Ce poème donne à sentir la distance à l'être aimé et sa belle musique tend à surmonter la solitude qui, là fatigue, mais s'arme finalement du souvenir d'un sourire où, magie, même le monde obscur ne peut vaincre le désir clair d'être à côté de l'aimée !Et c'est ce voyage intérieur que donne à voir ce poème . MERCI Beaucoup pour cela! Amicalement, Thierry ! A une prochaine
Très belle complainte sur l'amour perdu et la douleur ressentie qui ébranle à chaque ligne. J'ai beaucoup aimé, notamment l'anaphore "Et puis ton sourire", ainsi que la fin :
"Comme ces cantiques où la mort têtue vient triompher.
Comme ma mort serait douce, mon éternel amour,
Si seul au monde, comme un fragment de toi,
Je pouvais me dissoudre en cherchant ton regard,
Le printemps serait pénombre sans langage.
Qu’il serait doux ce chemin pour que je te vois enfin."
Merci Thierry
Aimer l'autre jusqu'à vouloir n'être plus que son "ombre", son "sourire", son "silence"... mais "Au royaume de l'absence... il fait si froid Et tout n'est qu'errance...". Très beau ! Merci Thierry
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Ce poème donne à sentir la distance à l'être aimé et sa belle musique tend à surmonter la solitude qui, là fatigue, mais s'arme finalement du souvenir d'un sourire où, magie, même le monde obscur ne peut vaincre le désir clair d'être à côté de l'aimée !Et c'est ce voyage intérieur que donne à voir ce poème . MERCI Beaucoup pour cela! Amicalement, Thierry ! A une prochaine
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Superbe poésie, d'une mélancolie envoutante.
Merci ami du Sud
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Une jolie pierre à l'édifice de la tristesse et de l'amour. Merci à toi Thierry.
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Un texte douloureusement beau, empreint d'une profonde mélancolie et d'un amour inaltérable.Bravo pour ce texte sombre et touchant, Thierry.
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L'Absence de l'être aimé est sublimée dans ce beau poème; l'Amour résiste à tout, y compris aux affres du Temps.
Merci, Thierry
Angélique
Angélique Rodride le 26 février 2021 à 12h43
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Un beau poème si triste.
Merci Thierry
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Très belle complainte sur l'amour perdu et la douleur ressentie qui ébranle à chaque ligne. J'ai beaucoup aimé, notamment l'anaphore "Et puis ton sourire", ainsi que la fin :
"Comme ces cantiques où la mort têtue vient triompher.
Comme ma mort serait douce, mon éternel amour,
Si seul au monde, comme un fragment de toi,
Je pouvais me dissoudre en cherchant ton regard,
Le printemps serait pénombre sans langage.
Qu’il serait doux ce chemin pour que je te vois enfin."
Merci Thierry
Mary Mye le 25 février 2021 à 19h08
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Aimer l'autre jusqu'à vouloir n'être plus que son "ombre", son "sourire", son "silence"... mais "Au royaume de l'absence... il fait si froid Et tout n'est qu'errance...". Très beau ! Merci Thierry
Mary Mye le 13 février 2021 à 21h42
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Superbe poésie, merci Ami
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Un très beau poème empreint d'une triste douceur.Merci Thierry du partage.
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