Après lecture de votre texte, j'assimile volontiers l'amour à l'Univers ; ce vaste qui, une fois le Big bang passé, se trouve chargé innombrables éléments représentant tout autant de sentiments que peuvent découler du Grand amour. Néanmoins, en toile de fond, subsistent (résistent ?) toujours ce vide et ce silence sans fin, propices à nous laisser chuter vers le néant avec la même puissance qu'une passion dévorante à su élever les cœurs par-delà tout.
Belle parabole pour une plume soignée, riche et agréable.
Le mot qui me vient à l’esprit est : dérive. Du corps, des sens, qui comme tu le dis ne forment plus qu’un grand rien. Un vide qui finalement peut être propice à l’introspection.
Merci Yoann !
D'abord, l'immensité du vide dans laquelle le narrateur semble flotter, non pas en plénitude mais comme vidé lui aussi de sa substance, faisant corps avec ce vide et puis les souvenirs remontent, braises brûlantes et passion dévorante avant de s'évanouir à leur tour... Retour au vide constellé diffusant une lueur d'espoir, un peut-être en devenir mais si lointain...
Très intéressant. On imagine aller d'une absence contrainte à une remise en ordre passant par la pensée automatique du rêve qui s'exacerbe. Puis le rêve se calme. C'est à nouveau le réel, qui commence à vivre sa vie, tout doucement. Pourtant les mots très maîtrisés restent dans un monde d'écriture avec un parti pris de sobriété sans effets. Merci. SZ
Sombrer. C'est le terme qui me vient à l'esprit après ma lecture. Le manque de couleurs, un abime dans lequel le personnage de ton récit surnage. Je dis surnage parce que la fin du texte laisse une porte ouverte malgré tout. Les sensations sont formidablement restituées jusqu'à la douleur la plus vive. Bravo Yoann, excellent texte.
Après lecture de votre texte, j'assimile volontiers l'amour à l'Univers ; ce vaste qui, une fois le Big bang passé, se trouve chargé innombrables éléments représentant tout autant de sentiments que peuvent découler du Grand amour. Néanmoins, en toile de fond, subsistent (résistent ?) toujours ce vide et ce silence sans fin, propices à nous laisser chuter vers le néant avec la même puissance qu'une passion dévorante à su élever les cœurs par-delà tout.
Belle parabole pour une plume soignée, riche et agréable.
Bravo et merci, Yoann.
Au plaisir.
Le mot qui me vient à l’esprit est : dérive. Du corps, des sens, qui comme tu le dis ne forment plus qu’un grand rien. Un vide qui finalement peut être propice à l’introspection.
Merci Yoann !
D'abord, l'immensité du vide dans laquelle le narrateur semble flotter, non pas en plénitude mais comme vidé lui aussi de sa substance, faisant corps avec ce vide et puis les souvenirs remontent, braises brûlantes et passion dévorante avant de s'évanouir à leur tour... Retour au vide constellé diffusant une lueur d'espoir, un peut-être en devenir mais si lointain...
Superbe ! Merci Yoann :)
Très intéressant. On imagine aller d'une absence contrainte à une remise en ordre passant par la pensée automatique du rêve qui s'exacerbe. Puis le rêve se calme. C'est à nouveau le réel, qui commence à vivre sa vie, tout doucement. Pourtant les mots très maîtrisés restent dans un monde d'écriture avec un parti pris de sobriété sans effets. Merci. SZ
magnifique description de l'absence et du vide amoureux. Compliments!
Sombrer. C'est le terme qui me vient à l'esprit après ma lecture. Le manque de couleurs, un abime dans lequel le personnage de ton récit surnage. Je dis surnage parce que la fin du texte laisse une porte ouverte malgré tout. Les sensations sont formidablement restituées jusqu'à la douleur la plus vive. Bravo Yoann, excellent texte.