Pour faire un poète il faudra donc au moins un soupçon d'humanité, de courage et de peur, qui me sont ici apparus à égalité : tu n'as pas mentionné la mort sans la vie, tu commences même par la nommer elle.
Merci pour ce petit lien poétique, porteur d'espoir
Laisse causer celui qui tient le crayon. Il sait écrire son impuissance et sa rage. Il trace des choses qui me bouleversent et que j'aimerais lire encore et encore afin d'entendre, peut-être, ce qui sourd alors même que la mémoire n'est plus qu'oubli.
un crayon suit le geste de la main pour écrire les mots ou les maux,ou s'enfoncer dans le coeur "citadelle de la beauté ou de la laideur" et les enfants qui sont le symbole de l'innocence.
mais parfois on blesse le coeur en lui servant le fiel de la méchanceté, ou on distille en lui les notes fétides du mensonge pour en faire un baril de haine.
merci Vis9vies
bonne fin de Semaine
Mais vous n'avez rien à vous faire pardonner?. Je suis sensible à la dédicace. Prévert était à la mode lorsque j'étais adolescente, et je suivais des cours de théâtre. lors de la présentations des textes lors de concours, je voulais présenter M Desbordes Valmore, et mon prof m'a imposé Prévert. Bon j'ai eu un premier prix, mais je me suis rattrapée une autre année avec Iphigénie! Bon, je m'égare. Tout cela pour dire que Prévert n'était pas ma tasse de thé, mais plus tard, je l'ai apprécié.
Votre poème est tout sauf léger. Je crois avoir souligné que vos textes étaient " profonds". Si c'était à confirmer...
Pour la critique négative ( ben oui, il en faut!) un peu long. Vous savez bien que je suis , non pas la reine, mais la mémère du court!
Visuel, chantant, triste, profond, et une " merveilleuse" dernière strophe; Un poème à elle seule.
Merci. Vous avez un commentaire avec une ribambelle d'échanges, et je vois idem avec Camille. Bon je vais aller jeter un oeil!
Comme quoi les mots sont puissants, font plus que remplir des blancs... Ils disent ce qui est beau, ce qui est laid, ce qui meurtrit, ce qui aime...
La poésie, c'est faire grandir les Hommes qui veulent rester des enfants... C'est du moins ce que ton poème m'inspire.
Il est terrible ce coup de crayon, il est terrible ce coup qui résonne dans la mémoire du petit garçon ou de la petite fille qui pleure sur son fil... Très fort ! Merci V9v
Pour faire un poète il faudra donc au moins un soupçon d'humanité, de courage et de peur, qui me sont ici apparus à égalité : tu n'as pas mentionné la mort sans la vie, tu commences même par la nommer elle.
Merci pour ce petit lien poétique, porteur d'espoir
Laisse causer celui qui tient le crayon. Il sait écrire son impuissance et sa rage. Il trace des choses qui me bouleversent et que j'aimerais lire encore et encore afin d'entendre, peut-être, ce qui sourd alors même que la mémoire n'est plus qu'oubli.
Merci V9v
des mots du coeur posés sur la page blanche.....
touché !
merci V9V
un crayon suit le geste de la main pour écrire les mots ou les maux,ou s'enfoncer dans le coeur "citadelle de la beauté ou de la laideur" et les enfants qui sont le symbole de l'innocence.
mais parfois on blesse le coeur en lui servant le fiel de la méchanceté, ou on distille en lui les notes fétides du mensonge pour en faire un baril de haine.
merci Vis9vies
bonne fin de Semaine
Oui, les blessures du temps. Très belle couverture aussi. Bravo et merci, V9V.
Amitiés
Mais vous n'avez rien à vous faire pardonner?. Je suis sensible à la dédicace. Prévert était à la mode lorsque j'étais adolescente, et je suivais des cours de théâtre. lors de la présentations des textes lors de concours, je voulais présenter M Desbordes Valmore, et mon prof m'a imposé Prévert. Bon j'ai eu un premier prix, mais je me suis rattrapée une autre année avec Iphigénie! Bon, je m'égare. Tout cela pour dire que Prévert n'était pas ma tasse de thé, mais plus tard, je l'ai apprécié.
Votre poème est tout sauf léger. Je crois avoir souligné que vos textes étaient " profonds". Si c'était à confirmer...
Pour la critique négative ( ben oui, il en faut!) un peu long. Vous savez bien que je suis , non pas la reine, mais la mémère du court!
Visuel, chantant, triste, profond, et une " merveilleuse" dernière strophe; Un poème à elle seule.
Merci. Vous avez un commentaire avec une ribambelle d'échanges, et je vois idem avec Camille. Bon je vais aller jeter un oeil!
on voit bien que tu as retrouvé ton 9^^
Il est très beau ce texte, je l'ai lu plusieurs fois, tout doucement, tu devrais en faire une version audio...
chouette couverture...
et j'ajoute la fin est superbe
Commentaire modifié le 17/08/2017 à 18h09
Comme quoi les mots sont puissants, font plus que remplir des blancs... Ils disent ce qui est beau, ce qui est laid, ce qui meurtrit, ce qui aime...
La poésie, c'est faire grandir les Hommes qui veulent rester des enfants... C'est du moins ce que ton poème m'inspire.
Merci V.
C'est écœurant.
A en sortir son cœur, à le sentir palpiter à le crever à le donner pour que vive celui d'un autre.
Ton poème là, il me laisse glacée et le glaçon fond par les yeux.
Merci V9v.
Je n'ai pas de fil pour la poésie. J'y suis absente parce que la poésie n'est pas présente en moi.
Là, tout est différent dans ce poème, pour moi.
Commentaire modifié le 17/08/2017 à 15h39
Il est terrible ce coup de crayon, il est terrible ce coup qui résonne dans la mémoire du petit garçon ou de la petite fille qui pleure sur son fil... Très fort ! Merci V9v