Un très joli texte, et en ces moments particuliers, pensons à nos « blouses blanches » . Merci de m’en avoir confié l’enregistrement, chère Géode, prenez soin de vous et belle continuation ! Très amicalement 💕 Christiane.
Géode AM(auteur de l'oeuvre)1 décembre 2020 à 16h31
J'ai écrit ce texte en pensant à des amis particulièrement touchés par ce problème et je sais à quel point les membres du corps médical sont dévoués, quelles que soient les circonstances. Qu'ils en soient remerciés.
Et merci à vous, chère Christiane, pour cette version sonore qui met ce texte en avant !
Très amicalement.
« Personne ne sait encore si tout ne vit que pour mourir ou ne meurt que pour renaître. »
de Marguerite Yourcenar. Des mots que j’ai lus ce matin et qui s’accordent tellement avec ta nouvelle.
Merci GéO !
Géode AM(auteur de l'oeuvre)17 décembre 2018 à 15h50
Merci pour cette belle citation, Zoé, et pour ta lecture !
C'est vrai que parfois on ne sait pas trop pourquoi on est ici. Mais certains y trouvent une belle mission à remplir !
Même si le thème du sujet est découvert dès le premier paragraphe, je me suis laissée porter par l'histoire. Un beau cadeau de Noël que cette nouvelle vie qui s'annonce. Merci Gé0 :)
Récit poignant, qui souligne à quel point la vie ne tient qu'à un "fil", et que si, parfois, le malheur des uns fait le bonheur des autres, il ne s'agit pas toujours d'un bonheur "machiavélique". On ne peut qu'admirer leur courage, chacun faisant abstraction, à sa manière, de ses émotions pour relever le même défi. Merci GéO.
Géode AM(auteur de l'oeuvre)17 décembre 2018 à 8h31
Merci pour ton commentaire, Mary !
Il est certain que l'abnégation et le dévouement de certaines personnes sont infiniment précieux et salvateurs. On ne doit pas les oublier.
Bonjour Géo,
Je me remets à la lecture sur Atra, tout doucement car peu de temps en ce moment.
C'est bien agréable de te lire.
Bernard, Barnard... voulu, je pense ! Un bel hommage en tout cas à ces grands Messieurs qui redonnent espoir et vie, et une pensée particulières aux âmes de ceux qui ont redonné la vie, en perdant la leur.
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 20h57
Bonsoir Coco,
Heureuse de te voir faire un tour ici !
Oui, le nom du chirurgien est directement inspiré par celui du Professeur Barnard, le pionnier des transplantations cardiaques.
Et il faut aussi penser à tous ceux qui offrent leurs organes pour sauver d'autres personnes. On ne leur rend pas assez hommage.
Quel plus beau cadeau de Noel que cette rallonge de vie ?
Une pensée pour les "victimes" : le jeune motard et le médecin délaissé par sa femme. Il n'empêche qu'ils ont un rôle primordial dans ce cadeau inestimable...
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 20h53
Merci pour ta lecture, Michèle !
Comme on dit : le malheur des uns peut faire le bonheur des autres. C'est le principe du don d'organes. Et le dévouement des chirurgiens, surtout dans ces situations-là, est remarquable. Bien souvent, les soignants, à quelque niveau que ce soit, s'oublient eux-mêmes pour se consacrer aux patients.
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 20h49
Merci, Jacques !
Je n'ai pas cherché à garder le mystère jusqu'au bout. J'ai surtout voulu éviter le mélo tout en abordant un sujet grave : la transplantation cardiaque, en l'occurrence, mais plus largement le fait que les urgences de santé doivent toujours rester prioritaires. Et il y a des gens qui se dévouent même pendant les périodes de fêtes.
Même si on devine assez rapidement le contexte, l'écriture est belle et la thématique fait prendre conscience que pour certains, en coulisse, l'humain est primordial au delà de toute autre considération. Par les temps qui courent, c'est bien de le rappeler de cette façon :)
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 20h45
Merci pour ta lecture, Bruno !
J'ai laissé transparaître le contexte assez vite, sans trop vouloir jouer sur les mots, par respect pour ces patients, ces soignants et toutes ces personnes qui se dévouent pour sauver les autres.
Il faut aussi penser à tous ces gens qui restent dans les hôpitaux pendant les fêtes : même si un effort est fait pour améliorer leur quotidien, la souffrance reste la même.
Voila un cadeau pas comme les autres, heureusement le père noël Bernard n'a pas eu à passer par la cheminée.
merci pour cette histoire qui nous sort de l'ambiance habituelle de noël.
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 20h39
Merci pour ta lecture, Francis !
Quelque part, cette histoire nous amène à nous souvenir que certaines personnes ne peuvent fêter Noël comme tout le monde, que ce soit parce qu'elles sont dans les hôpitaux, mais aussi parce qu'elles peuvent être d'astreinte, ou de garde, par exemple.
Un grand respect et beaucoup d'admiration pour ces gens entièrement dévoués à réparer les corps, les cœurs, les âmes... Certainement le plus beau ''métier'' du monde !
Un beau texte qui nous fait réfléchir sur le plus important, l'essentiel : la vie, sans laquelle rien n'est possible.
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 20h28
Merci de ta lecture, Jérémie !
On leur doit beaucoup, à tous ces gens qui se dévouent, y compris lors des périodes de fêtes.
Je pense aussi beaucoup à tous ceux qui restent à l'hôpital, les patients autant que les soignants, dans ces moments-là.
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 20h25
Merci de ta lecture, Fabrice !
Tu m'excuseras pour mon inculture crasse, mais quel est le livre auquel tu fais allusion ? Cela ne m'évoque rien. Mais peut-être que je le connais quand même...
Un conte de Noël à la senteur d'aigre-douce, le malheur des uns faisant le bonheur des autres... Et, en cette période de folie, la route se retrouve pourvoyeuse de "dons" plus qu'à l'accoutumée...
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 12h03
Merci pour ta lecture, Fanchon !
Certains "cadeaux" n'ont pas le même prix que les autres. Et certains "père Noël" ont une mission très particulière. Heureusement qu'ils sont là.
Certains secteurs professionnels comportent des contraintes de présence plus ou moins souples. Il est souvent très difficile de faire cohabiter les membres de secteurs différents... même si tous sont indispensables à la bonne marche de l'ensemble. Mais lorsqu'on "tombe amoureux", on est bien loin des contingences pratiques ! ;-)
On le sent, on le sait. J'ai hésité un moment mais ai conservé on idée. Ce que j'aime dans ce texte, c'est la manière dont il est construit. C'est presque plan superposé à un autre. (je parle de l'écriture). Et voilà une fête... particulière ^^ Merci Géo !! :-)
Géode AM(auteur de l'oeuvre)16 décembre 2018 à 11h57
Merci pour ta lecture, Amélie !
La construction en plans superposés évite (j'espère) de tomber dans le mélo des histoires de Noël. Et pourtant, c'est si vrai : pendant que certains s'acharnent à faire la fête à tout prix, d'autres veillent et travaillent, heureusement pour nous.
Un très joli texte, et en ces moments particuliers, pensons à nos « blouses blanches » . Merci de m’en avoir confié l’enregistrement, chère Géode, prenez soin de vous et belle continuation ! Très amicalement 💕 Christiane.
J'ai écrit ce texte en pensant à des amis particulièrement touchés par ce problème et je sais à quel point les membres du corps médical sont dévoués, quelles que soient les circonstances. Qu'ils en soient remerciés.
Et merci à vous, chère Christiane, pour cette version sonore qui met ce texte en avant !
Très amicalement.
Commentaire modifié le 01/12/2020 à 16h32
très originale approche pour le 25 décembre : je n'en attendais pas moins, venant de Toi !!!!
Merci, Marietta !
Une réponse au défi "Soir de Noël" proposé par Jacques Lemoine : des soirs de Noël hors du commun, évidemment.
Commentaire modifié le 11/02/2019 à 18h35
« Personne ne sait encore si tout ne vit que pour mourir ou ne meurt que pour renaître. »
de Marguerite Yourcenar. Des mots que j’ai lus ce matin et qui s’accordent tellement avec ta nouvelle.
Merci GéO !
Merci pour cette belle citation, Zoé, et pour ta lecture !
C'est vrai que parfois on ne sait pas trop pourquoi on est ici. Mais certains y trouvent une belle mission à remplir !
Commentaire modifié le 17/12/2018 à 15h50
Même si le thème du sujet est découvert dès le premier paragraphe, je me suis laissée porter par l'histoire. Un beau cadeau de Noël que cette nouvelle vie qui s'annonce. Merci Gé0 :)
Merci pour ta lecture, Marie !
On ne choisit pas certains "rendez-vous" : il faut être prêts à les accepter quand ils se présentent !
Commentaire modifié le 17/12/2018 à 08h33
Récit poignant, qui souligne à quel point la vie ne tient qu'à un "fil", et que si, parfois, le malheur des uns fait le bonheur des autres, il ne s'agit pas toujours d'un bonheur "machiavélique". On ne peut qu'admirer leur courage, chacun faisant abstraction, à sa manière, de ses émotions pour relever le même défi. Merci GéO.
Merci pour ton commentaire, Mary !
Il est certain que l'abnégation et le dévouement de certaines personnes sont infiniment précieux et salvateurs. On ne doit pas les oublier.
quand on est emporté par le néant...mais l'humain pour beaucoup d'entre nous construit notre VIE !
touché !
merci GéOd'AM
Merci, Bruno !
Il est vrai que parfois la vie tient à si peu de choses...
Bonjour Géo,
Je me remets à la lecture sur Atra, tout doucement car peu de temps en ce moment.
C'est bien agréable de te lire.
Bernard, Barnard... voulu, je pense ! Un bel hommage en tout cas à ces grands Messieurs qui redonnent espoir et vie, et une pensée particulières aux âmes de ceux qui ont redonné la vie, en perdant la leur.
Bonne soirée et à bientôt
Coco
Bonsoir Coco,
Heureuse de te voir faire un tour ici !
Oui, le nom du chirurgien est directement inspiré par celui du Professeur Barnard, le pionnier des transplantations cardiaques.
Et il faut aussi penser à tous ceux qui offrent leurs organes pour sauver d'autres personnes. On ne leur rend pas assez hommage.
A bientôt !
GéO
Quel plus beau cadeau de Noel que cette rallonge de vie ?
Une pensée pour les "victimes" : le jeune motard et le médecin délaissé par sa femme. Il n'empêche qu'ils ont un rôle primordial dans ce cadeau inestimable...
Merci pour ta lecture, Michèle !
Comme on dit : le malheur des uns peut faire le bonheur des autres. C'est le principe du don d'organes. Et le dévouement des chirurgiens, surtout dans ces situations-là, est remarquable. Bien souvent, les soignants, à quelque niveau que ce soit, s'oublient eux-mêmes pour se consacrer aux patients.
On devine assez rapidement de quoi il s'agit. Ça n'enlève pas le plaisir de lire ce conte de Noël. J'aime la chute "au cœur de Noël. Défi réussi.
Merci, Jacques !
Je n'ai pas cherché à garder le mystère jusqu'au bout. J'ai surtout voulu éviter le mélo tout en abordant un sujet grave : la transplantation cardiaque, en l'occurrence, mais plus largement le fait que les urgences de santé doivent toujours rester prioritaires. Et il y a des gens qui se dévouent même pendant les périodes de fêtes.
Même si on devine assez rapidement le contexte, l'écriture est belle et la thématique fait prendre conscience que pour certains, en coulisse, l'humain est primordial au delà de toute autre considération. Par les temps qui courent, c'est bien de le rappeler de cette façon :)
Merci pour ta lecture, Bruno !
J'ai laissé transparaître le contexte assez vite, sans trop vouloir jouer sur les mots, par respect pour ces patients, ces soignants et toutes ces personnes qui se dévouent pour sauver les autres.
Il faut aussi penser à tous ces gens qui restent dans les hôpitaux pendant les fêtes : même si un effort est fait pour améliorer leur quotidien, la souffrance reste la même.
Voila un cadeau pas comme les autres, heureusement le père noël Bernard n'a pas eu à passer par la cheminée.
merci pour cette histoire qui nous sort de l'ambiance habituelle de noël.
Merci pour ta lecture, Francis !
Quelque part, cette histoire nous amène à nous souvenir que certaines personnes ne peuvent fêter Noël comme tout le monde, que ce soit parce qu'elles sont dans les hôpitaux, mais aussi parce qu'elles peuvent être d'astreinte, ou de garde, par exemple.
Un grand respect et beaucoup d'admiration pour ces gens entièrement dévoués à réparer les corps, les cœurs, les âmes... Certainement le plus beau ''métier'' du monde !
Un beau texte qui nous fait réfléchir sur le plus important, l'essentiel : la vie, sans laquelle rien n'est possible.
Merci GéO !
Merci de ta lecture, Jérémie !
On leur doit beaucoup, à tous ces gens qui se dévouent, y compris lors des périodes de fêtes.
Je pense aussi beaucoup à tous ceux qui restent à l'hôpital, les patients autant que les soignants, dans ces moments-là.
Une aventure humaine en accéléré, avec ses doutes et ses espoirs...
Un conte de Noël original, qui fait écho à un certain livre de M. de K. :-)
Merci GéO
Merci de ta lecture, Fabrice !
Tu m'excuseras pour mon inculture crasse, mais quel est le livre auquel tu fais allusion ? Cela ne m'évoque rien. Mais peut-être que je le connais quand même...
Un conte de Noël à la senteur d'aigre-douce, le malheur des uns faisant le bonheur des autres... Et, en cette période de folie, la route se retrouve pourvoyeuse de "dons" plus qu'à l'accoutumée...
Merci pour ta lecture, Fanchon !
Certains "cadeaux" n'ont pas le même prix que les autres. Et certains "père Noël" ont une mission très particulière. Heureusement qu'ils sont là.
Certains secteurs professionnels comportent des contraintes de présence plus ou moins souples. Il est souvent très difficile de faire cohabiter les membres de secteurs différents... même si tous sont indispensables à la bonne marche de l'ensemble. Mais lorsqu'on "tombe amoureux", on est bien loin des contingences pratiques ! ;-)
On le sent, on le sait. J'ai hésité un moment mais ai conservé on idée. Ce que j'aime dans ce texte, c'est la manière dont il est construit. C'est presque plan superposé à un autre. (je parle de l'écriture). Et voilà une fête... particulière ^^ Merci Géo !! :-)
Merci pour ta lecture, Amélie !
La construction en plans superposés évite (j'espère) de tomber dans le mélo des histoires de Noël. Et pourtant, c'est si vrai : pendant que certains s'acharnent à faire la fête à tout prix, d'autres veillent et travaillent, heureusement pour nous.
Oui c'est ça. Il n'y a pas de phrases qui, forcément, décrirait le tout dans une tendance, une atmosphère vers le mélo. Et c'est fort bien ainsi.