C'est très beau, cette solitude avec l'humour, la gourmandise, l'inquiétude, et un joli petit suspens pour la suite que l'on ne peut qu'attendre. Bravo, merci et bonne continuation, Joëlle.
ps : sais-tu que tu peux mettre "oeuvre en cours d'écriture" sur ton texte plutôt que "fini et relu"?
On dirait le début d'un roman policier, avec des cadavres plus petits mais plus nombreux. Comme tout le monde, j'attends la suite de ce récit qui, dès la première page, ne manque pas de piquant.
Me revoilà sur Atra. Je reprends la lecture là où je l'avais laissée. Humour et tendresse dans toute la fin du texte. Quant aux abeilles... On finit par les oublier pour ne s'intéresser qu'aux deux personnages humains.
Le sac d'aspirateur : essaim funèbre emblématique, mais, où l'accrocher ?
Et, l'aspirateur sans sac (il faut vivre avec son temps !)
Ignorant à ce stade l'issue sans doute fatale de la nouvelle et des decuji*
Je me concentrerai sur l'épicurisme culinaire et la connotation ludique des confitures qui évoque un peu le "pianocktail de l'ami Vian.
Et, bravo pour la chute provisoire qui conspue la tartine de miel!
* j'ai bon ???
La scène de descente en cave, avec vue sur un désastre capillaire en devenir, me conforte dans ma certitude que le meilleur, c'est quand on MONTE l'escalier.
Quant aux délicatesses d'amant, c'est plutôt quand on les pèle (entre autres) , les champignons, qu'elles sont les plus gouleyantes.
Sinon, j'attends la chute: accouplement frénétique ( en plein vol comme il se doit) ou meurtre méthodique après enfumage lénifiant ?
Voire, les deux ...
Pressons, le suspense est intolérable.
Bon, ça ne se passera pas en plein vol mais plus probablement sur le canapé.
et on ne saura pas si la reine tue le faux bourdon dès qu'il aura fini de la (b)utiner (l ?)
Par contre on ne DOIT pas critiquer les oreilles du basset qui sont, avec son regard éperdu,
lorsqu'elles balaient le plancher, l'emblème de sa déréliction.
Je viens de lire les chapitres 2, 3, 4 et 5 à la suite, histoire de rattraper mon retard de lecture et juste au milieu du cinquième épisode, je n'ai pu m'empêcher de t'envoyer un coup de coeur, Joëlle. C'est bien simple, cette histoire de deux cœurs à la solitude subie mériterait d'être développée en roman. Il n'y a aucune mièvrerie, mais au contraire des dialogues ou absence de dialogues, des monologues intérieurs touchants par leur justesse. Le doute et l'angoisse qui sont souvent les compagnons des solitaires involontaires sont très bien exprimés et la fluidité lexicale, les paroles ou pensées qui sonnent justes renforcent la crédibilité de l'histoire. L'humour sous-jacent qui huile en permanence les desideratas entre Lucile et Alexis tonifie et renforce encore la tension romantique entre les deux héros.
Du très très bon boulot. Plus que "vivement le dernier chapitre", je dirais même ; "Vivement l'adaptation romanesque.
Un coup de coeur du fond du mien, Joëlle, quelle que soit la fin
J'ai lu la fin et s'est aussi touchant qu'une promesse de happy end à la Ken Loach, avec un brin de sensualité et de tendresse à la Sautet. Très belle illustration de la possible addition de deux cœurs solitaires compatibles. La phase de greffon potentiel suit logiquement le rejet instinctif, défensif de l'héroïne...Tout ce que notre cerveau est prêt à occulter pour que notre coeur/corps ne souffre jamais une deuxième fois du même mal...
Merci Joëlle pour cette mini-série intimiste réussie.
Coucou mon amie,
J'ai accroché dès le début et j'attends avec impatience la suite... J'adore ton style d'écriture, je pense que je vais passer encore d'agréables moments de lecture avec toi :)
Bisous,
Luky :)
Le titre est bien trouvé. Collants comme le miel, les sentiments, même d'hier, persistent ou demeurent. Ces abeilles n'en sont que le révélateur. C'est vraiment très bien écrit et décrit Joëlle, un bon texte :)
Lu les chapitres 2, 3, et 4. Les ingrédients sont là pour faire un bon repas. J'attends encore avant de m'installer ; le mijoté est toujours meilleur :)
cH5. J'aime bien la dernière phrase. Sinon on retient deux écorchés vifs qui se rencontrent, et qui peut-être ( sans doute ) feront un bout de chemin ensemble. C'est ce qu'on leur souhaite.
Dernier chapitre. C'est touchant, et crédible, parce que ce texte peut refléter la réalité. Deux estropiés de la vie, qui réussissent à se reconnaître et qui je l'espère, feront un bout de route ensemble.
Des personnages tellement proches !
Outre le fait qu'on a les mêmes goûts en chocolat, hein.
C'est toute l'écriture qui est savoureuse, une histoire qui donne faim. Faim d'en savoir plus aussi mais bon, on va respecter leur intimité et les laisser se mignoter tout seuls, ces deux gourmands.
Merci Joëlle pour ce délicieux moment de lecture.
J'ai adoré ce texte! Le sujet est original, le titre excellent, l'écriture impeccable (comme d'habitude) et le personnage attachant. Sans oublier l'humour! Bravo Joelle et bonne continuation.
"Laissez glisser -papier glacé
Les sentiments -papier collant
Ca impressionne -papier carbone
Mais c'est du vent."
'Serge Gainsbourg)
Une bluette pleine de finesse et d'humour, et vraiment bien écrite.
Comme disait la pub : "take a break in the ruche".
Bon. Pour lire la suite, on va prendre son mal en patience, vilaine.
Sinon, ce style inimitable est un vrai bonheur de lecture, je vais lui mettre plein de petits cœurs, tiens.
Il faut que ce soit toi pour que je lise si long (tu connais peut-être mes problèmes de vue) et surtout phobique des insectes à un point pathologique et pas très logique car même ceux qui ne font aucun mal me rendent folle, mais tu sais trouver des passages drôles "la bombe atomique de la ménagère de cinquante ans"... et m'envoyer de grands vents iodés, je connais si bien Ste Marine, Combrit etc. J'ai passé maints étés à l'île Tudy
Belle soirée
J'ai vraiment adoré! On est pris du début à la fin. Et si heureux que ces deux esseulés finissent par se rencontrer vraiment.
Deux petits mots pour tout dire : "et après ?"
Ton dard m'a piqué, je suis impatient de voir l'évolution du mal !
En attendant, je vais scruter mon sous-sol, le salon, voire tout le jardin...
C'est très beau, cette solitude avec l'humour, la gourmandise, l'inquiétude, et un joli petit suspens pour la suite que l'on ne peut qu'attendre. Bravo, merci et bonne continuation, Joëlle.
ps : sais-tu que tu peux mettre "oeuvre en cours d'écriture" sur ton texte plutôt que "fini et relu"?
On dirait le début d'un roman policier, avec des cadavres plus petits mais plus nombreux. Comme tout le monde, j'attends la suite de ce récit qui, dès la première page, ne manque pas de piquant.
Me revoilà sur Atra. Je reprends la lecture là où je l'avais laissée. Humour et tendresse dans toute la fin du texte. Quant aux abeilles... On finit par les oublier pour ne s'intéresser qu'aux deux personnages humains.
Commentaire modifié le 23/10/2016 à 17h01
Le sac d'aspirateur : essaim funèbre emblématique, mais, où l'accrocher ?
Et, l'aspirateur sans sac (il faut vivre avec son temps !)
Ignorant à ce stade l'issue sans doute fatale de la nouvelle et des decuji*
Je me concentrerai sur l'épicurisme culinaire et la connotation ludique des confitures qui évoque un peu le "pianocktail de l'ami Vian.
Et, bravo pour la chute provisoire qui conspue la tartine de miel!
* j'ai bon ???
La scène de descente en cave, avec vue sur un désastre capillaire en devenir, me conforte dans ma certitude que le meilleur, c'est quand on MONTE l'escalier.
Quant aux délicatesses d'amant, c'est plutôt quand on les pèle (entre autres) , les champignons, qu'elles sont les plus gouleyantes.
Sinon, j'attends la chute: accouplement frénétique ( en plein vol comme il se doit) ou meurtre méthodique après enfumage lénifiant ?
Voire, les deux ...
Pressons, le suspense est intolérable.
Bon, ça ne se passera pas en plein vol mais plus probablement sur le canapé.
et on ne saura pas si la reine tue le faux bourdon dès qu'il aura fini de la (b)utiner (l ?)
Par contre on ne DOIT pas critiquer les oreilles du basset qui sont, avec son regard éperdu,
lorsqu'elles balaient le plancher, l'emblème de sa déréliction.
Commentaire modifié le 21/10/2016 à 06h40
Je viens de lire les chapitres 2, 3, 4 et 5 à la suite, histoire de rattraper mon retard de lecture et juste au milieu du cinquième épisode, je n'ai pu m'empêcher de t'envoyer un coup de coeur, Joëlle. C'est bien simple, cette histoire de deux cœurs à la solitude subie mériterait d'être développée en roman. Il n'y a aucune mièvrerie, mais au contraire des dialogues ou absence de dialogues, des monologues intérieurs touchants par leur justesse. Le doute et l'angoisse qui sont souvent les compagnons des solitaires involontaires sont très bien exprimés et la fluidité lexicale, les paroles ou pensées qui sonnent justes renforcent la crédibilité de l'histoire. L'humour sous-jacent qui huile en permanence les desideratas entre Lucile et Alexis tonifie et renforce encore la tension romantique entre les deux héros.
Du très très bon boulot. Plus que "vivement le dernier chapitre", je dirais même ; "Vivement l'adaptation romanesque.
Un coup de coeur du fond du mien, Joëlle, quelle que soit la fin
J'ai lu la fin et s'est aussi touchant qu'une promesse de happy end à la Ken Loach, avec un brin de sensualité et de tendresse à la Sautet. Très belle illustration de la possible addition de deux cœurs solitaires compatibles. La phase de greffon potentiel suit logiquement le rejet instinctif, défensif de l'héroïne...Tout ce que notre cerveau est prêt à occulter pour que notre coeur/corps ne souffre jamais une deuxième fois du même mal...
Merci Joëlle pour cette mini-série intimiste réussie.
Commentaire modifié le 12/10/2016 à 14h31
Coucou mon amie,
J'ai accroché dès le début et j'attends avec impatience la suite... J'adore ton style d'écriture, je pense que je vais passer encore d'agréables moments de lecture avec toi :)
Bisous,
Luky :)
Le titre est bien trouvé. Collants comme le miel, les sentiments, même d'hier, persistent ou demeurent. Ces abeilles n'en sont que le révélateur. C'est vraiment très bien écrit et décrit Joëlle, un bon texte :)
Lu les chapitres 2, 3, et 4. Les ingrédients sont là pour faire un bon repas. J'attends encore avant de m'installer ; le mijoté est toujours meilleur :)
cH5. J'aime bien la dernière phrase. Sinon on retient deux écorchés vifs qui se rencontrent, et qui peut-être ( sans doute ) feront un bout de chemin ensemble. C'est ce qu'on leur souhaite.
Dernier chapitre. C'est touchant, et crédible, parce que ce texte peut refléter la réalité. Deux estropiés de la vie, qui réussissent à se reconnaître et qui je l'espère, feront un bout de route ensemble.
Commentaire modifié le 11/10/2016 à 14h02
Une très belle plume. En ce cas, ce sera un réel plaisir de lire la suite... Bisous...
Amitiés, Joëlle...
Des personnages tellement proches !
Outre le fait qu'on a les mêmes goûts en chocolat, hein.
C'est toute l'écriture qui est savoureuse, une histoire qui donne faim. Faim d'en savoir plus aussi mais bon, on va respecter leur intimité et les laisser se mignoter tout seuls, ces deux gourmands.
Merci Joëlle pour ce délicieux moment de lecture.
J'ai adoré ce texte! Le sujet est original, le titre excellent, l'écriture impeccable (comme d'habitude) et le personnage attachant. Sans oublier l'humour! Bravo Joelle et bonne continuation.
"Laissez glisser -papier glacé
Les sentiments -papier collant
Ca impressionne -papier carbone
Mais c'est du vent."
'Serge Gainsbourg)
Une bluette pleine de finesse et d'humour, et vraiment bien écrite.
Commentaire modifié le 24/09/2016 à 19h17
VITE LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Un bon texte qui demande -à suivre-
C'est bourré d'humour presqu'autant que d'abeilles.
Merci Joëlle pour tant d'humour !
Comme disait la pub : "take a break in the ruche".
Bon. Pour lire la suite, on va prendre son mal en patience, vilaine.
Sinon, ce style inimitable est un vrai bonheur de lecture, je vais lui mettre plein de petits cœurs, tiens.
Une histoire de maniaco-dépressive, sur fond fantastique... j'adhère !
En attendant...
Merci Joëlle et bonne écriture.
Amicalement.
Il faut que ce soit toi pour que je lise si long (tu connais peut-être mes problèmes de vue) et surtout phobique des insectes à un point pathologique et pas très logique car même ceux qui ne font aucun mal me rendent folle, mais tu sais trouver des passages drôles "la bombe atomique de la ménagère de cinquante ans"... et m'envoyer de grands vents iodés, je connais si bien Ste Marine, Combrit etc. J'ai passé maints étés à l'île Tudy
Belle soirée
Moi aussi, j'attends la suite. Une très belle écriture.
Commentaire modifié le 14/09/2016 à 16h06
Me voici donc à deux carrés de chocolat proche de la solution de l'énigme apicole. :-) Compte sur moi pour la suite... Bises, ma belle
Je ne serais pas rassurée non plus!
Ce qu'elle traverse doit aussi tout dramatiser!
Bien vu!
corrections fautes!
Commentaire modifié le 13/09/2016 à 18h58