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L'avis des lecteurs
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L'histoire est si bien écrite qu'on peut se demander si elle est totalement imaginaire. Si... S'il y avait eu ne serait-ce qu'un dixième de vérité ! Si, quelque part dans le monde, il y avait eu un savant fou (enfin, pas si fou que ça) qui s'y était collé ou, pourquoi pas, qui s'y colle (dans ce dernier cas, il faudrait mettre ce texte dans la catégorie des romans d'anticipation).
En plus d'une trame bien construite, il y a l'écriture, la patte de l'auteur (récidiviste en la matière) qui insuffle à ce roman un supplément de plaisir.
Merci Hervé.
moi qui adore les polars, je suis servie... D'autant plus que ça pourrait absolument être VRAI. Du Florentin je ne m'y attendais... Les personnages sont bien campés, on éprouve à la fois sympathie, répulsion et... fascination. Merci à l'inconnu/e qui me l'a offert pour mon Noël : j'ai été ravie!
Une histoire bien menée. Pour une fausse histoire vraie... on pouvait aisément y croire. Seul peut-être le chapitre 35 m'a paru un peu irréel, mais comme on dit "la critique est facile et l'art difficile". Bien chapitré, le livre à été dévoré en quelques heures. un vrai plaisir.
Un livre édifiant que j'ai lu avec un réel bonheur en quelques heures. De fait, il rend bien hommage aux dédiés... J'y ai bien retrouvé René Barjavel et j'ai bien aimé la note d'espoir, la porte ouverte. L'écriture est, comme toujours avec Hervé, enlevée, d'un français impeccable et érudite. Beau travail !
Plus attaché à la musique qu’au sens, je pense que l’on peut écrire un bon roman avec une histoire banale ou une mauvaise idée de départ, que la forme doit sauver un livre et que le talent se cache toujours dans la phrase. Qu’en est-il lorsque l’idée est bonne ? N’est-il pas plus difficile, plus délicat, inquiétant, épineux, d’écrire lorsque le fond est génial ? Hervé qui, quelque part, est un générateur d’idées formidables à lui tout seul (si vous êtes en panne d’inspiration, vous savez maintenant à qui vous adresser) s’en est bien sorti, très bien sorti. « FAIM » est resté sur mon bureau une semaine, je l’ai ouvert hier soir et lu d’une traite. C’est un signe qui ne trompe pas. Le bouquin est bon, bien découpé, on s’attache aux personnages, il y a des passages d’une grande beauté, d’une grande folie et l’information est distillée avec brio. Mais… il y a toujours un « mais ». La fin de FAIM, Hervé ! Comme c’est frustrant de savourer un fruit et de s’apercevoir qu’on est déjà en train de sucer le noyau, j’étais parti au minimum pour trois ou quatre chapitres de plus. Andaman sauve un peu l’affaire, d’accord… Une fin moins précipitée et l’équilibre du roman aurait été totalement maîtrisé.
« Faim », à lire, à relire… que dis-je, à dévorer !
Le plaisir de plonger dans les ombres de cette histoire et cette fin qui ne pouvait être autrement. Un bonheur.