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L'avis des lecteurs
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Lorsque j'ai entrepris la lecture de Cartouche Karma, je savais d'entrée de jeu, après avoir apprécié La Camisole des Anges, que je m'envolais en terre inconnue avec l'assurance d'avoir déniché le bon voyage grâce à un tour-operator expérimenté. Je viens de terminer la lecture de Cartouche Karma... il va falloir absolument reconsidérer le classement, car il vaut largement le 6 étoiles ! Sans parler d'une équipe d'enfer qui vous prend la main tout au long du livre, sans jamais plus vous lâcher, et un auteur génial qui pousse le luxe ultime de vous adresser une dernière surprise alors que vous pensez votre trip terminé. Un voyage dont je me souviendrai longtemps !
J’ai lu ce 3e roman qui au fil des pages m’est apparu comme un prolongement des deux autres.
N’est ce pas finalement une œuvre globale qui poursuit le même dessein : l’amour et l’art face à la laideur de ce que les hommes ont fait du monde.
Je lis malgré moi les premiers mots de Hervé-Léonard: "ce roman se dévore". C'est ça. Depuis que je suis dedans, cela fait trois jours, je ne m'arrête plus, j'adore les personnages tellement vivants et attachants, et l'histoire est bien! Vivement le dénouement et j'attaque La Camisole des Anges,
Merci Bernard!
Ce roman se dévore. Après un début au style un peu "collégien", le lecteur est embarqué pour un voyage bien réel mais aux frontières du fantastique.
En travaillant un peu deux ou trois effets un peu "faciles", on aurait là un grand roman d'aventures.
L'auteur nous dit qu'il n'a jamais mis les pieds en Égypte : cela montre la force de la littérature et surtout la qualité de son talent. En effet, les évocations des paysages sont telles qu'on s'y croirait. On "sent" le vent, le sable, la chaleur, la fraîcheur du soir...
Et puis, ce style "Hananel", rapide, incisif, rempli d'images surprenantes qui font mouche, qui ne se prend pas au sérieux(un peu potache parfois cependant)mais qui est incontestablement la marque d'un véritable auteur. Qui ne se la joue pas, mais qui est !
En tout cas, tous les amateurs de Christian Jacq devraient se précipiter sur ce bouquin.
Un roman accrocheur en crescendo. On ne s'ennuie pas, le mystère reste entier jusqu'à la fin un peu deux-ex-machina. Le quotidien des gens normaux se mêle peu à peu à l'aventure des explorateurs, jusqu'à basculer complètement du premier dans le second.
J'avais pas mal de livres en attente ces derniers mois et cette semaine c'était au tour de Cartouche Karma que j'avais gagné grâce à un concours Atramenta.
Wouaou ! Un beau voyage sous le soleil égyptien. On pouvait sentir que ça cognait dur.
Les personnages de Bernard sont toujours aussi attachants : Loïc, malchanceux batteur talentueux et Yvonne la "belle".
Et la pyramide... j'ai relu deux fois les pages sur l'exploration. Cette pyramide est d'une conception tellement originale.
Quant à la fin, une claque bien sûr. Ça m'a fait penser à la fin d'une nouvelle que Bernard avait écrite sur ILV mais que je ne retrouve pas sur Atramenta, (l'histoire d'un écrivain en Bretagne).
À lire et à relire absolument.
Un texte d'une grande finesse toujours aussi bien ciselé, et un scénario qui vous tient en haleine jusqu'au bout. Que demander de plus ? J'ai bien aimé aussi la rencontre clin d'oeil avec les personnages de son autre roman "La camisole des anges" (que j'ai également apprécié).
J'ai apprécié la construction de l'histoire et son rythme en un beau crescendo jusqu'au coda final. L'harmonie est flamboyante, soutenue par un tempo rapide. Est-ce un 6/8 ou bien un 3/4 ? En tout cas, ça déménage.
L'imagination fertile de l'auteur est portée par un style, un entrain, LA marque d'un "grand".
Merci Bernard
Contraste surprenant et sûrement voulu entre des passages grandioses, hors du temps, considérations sublimes sur la condition humaine, et des dialogues nerveux, ultra-modernes, dans le langage un peu trop familier d'un quotidien trivial.
J'avais lu ce roman par bribes sur écran, et m'étais emberlificotée dans la construction "en abyme"... vertigineuse à souhait !