas ? que, si momentanément vous êtes un peu gêné, je suis toujours là ; et je ne dis pas ça pour faire le généreux, croyez-le bien.
Je rentrerai à Paris dans les premiers jours de Septembre. Peut-être pourrai-je vous voir avant votre départ au régiment.
Je vous adresse, ce soir, à Chaville, deux petits homards, qui vous arriveront, je pense, en bon état, vu qu’ils sont cuits. C’est la meilleure façon de les faire voyager, par ce temps.
Dès que vous aurez quelque chose en vue, prévenez-moi, afin que je me réjouisse.
Bonne chance. Amitiés à votre famille et à M. Priou.
À Georges Courteline
Paris.
29 septembre 1893.
Mon cher ami,
Je vous ai cherché ce soir à l’Écho de Paris. Je voulais vous demander conseil.
Il y a environ trois semaines l’Écho me demandait un petit feuilleton. Il le fallait tout de suite. C’était pressé, pressé. Je me suis mis à la besogne, et, en quinze jours j’ai pondu une soixantaine de pages que j’ai portées ce soir. On n’a plus l’air pressé du tout, oh ! du tout, et on m’offre – si on accepte le feuilleton, – 25 centimes la ligne. Je suis peu au courant des prix, mais il me semble que c’est maigre. Voulez-vous me donner votre avis, afin de me guider quand on acceptera ou qu’on refusera le feuilleton ? D’ailleurs, je commence à croire que l’Écho, qui depuis un an est en train de me creuser un trou, un grand trou à perforer la terre, me le fera encore longtemps attendre. N’y pensons plus. Donnez-moi seulement votre avis sur les 25 centimes. Mais vous feriez bien mieux de venir déjeuner avec moi, quelque matin. Nous parlerions de ça et de mille autres choses. Faites un effort, voyons, et choisissez votre jour.
Tout vôtre. Rappelez-moi, je vous prie, au souvenir de madame et présentez-lui mes hommages respectueux.
Paris.
6 novembre 1893.
Mon cher ami,
C’est entendu avec Ollendorff pour Sourires pincés. Ç’a été un peu dur, mais, j’ai usé de mon droit. Donc M. Flammarion pourra le publier quand il voudra. Voyez-le donc, puis venez, le jour que vous voudrez, déjeuner à la maison, (la petite famille sera très contente de vous voir,) et nous irons ensuite, si vous le voulez bien, porter un exemplaire de Sourires pincés chez Flammarion.
Merci pour votre intervention. Vous êtes vraiment un bon camarade, et cela me fait plaisir de n’avoir pas à aimer en vous que l’homme de talent.
Votre dévoué.
À Marcel Schwob
Paris.
7 décembre 1893.
Mon cher ami,
Je pensais aller vous voir ce soir. Mais nous venons, Tristan Bernard et moi, de remettre notre visite à demain, vers 5 heures.
Mme Renard vous adresse, par colis postal, rue de l’Université, un raisin et une mandarine pour votre malade. (Je ne sais pas son adresse.)
Bon courage et amitiés.
Table des matières
- 1880 Env. 3 pages / 839 mots
- 1881 Env. 8 pages / 2676 mots
- 1882 Env. 6 pages / 1995 mots
- 1883 Env. 10 pages / 3301 mots
- 1884 Env. 5 pages / 1457 mots
- 1885 Env. 10 pages / 3305 mots
- 1886 Env. 17 pages / 6013 mots
- 1887 Env. 21 pages / 7537 mots
- 1888 Env. 8 pages / 2877 mots
- 1889 Env. 4 pages / 1119 mots
- 1890 Env. 1 page / 177 mots
- 1891 Env. 6 pages / 2049 mots
- 1892 Env. 10 pages / 3219 mots
- 1893 Env. 8 pages / 2645 mots
- 1894 Env. 10 pages / 3390 mots
- 1895 Env. 7 pages / 2319 mots
- 1896 Env. 16 pages / 5487 mots
- 1897 Env. 17 pages / 6121 mots
- 1898 Env. 12 pages / 4049 mots
- 1899 Env. 11 pages / 3646 mots
Rejoignez nos plus de 44 000 membres amoureux de lecture et d'écriture ! Inscrivez-vous gratuitement pour reprendre la lecture de cette œuvre au bon endroit à votre prochaine visite et pouvoir la commenter.
- Que pensez vous de cette oeuvre ?
- Annonces à propos de cette oeuvre Flux RSS
-
- Aucune annonce à propos de cette oeuvre
- L'avis des lecteurs
- Fond : Aucun avis
- Forme : Aucun avis
- Télécharger cette oeuvre
-
- Télécharger en ebook PDF
Lecture sur ordinateurEbook PDF - Télécharger en ebook EPUB
Lecture sur liseuse, tablette, smartphone...Ebook EPUB - Télécharger en ebook Mobipocket
Lecture sur liseuse KindleEbook Kindle - Télécharger au format texte OpenDocument
Pour correction ou modification sous traitement de texteFichier OpenDocument
- Télécharger en ebook PDF
- Partager cette oeuvre
- Raccourcis clavier :
-
- ← page précédente
- → page suivante
- L Lumière (fond noir)
- +/- taille du texte
- M Mise en forme
- P Police
- Lecture libre
-
- Littérature générale
- Fictions historiques
- Contes, légendes et fables
- Érotisme
- Action, aventure, polars
- SF et fantastique
- Littérature humoristique
- Littérature sentimentale
- Poésie
- Paroles de chansons
- Scénarios
- Théâtre
- B.D, Manga, Comics
- Jeunesse
- Jeu de rôle
- Savoir, culture et société
- Défis et jeux d'écriture
- Inclassables
- Librairie Atramenta
- Livres audios
- Atramenta Mobile
- Coup de coeur ?
-
- Inclassables
2 pages -
- Lire
- Telecharger l'ebook
- Oeuvre déclarée complète, relue et corrigée par son auteur.
- L'Infini
- Andrée Duchesneau
- Inclassables