Tant attendue... cette voix qui met à l'honneur le doute, car c'est comme cela que je t'interprète.
quand le doute habite un auteur et qu'il arrive à le faire parler, il me paraît que c'est là qu'il a le plus de chances de réussir son oeuvre et que celle-ci perdure.
Que cela devienne un succès : les chances sont faibles car l'époque veut, en effet, des certitudes simples qui rassurent le public.
Que cette même oeuvre devienne un chef-d'oeuvre ? Les autres époques jugeront.
Je ne crois pas que l'auteur, lui, s'attende au miracle. Il a besoin d'écrire. Les mots lui viennent et il ne peut les retenir... ou mourir.
Pour moi, je reste sur ma position : la critique d'une oeuvre doit se faire dans une oeuvre à part (contradictoire, possiblement, évidemment).
Les mots viennent à l'auteur. Le critique n'entendra pas forcément les mêmes mots lui venir dans un contexte différent. Chacun a raison. Pour cela il est préférable d'éviter de critiquer un texte reçu par un autre auteur.
En même temps, comme je ne suis pas écrivain et ni critique (je n'ai jamais dit le moindre mot défavorable sur l'écrit d'une autre personne) je ne suis pas vraiment qualifié en la matière.
Mais une chose est certaine, j'avais besoin de te lire, Andrée, mon Amie et compagne d'écriture. Cette partie de lecture vient d'être un immense plaisir... d'autant que c'est aussi une partie de toi que j'ai reçue là. Une partie qui me fait revenir toujours vers toi.
Que ce texte soit lu et bien compris. Tu nous a fait cadeau de tant de beaux textes...
Je te renvoie le compliment, car j'adore tes écrits. En fait, tes pensées rejoignent les miennes. Et cette complicité n'est pas un hasard. Nous nous trouvions sur la même route idéologique. Voilà tout !
Je te remercie infiniment de ton agréable visite et de ta fort gentille appréciation qui ensoleillera ce début de semaine.
Tant attendue... cette voix qui met à l'honneur le doute, car c'est comme cela que je t'interprète.
quand le doute habite un auteur et qu'il arrive à le faire parler, il me paraît que c'est là qu'il a le plus de chances de réussir son oeuvre et que celle-ci perdure.
Que cela devienne un succès : les chances sont faibles car l'époque veut, en effet, des certitudes simples qui rassurent le public.
Que cette même oeuvre devienne un chef-d'oeuvre ? Les autres époques jugeront.
Je ne crois pas que l'auteur, lui, s'attende au miracle. Il a besoin d'écrire. Les mots lui viennent et il ne peut les retenir... ou mourir.
Pour moi, je reste sur ma position : la critique d'une oeuvre doit se faire dans une oeuvre à part (contradictoire, possiblement, évidemment).
Les mots viennent à l'auteur. Le critique n'entendra pas forcément les mêmes mots lui venir dans un contexte différent. Chacun a raison. Pour cela il est préférable d'éviter de critiquer un texte reçu par un autre auteur.
En même temps, comme je ne suis pas écrivain et ni critique (je n'ai jamais dit le moindre mot défavorable sur l'écrit d'une autre personne) je ne suis pas vraiment qualifié en la matière.
Mais une chose est certaine, j'avais besoin de te lire, Andrée, mon Amie et compagne d'écriture. Cette partie de lecture vient d'être un immense plaisir... d'autant que c'est aussi une partie de toi que j'ai reçue là. Une partie qui me fait revenir toujours vers toi.
Que ce texte soit lu et bien compris. Tu nous a fait cadeau de tant de beaux textes...
Commentaire modifié le 25/10/2020 à 21h01
Bonsoir Jean-Jacques,
Quelle heureuse surprise de te retrouver ! ...
Je te renvoie le compliment, car j'adore tes écrits. En fait, tes pensées rejoignent les miennes. Et cette complicité n'est pas un hasard. Nous nous trouvions sur la même route idéologique. Voilà tout !
Je te remercie infiniment de ton agréable visite et de ta fort gentille appréciation qui ensoleillera ce début de semaine.
Gros bisous, mon frère de plume.
Andrée des Amériques