Je vois dans ce poème une ode à la vie qui nous a été donnée dans sa perfection et sa fragilité.
Vous écrivez bellement: Le cœur n’est là que pour aimer,
Et de souffrir d’avoir aimé
et c'est bien là toute la dualité de l'être partagé entre bonheurs et malheurs que nous offre cette vie d’une réalité si belle,, certes, mais qui peut aussi "offrir" de terribles épreuves sans qu'aucun fossoyeur ne s'en mêle.
Mais je veux garder de ce poème la nature heureuse de l'auteur qui écrit Le malheur n’est pas mon affaire et son adresse pour mener sa barque à bon port.
La dernière strophe est une leçon d'humilité à laquelle j'adhère.
Sur la forme, je trouve le texte un peu long. Il me semble (mais ce n'est que mon impression) que pour être plus percutant (si c'est possible) il aurait gagné en concision.
Merci, Henri, pour avoir partagé votre réflexion sur la nature de la Vie.
Henri Sery(auteur de l'oeuvre)18 février 2021 à 17h30
Bonsoir Damy,
J'arrive avec du retard, mais je suis là.
J'aime écrire en musique et souvent une phrase musicale fait éclore une phrase faite de mots. En partant de là, l'histoire se dessine. J'essaye de ne pas me laisser emporter par des perturbations extérieures. Ce que vous appelez une longueur vient de là, pour ce poème. La strophe sur les sombreurs pourrait très bien être supprimée.
Ne supprimez rien qui vous paraisse indispensable à l'intelligibilité du texte et à son message.
Je ne sais quelle musique vous a inspiré mais vous avez sûrement dû respecter sa longue harmonie.
Je suis habitué à des textes plus courts. Bien mauvaise habitude à corriger sûrement.
Je vois dans ce poème une ode à la vie qui nous a été donnée dans sa perfection et sa fragilité.
Vous écrivez bellement:
Le cœur n’est là que pour aimer,
Et de souffrir d’avoir aimé
et c'est bien là toute la dualité de l'être partagé entre bonheurs et malheurs que nous offre cette vie d’une réalité si belle,, certes, mais qui peut aussi "offrir" de terribles épreuves sans qu'aucun fossoyeur ne s'en mêle.
Mais je veux garder de ce poème la nature heureuse de l'auteur qui écrit Le malheur n’est pas mon affaire et son adresse pour mener sa barque à bon port.
La dernière strophe est une leçon d'humilité à laquelle j'adhère.
Sur la forme, je trouve le texte un peu long. Il me semble (mais ce n'est que mon impression) que pour être plus percutant (si c'est possible) il aurait gagné en concision.
Merci, Henri, pour avoir partagé votre réflexion sur la nature de la Vie.
Commentaire modifié le 24/01/2021 à 15h38
Bonsoir Damy,
J'arrive avec du retard, mais je suis là.
J'aime écrire en musique et souvent une phrase musicale fait éclore une phrase faite de mots. En partant de là, l'histoire se dessine. J'essaye de ne pas me laisser emporter par des perturbations extérieures. Ce que vous appelez une longueur vient de là, pour ce poème. La strophe sur les sombreurs pourrait très bien être supprimée.
Merci Damy
Ne supprimez rien qui vous paraisse indispensable à l'intelligibilité du texte et à son message.
Je ne sais quelle musique vous a inspiré mais vous avez sûrement dû respecter sa longue harmonie.
Je suis habitué à des textes plus courts. Bien mauvaise habitude à corriger sûrement.
Bien à vous, Henri.