Et peut-on être las, quand on est censé rêver d'avenir ?
C'est un beau texte SZ, merci

Chérir l'illusion, s'étourdir sottement...
Là encore, le philosophe paie pour ses semblables, car lui seul comprend l'apparente inutilité de l'existence. Il cherche un sens nécessaire à tout cela. Peut-être est-ce parce qu'il s'entête à vouloir laisser une trace durable ; il veut contrecarrer l'imposture du temps car l'angoisse l'étreint. Au regard de cela, ne sommes-nous pas tous un peu philosophes ? Philosophes en herbe, j'entends, philosophes du dimanche...
Mais peut-être, avez-vous raison : désenchantement et désillusion sont les armes ultimes contre l'emprise perverse de la mort.
A moins qu'il faille suivre la loi du Karma pour se dissoudre enfin dans le néant apaisant ? Vaste sujet, s'il en est.
Merci, Santiago, pour ce texte riche.

Un retour bien mélancolique ; mais la mélancolie n'est-elle pas la source d'inspiration des plus grands poètes ? Merci Santiago.

Le narrateur est très désenchanté.
On dit que le temps fait son œuvre, mais quel oeuvre?
Bravo et merci, SZ.

Tout va bien, pousse du pied ton corps vers haut en t'appuyant sur le fond du bassin, tu vas sentir le plaisir d'une remontée en toute légèreté et au sommet une grande bolée d'air viendra rafraîchir ton esprit après avoir oxygéné tes poumons, là, tu seras prêt à repartir en conquête , revitalisé plein de ressources pour ton retour .
Bien à toi GE

J'aimerais que ce soit un retour en force... celui qui ne renonce jamais... Touchante poésie, bravo !
Anges :)

Il est d'une telle tristesse de perdre ses illusions ou ses espoirs...

Absolument génial ce poème car il ouvre la porte au changement.

Bravo et merci, Santiago

Bises

Andrée