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Aux éclats d'une aube funeste
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- Catégorie : Littérature générale > Nouvelles
- Date de publication originale : 13/02/2017
- Date de publication sur Atramenta : 13 février 2017 à 19h40
- Dernière modification : 14 septembre 2017 à 11h25
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- Longueur : Environ 10 pages / 2 827 mots
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Aux éclats d'une aube funeste
Aux éclats d’une aube funeste
Brillance neige, voguant sans limites à travers l’expansion de l’Univers ; vêtue d’une mante cristal, les cheveux brassés par d’infinies poudres stellaires, elle voyageait – heureuse – vers une nouvelle ère dont elle ignorait encore tout, mais de laquelle elle serait fière.
À jamais.
Elle avait parcouru l’espace-temps et la matière noire pour peindre un visage à de nombreuses galaxies ; donner forme à leurs astres et les animer. Depuis des milliards de millésimes, c’était son rôle séraphique. Sa destinée. Et sur distances d’années-lumière encore plus élevées, elle avait contribué à la création de vies sur ceux qu’elle avait toujours considérés comme ses enfants.
Lorsqu’elle avait aluni sur l’un d’eux, il lui suffisait de poser une main au sol pour y puiser toutes ses énergies et édifier les premières lueurs d’un probable monde merveilleux. Ou pas. Son pouvoir composait alors les élémentaires roches, métaux et gaz vitaux ; munissant ses chefs-d’œuvre du dynamisme essentiel à de futures somptuosités. Et une fois sa mission achevée, elle repartait, souriante, laissant ses pouvoirs agir au fil du temps pour revenir les observer des millions d’années plus tard. Constater leurs splendeurs ; s’en délecter.
Parfois, ses enfants grandissaient merveilleusement bien et faisaient sa fierté, mais d’autres fois – le plus fréquemment – leur évolution avait cessé accidentellement, alors il ne subsistait que poussière et silence. Pour les restes de temps lassés.
Dans sa grande quête, elle avait été à de nombreuses reprises témoin d’éminentes métamorphoses. Comme sur la planète Érias, de la galaxie Centaurus, où des êtres dotés de savoir, les célassiens, avaient trouvé l’existence au travers de siècles de progrès naturels. Ou encore sur celle de Méphistae, de la galaxie spirale Tarentule, sur laquelle des bipèdes, les héloïens, cohabitaient en harmonie avec les génisthées : créatures hybrides, ailées et écaillées, capables de survivre aussi bien dans les cieux qu’au sein des océans d’hydrosséna.
La mère fondatrice ne craignait ni le froid, ni la chaleur, et n’éprouvait aucune souffrance. Nul trou noir ou comète de feu ne pouvait l’offenser, car, immortelle, elle avait existé bien au-delà de la naissance de l’incommensurable étendue qu’est l’Univers.
Grande génitrice de la candeur initiale et de la grâce, elle avait fondé d’autres étendues parallèles aux tableaux primitifs tout aussi majestueux les uns que les autres.
Aujourd’hui, rien ne lui signifiait que son destin allait changer ; que l’idée toujours reçue de l’ampleur sidérale allait être marquée, sans retour.
La grande architecte des temps volait toujours plus vite vers son avenir impérissable, satisfaite pour un instant authentique dont la fin déchirante était déjà comptée. Et bien qu’elle soit l’ultime vecteur du savoir et de la connaissance universelle, elle restait malgré tout crédule et confiante. Sereine.
Le nom de cet ange pacifique : Athlæ.
13 milliards d’années en arrière, une explosion eut lieu. Sa lumière navigua jusqu’à elle, tandis qu’elle œuvrait sur la planète d’Issena, et son message était tellement puissant qu’il présageait un grand évènement à venir ; bien plus ample et riche que tous ceux qu’elle avait connus jusqu’ici. Son attraction était d’une force anormale, mais euphorisante, si bien qu’Athlæ ne put résister à la tentation de quitter son devoir en vigueur pour se rendre là-bas.
Délaissant alors la galaxie de la Spirale d’Esther pour l’inconnu, c’est après quelques années-lumière qu’elle croisa les premiers débris échappés de la printanière déflagration. Sa course exaltée était guidée par le tableau éblouissant qui se profilait au loin. Et alors qu’elle slalomait parmi les fragments cosmiques, Athlæ fut prise d’un enthousiasme rarement ressenti ; dès lors magnétisée par la vive clarté d’une primeur qu’elle savait d’ores et déjà unique. Pourquoi cette impression folle ? Si excitante et incontrôlable ? Aucune réponse palpable ne lui vint à l’esprit, mais elle se laissa bercer par les mélodies feutrées d’un futur déjà rayonnant. Assurément parfait.
Immobile, en stase au-dessus de l’océan fraîchement morcelé, elle songeait. Son sourire translucide n’avait jamais été aussi étiré. Son ravissement, sans équivoque. Elle resta là, durant des minutes qu’elle ne mesura pas, émerveillée par les bijoux de cendre et de vapeur. Car, comme éprouvé à Issena, le phénomène était démesurément vaste et resplendissant. Pour cause : aujourd’hui, Athlæ n’eût pas la joie de découvrir une, mais deux naissances. Des galaxies jumelles.
Alors qu’elle se rapprochait de l’une d’entre elles, un nom lui vint instinctivement à l’esprit : Andromède. Cette première se nommerait ainsi et ses réverbérations lui rappelaient une de ses plus belles rencontres : la nébuleuse d’Arthus ; rareté en laquelle certains astres témoignaient d’élémentaires végétations, symboles propices à l’espoir d’une évolution où s’animeraient tôt ou tard de nouvelles formes de vies.
Andromède paraissait riche ; ces mille milliards d’étoiles crépitaient sur sa toile en colimaçon et la parade de son vortex étourdissait la déesse.
Mais une attraction bien plus irrésistible la tenaillait contre sa volonté. L’invitant au cœur de l’autre sœur, juste à côté. Un appel auquel elle devait répondre à tout prix et qui, elle en était convaincue, donnerait enfin un sens à sa quête âgée. Son appétit s’enflamma toujours plus, tandis que plus loin s’ébauchait le dessein d’une condition idéale, sans cesse désirée, qui apporterait ce à quoi Athlæ avait toujours aspiré : la pureté.
2,5 années-lumière s’étaient écoulées avant qu’elle n’y parvienne. Un court voyage depuis Andromède, durant lequel aucun indice n’avait filtré les travers de sa curiosité. Bien qu’elle y réfléchit avec intensité, elle ne trouva aucun nom à lui attribuer. À ce moment précis, seul à son tour le ballet cylindrique de ses astres la fascinait. Dans leur ronde parfaitement rythmée, autour d’une sphère embrasée, leurs couleurs ressortaient sous la chaleur et la lumière de leur axe cosmique.
Puis, la sortant de sa transcendance : l’appel, à nouveau. Maintenant plus puissant. Désormais autre ; altéré en une hypnose résonnant telle une voix, claire et légère ; un susurrement qui porta Athlæ en apesanteur, vers lui, par son pouvoir électro-aimant. Se laissant bercer, elle fut toujours plus séduite par l’impensable.
Le torrent invisible qui l’entraînait paraissait sans fin. Et, dans l’étreinte qui la charriait, elle effleura de nombreuses planètes vierges et timides, elles-mêmes ceinturées de leurs lunules endormies ; bienveillantes. Athlæ fit alors brièvement connaissance avec des centaines d’entre elles, aux tailles et couleurs bigarrées, révélant un kaléidoscope homogène et salvateur.
Mais jusqu’où cette main tendue la tirerait-elle ? Bien plus loin encore ? En dehors de ces contrées magiques ? Ne pas trop s’éloigner, pensa Athlæ, surtout pas !
La peur croissante qu’elle ressentait jusqu’alors fut immédiatement effacée lorsque la prise laissa enfin ses pieds toucher le sol grisâtre. Posée délicatement telle une plume, elle sut que ces terres étaient à l’origine des affinités irraisonnées qu’elle avait éprouvées contre son gré.
Autour d’elle, de vastes étendues poudreuses, balayées par des vents violents. Cette planète avait déjà subi de nombreuses éruptions volcaniques, alors qu’elle n’y était jamais venue. Cela arrivait parfois, voire souvent, et les multiples cratères qui l’encerclaient en attestaient. Là étaient alors les repères d’un potentiel indéniable. Dans ce sens, Athlæ fut convaincue quant à la destination à laquelle elle dut répondre à toute force, bien que guidée par un ordre divin dont elle ne connaissait toujours pas la source.
L’atmosphère laissait éclater ses grondements orageux et leurs éclairs fulgurants. La foudre s’abattait de-ci de-là en de fines veines phosphorescentes, propulsant des nuées de matières encore dénuées d’âmes, arrachant à la croûte nue des particules venant se fusionner à de titanesques cyclones. Puis, ils s’évadaient pour disparaître vers des horizons sans limites apparentes. Aveugles.
Athlæ s’agenouilla lentement. Posa une main au sol et ferma les yeux. Se concentrant, elle perçut de nouvelles voix, toujours plus nombreuses. Elle comprit d’où elles venaient et qui elles étaient. Au centre du globe, sous d’infinies strates de limons dissemblables, un noyau massif et galvanisant. Les chants de ce monde lui faisaient échos.
Puis, après un temps de méditation prolongé, les habituelles visions qui lui dévoileraient des bribes de ce que serait l’avenir de ces lieux. Puis, elles surgirent en son esprit, mais, cette fois-ci, Athlæ fut surprise par l’ampleur inédite de la palette d’énergies positives qui s’offrait à elle.
Les données, abondantes, s’enchaînaient à une cadence effrénée. Elle y voyait des teintes : verte, bleu, rouge, jaune et d’incalculables autres, entre les extrêmes des noir et blanc, impossible de les repérer toutes tant le manège cérébral se faufilait hâtivement. Aussi, elle découvrit des êtres vivants par millions ; faits de plumes, d’écailles, de poils et de cuirs encore jamais connus ; se mouvant à deux, quatre, six, huit,… des centaines de pattes ! Nageant, volant, poussant chacun leur propre cri ; unique. Épique ! Ici où tout se mélangerait, s’accélérerait si vite, peut-être trop, des senteurs et des goûts innombrables, somptueux, naîtront en accord avec autant d’émotions et de sentiments qu’il sera possible d’imaginer sur ce que deviendra cette planète déjà exceptionnelle.
Sa main, arrimée au sol, tantôt se réchauffait, tantôt se glaçait. Puisant toute la sève génératrice, Athlæ assimilait maintenant les définitives ondes thermiques messagères du noyau en fusion protégé par les lits composites. Le grand bouleversement, annonciateur de la candeur tant attendue, était imminent.
Se mit ensuite à trembler la terre. Partout autour, partout ailleurs. D’abord craintivement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que d’énormes crevasses lézardent la croûte terrestre pour bailler sa colère. Puis, dans un mouvement de va-et-vient, vinrent se chevaucher de colossales plaques tectoniques, dessinant de nouveaux reliefs aux pics partant se noyer dans les cieux haut perchés. Des milliers de volcans séculaires, alliés à d’autres plus jeunes, éclatèrent en sanglot tour à tour pour s’unirent et cracher leurs souffles oxydants. Les vents, eux aussi plus ambitieux, chassèrent les longues volutes moléculaires s’échappant des cheminées rocheuses pour les disperser sur toute la planète, l’en gorger. Le climat finit alors par s’assombrir considérablement.
À présent, seuls des éclairs voisins laissaient encore leurs clins d’œil pudiques perforer le magma bouillonnant – fumant − qui comblait l’atmosphère pour rendre un environnement jadis vierge aussi hermétique qu’une bulle de savon.
Tandis que l’opus créatif tendait à son accomplissement, l’esprit d’Athlæ fut traversé par d’inouïes images intemporelles. Elle y vit une flore nuancée, amalgamée à une grande âme ; un rêve éthéré, plié à une vaste réalité. Mais laquelle ? Sa mante et ses cheveux battaient de leurs ailes au sein des phénomènes qu’elle avait déclenchés. Mais, suite à ce chaos édificateur, tout prendrait sa place naturellement ; deviendrait sensationnel.
Calme.
Elle se laissa aller vers la fin de son œuvre, l’essaim myriadaire d’éléments tourbillonnants la lovant toujours plus. Son corps se désensibilisa ; devint sourd et atone. Et il y eut le flou ; une vague vaporeuse – familière – qui la laissa choir dans un épuisement bien mérité. Un noir hypnotisant. Agile et accommodant.
Ce fut la fin d’un nouveau début.
Le souvenir qu’Athlæ avait gardé de ce jour notable et curieux demeurait intact ; total. Lors des 4 milliards d’années qui les avaient séparés, elle eut le plaisir d’œuvrer sur de nombreuses autres surprises. Mais aucune d’entre elles n’avait jamais su la combler d’autant de mystères saisissants. Si bouleversants.
Dans sa ronde intersidérale, elle fendit la robe filiforme d’Andromède pour y constater un royaume paisible, sans aucun doute propice à l’éclosion de futures lignées fantastiques. Un ressentiment vivifiant qu’elle éprouva en parcourant le panorama truculent de la jumelle. Athlæ se demanda si, quelque part ici aussi, la vie pouvait être possible ; et si elle reviendrait un jour en cette nébuleuse pour lui donner sa chance.
La perspective que ses espérances puissent également trouver place parmi Andromède la ravit, mais ne l’arrêta pas pour autant. Car, juste devant, le sourire de l’autre sœur ; une faille, porte d’entrée d’une contrée sans identité, l’invitant à revisiter ses instants les plus palpitants.
Lorsque la déesse se retrouva enfin en stagnation au-dessus de celle qu’elle attendait de revoir depuis bien longtemps, elle y vit sa prophétie réalisée et bien plus encore. Couvrant du regard la planète azuréenne, Athlæ ne put immédiatement croire en ce qu’elle voyait. Face à la beauté sans pareil de l’astre, toutes ses attentes s’affirmaient et ses espérances les plus extravagantes se confirmaient. Se perdirent enfin ses sens, car, ici se tenait désormais le joyau absolu de l’Univers. Le miracle de son histoire.
Elle ferma les yeux, laissant les visions d’un passé éloigné se nicher en elle ; l’inonder. Alors, le diaporama psychique lui conta la fable de ce monde incomparable ; de ces millions d’années durant lesquelles d’indénombrables armées d’isotopes s’étaient harmonisées entre elles pour créer les premières vies organiques, lentement mais sûrement. Un temps où les plaines et les montagnes se dressaient pour les protéger d’avenirs plus obscurs. Où les sables et les roches s’alitaient dans une ère en laquelle chacun trouvait sa place sans d’autres conflits à subir que ceux de leurs batailles personnelles : causes propres à leurs raisons d’êtres.
Puis virent le jour des créatures parfois aussi élevées que les cieux. Des espèces de chair et de sang, douées de réflexion et d’instinct, n’agissant que par honneur pour leur survie, leur pérennité ; en union constante avec une végétation toujours plus croissante et diversifiée. Ici où tout s’améliorait sur des continents morcelés, dérivant au travers d’océans perpétuels.
Athlæ fut également surprise du nombre d’abolitions auxquelles cette planète avait survécu. Entre pluies d’astéroïdes, cataclysmes dévastateurs et périodes glaciaires s’étendant sur des centaines d’années, elle avait su résister pour, à chaque fois, redonner le meilleur d’elle-même à sa reconstruction ; réalimenter ses naufrages par des valeurs toujours plus abondantes et fastueuses. Et le présent en était le témoin avec ses milliers de sorte de fleurs, d’animaux et de saveurs, maintenant exposés à Athlæ. Parmi les élégances qui lui avaient été données de voir, celle-ci était la plus complète et organisée de toutes ; en symbiose parfaite par l’effet de ses dispositions innées.
Soudainement, une terreur sournoise frappa la déesse. Dans son esprit, un futur nécrosé s’imageait. Prise de convulsions, elle ouvrit les yeux pour échapper à un cauchemar certain. Sa curiosité la supplia de chercher à comprendre, alors sa vue se contracta une nouvelle fois. À son insu.
Ce qui apparaissait lui était inconnu, mais elle en comprit le sens, la finalité. Des fabrications meurtrières − éléments pensés par des conceptions pourtant incroyables − composés de métaux, de bois et de pierre, émergeaient. Des instruments de choc, défiant toute cause sage, servant toute erreur de jugement, allant rendre l’extraordinaire planète esclave de pires folies réalisées par… par la plus intelligente des races que l’Univers n’ait jamais connu. Une espèce qui dans son ignorance deviendrait victime de ses propres idées et croyances ; détruirait un tout merveilleux non pas pour évoluer, contrairement à ce qu’elle s’imaginerait, mais pour aller vers une rétrogression résolue.
La grande bleue avait déjà subi plusieurs extinctions, certes, mais la prochaine ne serait plus du commandement de la nature. Le rêve – la foi − d’Athlæ s’écroula alors rudement. Dans une dernière volonté, elle pria pour cette planète si jeune, mais dont le sort était irrévocable. Comme un hasard à la destinée vouée au feu et au sang.
Aujourd’hui, sa vie avait basculé face à l’incorrigible et tout était de sa faute. Sans doute s’en voudra-t-elle longtemps d’avoir été aussi ambitieuse. Sans doute ne l’oubliera-t-elle jamais, car elle ne pouvait mourir et sa conscience ne le lui permettrait pas une telle omission. Parce qu’elle demeurerait immortelle. Marquée par le fer rouge de l’horreur, Athlæ devait à présent s’envoler pour poursuivre sa mission éternelle.
Lorsqu’elle se retourna pour la dernière fois vers la jumelle d’Andromède, des noms lui vinrent enfin à l’esprit. Cette nébuleuse couleur crème, avec son œil flamboyant, s’appellerait : Voie lactée. Et quelque part, confondus à ses milliers d’astres inanimés, les plus beaux espoirs qu’elle devait maintenant laisser mourir lentement, sans se retourner. Pour oublier la Terre et les milliers d’espèces vivantes qu’elle préservait avec force. Abandonner l’idée dès lors bafouée qu’est celle de la pureté : être humain.
Brillance neige, voguant sans limites à travers l’expansion de l’Univers, Athlæ repartait – morose – vers une nouvelle ère dont elle ignorait encore tout, mais elle ne savait plus si elle saurait en être fière.
À jamais.
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