Michèle, Michèle, c'est bien de raconte, mais pourquoi tout en vrac, comme ça ? Il y avait matière pour une dizaine de tableaux vivants, un par jour : allez, remets ton ouvrage sur le métier : pense à ce que Christina nous pond avec dix fois moins de matière première !
Ne m'en veux pas, hein ? Je rattrape mes retards de lectures depuis trois mois, alors l'indulgence n'est pas plénière....
La bise quand même !
P.S. : je te lis TOUJOURS et c'est pour cette raison que je me suis permise de te secouer cette fois-ci.....
waouh j'adore ! j'ai vécu presque les même choses en plus triste et ainée de 3 frères et plus tard d'une petite sœur ! bravo super bien raconté cet épisode de vie ! à bientôt ! gros bisous
Lisbonne ah Lisbonne
Que de rêves perdus
Des étoiles plein les yeux
Un pendentif file sur le pavé,
On croit avoir tout perdu.
Le souvenir reste ancré
De tous les bonheurs véçus
Il est des lieux où il ne faut absolument ne pas être seule...un texte magnifique alerte et d'une clarté pour des lieux que l'on ne s'attendait pas n'avoir pas été respecté.
Ce lycée n'était pas mixte mais il y avait quelques garçons qui avaient le privilège de le fréquenter à cette époque. L'isolement et la chaleur aidant, un instant de détente, un petit peu d'interdit et tout est dit...le soleil sur les jambes à fait le reste, encore savoir si les fenêtres étaient côté Mont-Blanc ou côté colline car dans le premier cas les moines ne pouvaient pas voir la donzelle et ses gambettes sur le rebord de la fenêtre. La "surgé" avait juste trouvé prétexte à son intrusion dans ce strip tease.
Joli texte plein d'ingenuisité
Style alerte et beaucoup de sensibilité, une justesse du détail, des situations empreintes d'une certaine nostalgie, quelques allusions aux fantasmes... une belle description de l'école dans les années 50. Des souvenirs qui en font revivre d'autres.
Il y a un début de fantasme érotique dans ce texte ou bien c’est moi qui suis un vieux pervers? Ah bien. Je ne savais pas qu’il me restait encore des trésors d’imagination coquine. Maintenant, il ne nous reste plus qu’à lire les pensées troubles de nos moinillons.
17 pages
Bonne alternance entre les épisodes romantiques passées et ce voyage pour oublier.
5 pages
Michèle, Michèle, c'est bien de raconte, mais pourquoi tout en vrac, comme ça ? Il y avait matière pour une dizaine de tableaux vivants, un par jour : allez, remets ton ouvrage sur le métier : pense à ce que Christina nous pond avec dix fois moins de matière première !
Ne m'en veux pas, hein ? Je rattrape mes retards de lectures depuis trois mois, alors l'indulgence n'est pas plénière....
La bise quand même !
P.S. : je te lis TOUJOURS et c'est pour cette raison que je me suis permise de te secouer cette fois-ci.....
5 pages
waouh j'adore ! j'ai vécu presque les même choses en plus triste et ainée de 3 frères et plus tard d'une petite sœur ! bravo super bien raconté cet épisode de vie ! à bientôt ! gros bisous
Maman-Bidou le 5 septembre 2020 à 11h55
1 page
Lisbonne ah Lisbonne
Que de rêves perdus
Des étoiles plein les yeux
Un pendentif file sur le pavé,
On croit avoir tout perdu.
Le souvenir reste ancré
De tous les bonheurs véçus
Luc Bono le 19 novembre 2019 à 10h11
7 pages
Il est des lieux où il ne faut absolument ne pas être seule...un texte magnifique alerte et d'une clarté pour des lieux que l'on ne s'attendait pas n'avoir pas été respecté.
Luc Bono le 16 octobre 2019 à 17h51
3 pages
encore encore !
ah l'hypocrisie des religieux.... je vois que tu es au courant !
3 pages
Ce lycée n'était pas mixte mais il y avait quelques garçons qui avaient le privilège de le fréquenter à cette époque. L'isolement et la chaleur aidant, un instant de détente, un petit peu d'interdit et tout est dit...le soleil sur les jambes à fait le reste, encore savoir si les fenêtres étaient côté Mont-Blanc ou côté colline car dans le premier cas les moines ne pouvaient pas voir la donzelle et ses gambettes sur le rebord de la fenêtre. La "surgé" avait juste trouvé prétexte à son intrusion dans ce strip tease.
Joli texte plein d'ingenuisité
Luc Bono le 2 octobre 2019 à 17h44
5 pages
Style alerte et beaucoup de sensibilité, une justesse du détail, des situations empreintes d'une certaine nostalgie, quelques allusions aux fantasmes... une belle description de l'école dans les années 50. Des souvenirs qui en font revivre d'autres.
Luc Bono le 9 août 2019 à 16h32
2 pages
Félicitation le livre cartonné est superbe la photo de couverture ok et surtout la dédicace de Bertrand Tavernier judicieuse. Belle réalisation.
MLB
Luc Bono le 14 mai 2019 à 19h18
3 pages
Il y a un début de fantasme érotique dans ce texte ou bien c’est moi qui suis un vieux pervers? Ah bien. Je ne savais pas qu’il me restait encore des trésors d’imagination coquine. Maintenant, il ne nous reste plus qu’à lire les pensées troubles de nos moinillons.
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