Ce temps est une manne pour les dignes, il a dévoilé beaucoup de loups qui avaient endossés des peaux de moutons, il a dévoilé les fous qui attendaient le.moment d être dirigé comme.des machines, il.a dévoilé les programmateurs des esprits servils.
merci Laurent
Amities

Commentaire modifié le 22/08/2016 à 13h39

Une dénonciation d'hommes, inhumain! Même le pire des lions et bien plus doux que ces barbares!!!Merci Laurent

Je me demande pourquoi as-t-on inventé le mot " bestialté" ? A ma connaissance aucun animal n'a participé aux massacres du siècle dernier et de ceux à venir, 10 millions de chevaux sont morts en deux guerres mondiales pour sauver " l'humanité" par exemple; et je ne parle pas des abattoirs ...Non décidément le bon mot n'est pas bestialité! Humanité peut-être ? Merci Laurent pour cette vive dénonciation .

Ton poème dénonce de manière fort juste cette bestialité qui, somme toute, ne peut qu'attiser les haines or, la violence appelle la violence. C'est un cercle vicieux dont on ne sort jamais.

Bravo Laurent pour ce texte fort.
Amicalement,
Marc

Comment ne pas dénoncer tant de haine et d'intolérance ! Merci Laurent.

Oui, tout était dit dans le titre mais le poème exprime encore avec plus d'intensité cette " bestialité" ! Comme tu as bien fait d'en parler, elle fait partie de notre monde, nous entoure quelque fois et nous fait peur !
Bravo et merci mon ami,
Luky :)

On ne dénoncera jamais assez cette violence haineuse. Félicitations, Laurent, et merci.

Amicalement

Des '' dépendances '' qui, en effet, ne seront jamais assez justifiées aux yeux des hommes.

Merci Laurent.

Amicalement.

Tes paroles dénoncent encore une fois ces fous, assassins, sanguinaires
Eh oui, cette haine-là nous sommes si nombreux à la partager, hélas Laurent qu'y pouvons-nous ???

Oui, tout est dit dans le titre ! Un mot me vient en plus, et tu le cites dans ton poème : déviance... au sens de perversion. Perversion de la notion de foi, de dieu, de vierges (qui ne le resteront pas longtemps) et de paradis.

Un tel dieu, à ce point assoiffé de souffrance, de sang et de morts, ne peut être Dieu, mais une projection macabre et détestable de notre bestialité sur la divinité. Divinité par ailleurs, infiniment plus élevée que cela, et pourtant si proche, si accessible dans l'amour.

Amitiés ;)

Merci Laurent pour ce poème très fort et dont le style évoque la dureté de la "bestialité" de ces hommes (mais peut-on les appeler des hommes ?)

Je te rejoins dans cette violence haineuse que tu dénonces.
Mes amitiés, Laurent.