Et oui...
Les femmes ne sont que les plus beaux reflets de nos inspirations, jusqu'au jour où...

Beau portrait de la désillusion.

Merci Laurent.

mieux vaut le mirage
que de se noyer dans le cirage
ou attraper la rage
en ce temps de folie et de tous les virages
merci Laurent

Commentaire modifié le 23/05/2017 à 22h28

Pas seulement le fruit d'un manque... c'est aussi la rencontre de la part féminine qui t'habite, un signe d'unification intérieure selon la psychanalyse classique : avec un regard de foi en plus, je dirais pour ma part, c'est un appel à réaliser cette unité. Un appel à vivre tout simplement.

Pour ma part, la foi et la poésie n'ont pas fait que répondre à un besoin, un manque, elles ont apporté une véritable plénitude. Même s'il est vrai que ce mode d'aimer est des plus exigeants. Mais l'amour est exigeant par nature. En revanche, il est simple.
A nous chercher ce qu'il y a en nous et autour de nous non pas de plus facile, mais de plus authentique !

C'est un très joli poème.
Bien à toi, mon ami.

Votre poème ressemble à ma solitude.
Merci

Tout ceci est bien triste, Laurent, est-ce que tout va bien ?

Le rêve du poète est si beau, revêtant des formes insoupçonnées, tellement réalistes qu'on les croirait réelles...

Merci pour tes mots.

Le petit dernier qui ne rime pas, là, dans la première strophe. C'est bien de l'avoir mis à l'écart. Ça traduit un manque.

On a parfois besoin d'apoésie pour le comprendre. Comme une contre-image. Un contre-mirage.

Un jour peut-être que nous tomberons dans l'eau de ce désert un peu longuet… ? Qui sait ?