Dans les années 80 Sonia visite la capitale française et en profite pour parfaire sa culture dans les salles obscures.

Avec ces notes croquées pour construire mon film, vous pourrez suivre mes réflexions au fil du rail. Au passage je vous livrerai de menus conseils pratiques pour réussir quelques tours dans les transports en commun, sans nuire aux passagers ou à la compagnie.

Apparemment comblée par son métier de cover-girl, par son mari attentionné mais souvent absent, par son amant et son psy toujours pressants, Sonia soumise à ses pulsions se laisse enfin couler dans les bas-fonds de Zürich.

Il est certes original de se voir offrir par son mari un coffret cadeau pour son anniversaire. Mais que se passe-t-il si l'on est soi-même dans le coffret que l'on s'est payé à seule fin de quitter ce même mari pour être vendue comme une simple pizza ?

Étudiante en Arts Sonia tente de repousser une bande de voyous dans un train de banlieue. Sans être un modèle de vertu elle s'est vaillamment défendue, même si plutôt que leur goûter c'est bien elle que les vilains garçons préfèreront croquer à la barbe des agents.

Bien qu'elle ait été prostituée très tôt par ses parents et dominée sur tous les fronts par les invités pendant leurs bière-parties, Sonia finit par retirer de la soumission un plaisir vicieux, en mettant courageusement au défi le sadisme des bonshommes.

« Tu sais, chérie, je ne voudrais pas te choquer, mais j’ai déjà baisé ta mère. Quant à toi, tu n’es plus une petite fille, et quitte à te faire sauter par tous ces minets de Stockholm, autant commencer par un gars qui te connaît bien. »

Après avoir acheté dans un vilain cauchemar un steak pourri au super-marché, je fus saisie par l'envie de me livrer toute nue pour être torturée chez mon boucher.

En général nous autres filles n'avons d'amies que pour papoter, mais moi j'en ai trouvé une qui a bien voulu me torturer jusqu'au plaisir.

Après avoir évoqué certains films osés et reluqué tous mes défilés de mode, Eriksson s'empressa de déclarer que mes parents étaient vraiment trop bêtes pour m'apprendre à nager.

"Ass", c'est moi, la crétine, et "full" mon cul quand je l'ai abandonné en pleine séance de Yoga à un chasseur SM.

Même s'ils ne peuvent pas vraiment s'accoupler, en BDSM la femme et le tracteur forment parfois un bel attelage érotique, quitte à mélanger la semence au liquide des freins, et la salive à l'antigel.