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Patty Gauhar19 mars 2017 à 22h02
Une histoire noire avec une Blanche intéressée que je déteste par-dessus tout, prête à demander l'impensable à cette narratrice qui éprouve un malin plaisir à la savoir cocue, parce qu'elle l'aime encore sa Blanche, sa Pénélope si noire au fond, avant de comprendre que cette dernière ne l'a jamais aimée, juste profité d'elle... tant de nostalgie amoureuse provoque cet amour de jeunesse, pour se dissoudre finalement dans un sentiment de dégoût un peu aigre. Cette déception, ce dégoût du genre humain, tu as su si bien l'exprimer. Bien vu, c'est ça aussi le noir !
Bien joué, Iris.
Tu nous ballades avec le sexe du narrateur. Et puis après, avec la décision finale. J'étais sûr que Pauline allait courir direct à la remise dans le jardin et revenir avec une pelle et une pioche.
Pas sûr que ce soit Delon cette situation sur l'amitié. On l'a tellement entendue. Elle doit être aussi vieille que l'amitié elle-même. (et les petits meurtres entre conjoint !)
Ta série sur les uchronies de l’enfance, tu la reprendras un jour ?
J'aime bien la citation : " Tout récit de douleur ... " Je ne sais pas qui l'a dit mais ça commence fort en absolu ; puis il y a le correctif : "... il aurait dû." qui convient mieux à la suite de l'histoire et à Blanche qui porte mal son prénom, moralement. J'aime bien aussi le ton de l'histoire, la couleur noire ou plutôt grise (comme la robe des franCiscains) et la dernière phrase.
Comme toujours c'est excellent, je ne sais même plus quoi dire sans me répéter. Ah si ! C'est excellent.
je remercie la personne qui a donné un coup de cœur, sans quoi je passais à côté de cette petite merveille.....
Une histoire noire avec une Blanche intéressée que je déteste par-dessus tout, prête à demander l'impensable à cette narratrice qui éprouve un malin plaisir à la savoir cocue, parce qu'elle l'aime encore sa Blanche, sa Pénélope si noire au fond, avant de comprendre que cette dernière ne l'a jamais aimée, juste profité d'elle... tant de nostalgie amoureuse provoque cet amour de jeunesse, pour se dissoudre finalement dans un sentiment de dégoût un peu aigre. Cette déception, ce dégoût du genre humain, tu as su si bien l'exprimer. Bien vu, c'est ça aussi le noir !
Je me suis fait avoir à deux reprises. J'en ai ri. Nous mettre face à nos préjugés et à nos pensées bien formatées fait du bien aussi. Alors bravo !
Chouette lecture!
Bien joué, Iris.
Tu nous ballades avec le sexe du narrateur. Et puis après, avec la décision finale. J'étais sûr que Pauline allait courir direct à la remise dans le jardin et revenir avec une pelle et une pioche.
Pas sûr que ce soit Delon cette situation sur l'amitié. On l'a tellement entendue. Elle doit être aussi vieille que l'amitié elle-même. (et les petits meurtres entre conjoint !)
Ta série sur les uchronies de l’enfance, tu la reprendras un jour ?
J'aime bien la citation : " Tout récit de douleur ... " Je ne sais pas qui l'a dit mais ça commence fort en absolu ; puis il y a le correctif : "... il aurait dû." qui convient mieux à la suite de l'histoire et à Blanche qui porte mal son prénom, moralement. J'aime bien aussi le ton de l'histoire, la couleur noire ou plutôt grise (comme la robe des franCiscains) et la dernière phrase.
Ce texte me séduit tout simplement. Magnifique ! Félicitations, Iris, et merci.
Amitiés
J'aime le titre
J'aime la photo
J'aime l'histoire
J'ai cru au début à un narrateur. Pourquoi ?
Une belle histoire qui finit bien :)
C'est vraiment difficile à trouver un lit pour trois?
Faudrait que j'achète ça pour mes chats:)
Merci Iris.
J'aime.
Même les rayures des grincements de dents ^^
Merci Iris