Captivant début, qui nous transporte non pas près des collines d'Hollywood et de la faune suspecte qui y pullule selon la tradition du bon roman noir, mais dans un Nord de l'Europe, où les gangsters ont un accent Russe ou Finlandais, mais n'ont rien à envier pour la violence à leurs collègues américains.
Il y a dans l'écriture, comme chez Chandler, un côté visuel, quasi cinématographique, et l'on se prend à imaginer la caméra glissant en un lent travelling à la Antonioni des cuisses blanches et dénudées de l'héroïne à l'extérieur de la voiture un épais brouillard, glacial. Chacun sait que le brouillard fait partie de la vie de tout enquêteur...
Le Mô, ni philosophie, ni politique est une bien curieuse méditation qui vide l'existence de sa diversité. Il faut les mots pour le dire et se méfier des maux éprouvés.
Toute mon admiration à Xen Tseu et pour sa fidèle scribe. J'éviterais donc à l'avenir la province du Nord et son Mô.
Et voilà donc révélée toute la subtilité de la chose : c'est Lî elle-même, et seule, qui nourrit son propre calvaire, si calvaire il y a. Une libre adaptation (dépouillée) de la caverne de Platon?
Une réflexion toute en nuance sur le sacrifice, le nécessaire, pas l'idéologique, celui qui sauve la fourmilière, pas l'individu. On ne juge pas, on lit, on se tait et on reçoit cette claque d'humilité en pleine poire dans un respect absolu. Pour ces gens-là, merci.
Je reste totalement sur ma faim. Je n'ai pas joui, du moins pas trop, comme Sonia, et c'est bien là tout le talent de la créatrice. On partage la même frustration. Bravo, surtout que l'écriture subtilement maîtrisée, la construction du récit, les images, tout est parfait! Je suis admiratif!
Bonjour
Je vais dire de suite que je suis intéressé par vos histoires dont les titres sont crieurs et accrocheurs mais ...
je n'arrive pas à aller jusqu'au bout des histoires car je suis dérangé par les pensées sophistiquées et trop chargées des acteurs
et je trouve vite que cela devient lourd.
bien sûr, je ne suis qu'un simple lecteur sans aucune prétention d'analyse critique. je dis juste ce que je pense...
J 'aime les histoires simplement racontées avec des personnages bien introduits auxquels il arrive toutes sortes de choses érotiques ( c'est ce que je préfère ici)
Cette remarque est la même pour vos textes en général et pas seulement pour "petite pute"
Je suis désolé de dire mon ressenti, mais bon, c'est fait pour ça non?
Pat
56 pages
Captivant début, qui nous transporte non pas près des collines d'Hollywood et de la faune suspecte qui y pullule selon la tradition du bon roman noir, mais dans un Nord de l'Europe, où les gangsters ont un accent Russe ou Finlandais, mais n'ont rien à envier pour la violence à leurs collègues américains.
Il y a dans l'écriture, comme chez Chandler, un côté visuel, quasi cinématographique, et l'on se prend à imaginer la caméra glissant en un lent travelling à la Antonioni des cuisses blanches et dénudées de l'héroïne à l'extérieur de la voiture un épais brouillard, glacial. Chacun sait que le brouillard fait partie de la vie de tout enquêteur...
Yves Parigaux le 10 mars 2021 à 14h07
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D'ou le danger d'aller se perdre au Japon, pays du seul soleil levant connu sur terre. Quand au corps, aller savoir ?
Toute ma sagesse à Xen Tseu, le Mal Etonné.
J'éviterais soigneusement désormais, toute relation avec les prêtres zen, voix de sagesses confondantes.
1 page
N'étant ni gueux, ni moine, je ne craints rien entre ces murs lointains. Quoique...
Toute ma foi à Xen Tseu, sagesse de la pauvreté, malice des sages.
Je n'irais pas dans la ville de Haïkou, trop cruelle !
2 pages
Le Mô, ni philosophie, ni politique est une bien curieuse méditation qui vide l'existence de sa diversité. Il faut les mots pour le dire et se méfier des maux éprouvés.
Toute mon admiration à Xen Tseu et pour sa fidèle scribe. J'éviterais donc à l'avenir la province du Nord et son Mô.
16 pages
Je ne suis pas fan. Du coup je n'ai pas été au bout. Mais je suis bien certain que beaucoup vont apprécier la performance, heureusement.
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Et voilà donc révélée toute la subtilité de la chose : c'est Lî elle-même, et seule, qui nourrit son propre calvaire, si calvaire il y a. Une libre adaptation (dépouillée) de la caverne de Platon?
7 pages
Une réflexion toute en nuance sur le sacrifice, le nécessaire, pas l'idéologique, celui qui sauve la fourmilière, pas l'individu. On ne juge pas, on lit, on se tait et on reçoit cette claque d'humilité en pleine poire dans un respect absolu. Pour ces gens-là, merci.
24 pages
Je reste totalement sur ma faim. Je n'ai pas joui, du moins pas trop, comme Sonia, et c'est bien là tout le talent de la créatrice. On partage la même frustration. Bravo, surtout que l'écriture subtilement maîtrisée, la construction du récit, les images, tout est parfait! Je suis admiratif!
230 pages
Bonjour
Je vais dire de suite que je suis intéressé par vos histoires dont les titres sont crieurs et accrocheurs mais ...
je n'arrive pas à aller jusqu'au bout des histoires car je suis dérangé par les pensées sophistiquées et trop chargées des acteurs
et je trouve vite que cela devient lourd.
bien sûr, je ne suis qu'un simple lecteur sans aucune prétention d'analyse critique. je dis juste ce que je pense...
J 'aime les histoires simplement racontées avec des personnages bien introduits auxquels il arrive toutes sortes de choses érotiques ( c'est ce que je préfère ici)
Cette remarque est la même pour vos textes en général et pas seulement pour "petite pute"
Je suis désolé de dire mon ressenti, mais bon, c'est fait pour ça non?
Pat
32 pages
je suis devenu fan
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