Triste, triste était mon Coeur ...
Très beau poème où toute la profondeur des sentiments se ressent, comme la chaleur d'une main qui nous effleure, pour nous emmener à sa suite, dans les brisées de son trop long voyage ...
Ton poème, Denise, me ramène égoïstement à 3 des miens: "Le vieil if" suivi de "Stabat mater dolorosa" et "Les chapeaux". Tu les as peut-être lus ?
J'avais reçu en commentaire un encouragement: les morts ont l'éternité devant eux et leur patience pour les retrouvailles est sans limite alors que la vie est si courte ici-bas qu'il faut profiter de tous ses instants. Mais je comprends que l'on puisse être affligé au point de ne pouvoir se redresser, sentiment de désespoir que tu sais très bien rendre ici, dans ton style sobre, simple et percutant.
Merci pour ce partage.
La beauté des vers s'allie à celle des sentiments durables. Jolie trouvaille que cette inversion de la trop connue accélération du temps. Tout en étant l'inverse du "Ô temps, suspends ton vol", c'est en fait la même chose.
C'est toujours un grand plaisir que te lire.
Bouleversant de réalisme et de simplicité. En quelques mots, on voit cette personne avec sa peine, si lourde, si touchante. Je ne sais pas pourquoi la tristesse m'émeut autant.
Ces vers sont tout simplement bouleversants. Cette visite quotidienne au cimetière et ce souhait unique qui rend l'attente interminable. Tellement triste et profondément émouvant. Merci Denise.
Vraiment très beau! Votre poésie mériterait d'être connue davantage. Vous avez l'âme d'une grande poétesse! Bravo! Et merci pour tout ce que vos poèmes m'apportent...
Angélique
Oui, j'imagine qu'il y a un moment où on est prêt à partir, à rejoindre ceux qui nous manquent et qui ne sont plus... Un moment où l'on ne trouve plus d'attrait à la vie... Jeanne Calment disait "Le bon Dieu m'a oublié" parce que tous ses amis étaient déjà partis.
Merci pour ce poème que je trouve bien écrit. Il est court et en même temps il est dense. Bien qu'il évoque la mort, il évoque aussi la vie. Il est tellement fluide qu'il nous abreuve comme un verre d'eau de source.
la photo sépia : je l'ai VUE.
Un véritable hymne à l’amour
Triste, triste était mon Coeur ...
Très beau poème où toute la profondeur des sentiments se ressent, comme la chaleur d'une main qui nous effleure, pour nous emmener à sa suite, dans les brisées de son trop long voyage ...
J'aime ce poème où la tristesse et la poésie font bon ménage. Merci Denise. SZ
Ton poème, Denise, me ramène égoïstement à 3 des miens: "Le vieil if" suivi de "Stabat mater dolorosa" et "Les chapeaux". Tu les as peut-être lus ?
J'avais reçu en commentaire un encouragement: les morts ont l'éternité devant eux et leur patience pour les retrouvailles est sans limite alors que la vie est si courte ici-bas qu'il faut profiter de tous ses instants. Mais je comprends que l'on puisse être affligé au point de ne pouvoir se redresser, sentiment de désespoir que tu sais très bien rendre ici, dans ton style sobre, simple et percutant.
Merci pour ce partage.
La beauté des vers s'allie à celle des sentiments durables. Jolie trouvaille que cette inversion de la trop connue accélération du temps. Tout en étant l'inverse du "Ô temps, suspends ton vol", c'est en fait la même chose.
C'est toujours un grand plaisir que te lire.
Triste, très triste, Plus d'espoir...
Bouleversant de réalisme et de simplicité. En quelques mots, on voit cette personne avec sa peine, si lourde, si touchante. Je ne sais pas pourquoi la tristesse m'émeut autant.
Merci Denise, j'aime beaucoup.
Ces vers sont tout simplement bouleversants. Cette visite quotidienne au cimetière et ce souhait unique qui rend l'attente interminable. Tellement triste et profondément émouvant. Merci Denise.
Très beau poème, Denise, mais restez encore longtemps avec nous.
Commentaire modifié le 25/03/2018 à 13h57
Votre beau poème évoque pour moi le souvenir d'une personne de mon entourage qui pensait ainsi après le décès de son époux.
Vraiment très beau! Votre poésie mériterait d'être connue davantage. Vous avez l'âme d'une grande poétesse! Bravo! Et merci pour tout ce que vos poèmes m'apportent...
Angélique
... Quand le temps ne passe pas assez vite...
Un poème d'une belle tristesse ; un sentiment qui fait mal, mais que je comprends tout à fait...
Merci Denise
Oui, j'imagine qu'il y a un moment où on est prêt à partir, à rejoindre ceux qui nous manquent et qui ne sont plus... Un moment où l'on ne trouve plus d'attrait à la vie... Jeanne Calment disait "Le bon Dieu m'a oublié" parce que tous ses amis étaient déjà partis.
Merci Den :)
Merci pour ce poème que je trouve bien écrit. Il est court et en même temps il est dense. Bien qu'il évoque la mort, il évoque aussi la vie. Il est tellement fluide qu'il nous abreuve comme un verre d'eau de source.
Commentaire modifié le 25/03/2018 à 10h22
Trop triste ! Un peu comme une chanson qui finirait en sourdine. J'aurais supprimé "une" devant éternité. Merci Denise