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Commentaires à propos de "L'Hispano"
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Commentaires à propos de cette oeuvre 6 avis + 7 réponses
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- L'Hispano
"Et le père qu'est ce qu'il fait le père ?
Il fait des affaires" comme disait Prévert
Et le temps passe et emporte son lot de victimes.
J'aime beaucoup ce texte, empli de douleurs et de regrets, triste mais très pudique.
Merci Santiago Z
J'ai aimé ce récit qui va à 100 à l'heure.
Merci.
Je passe toujours sur vos textes discrètement en cliquant très souvent sur j'aime sans commentaire. Aujourd'hui, je tiens après avoir lu le commentaire de Tharass a vous remercier de celui-ci, comme de vos autres textes écrits tout en finesse et en délicatesse. Tharass commente très rarement et vous pouvez tirer une certaine fierté qu'il vous ait commenter même négativement.
"Il n’était pas fait pour ça. C’était un fils, pas un père. "
Ça accroche fort dès le début avec cette phrase.
Moi je trouve pas ça vide du tout, mais alors là pas du tout, j'aime bien!
C'est le découpage du temps qui est étrange et intéressant dans ce texte, les souvenirs de jeunesse au début, la vie d'adulte déroulée en accéléré semi-raté, la nostalgie. 4 pages pour une vie.
(Bon l'a évidemment fallu que je comprenne ce qu'était une Hispano vu que je suis une ignarde.)
Ça mérite bien le coup de cœur que vous avez reçu et qui m'a fait aller vers ce joli texte.
"Lectures favorites :
Shakespeare, Zweig, Barbey, Houellebecq, Balzac, Nietzsche. Sartre."
Trouvez l'erreur...
Et que vient foutre l'Hispano dans tout ça ? Mon grand-oncle en possédait une, modèle 1928. C'est une voiture qui se mérite - ou plutôt se méritait ! - ; lui était un grand invalide de 14/18 et elle avait été aménagée spécialement (Boîte et embrayage électriques et accélérateur manuel...) pour qu'il puisse la conduire presque debout : il ne pouvait plus s'asseoir mais adorait tout de même la conduite : "Laissez les chauffeurs aux parvenus !" s'exclamait-il lorsque quelqu'un s'étonnait de le voir derrière un volant de la taille d'une roue de gouvernail d'honnête voilier.
Rien à voir avec les BMW de petits dealers de banlieue ou la Mercedes (avec la Rollex et les pompes en croco) de ceux d'entre eux qui ont réussi dans la pute. Ou la coiffure, mais c'est la même chose.
Déçu. C'est bien écrit, mais c'est absolument vide. C'est peut-être l'effet recherché ?
Commentaire modifié le 17/09/2015 à 13h40
Plutôt qu'une vie, un parcours sombre, raconté sans fioriture, sèchement, tambour battant.
Heureusement, il y a eu des filets de tanche, un jour à midi. Et un regard effaré sur les jours passés…