Waouh! Il n'y a que toi pour égaler Baudelaire du premier vers au dernier. Je souhaite à "ton esprit inquiet, tes humeurs vagabondes" de toujours conserver l'envie d'écrire qui maintient en vie. Bravissimo mon amie Mary Mye.
Baudelaire évoque la vilenie et la noirceur humaine. Tu nous offres le tableau d'un monde meilleur. Ce beau pastiche permet de ne pas perdre espoir. Merci, Mary.
Bravo, Mary, c'est très réussi, cette version lumineuse du fameux sonnet de Baudelaire ! Puissent ces aspirations à l'évasion vers un monde plus libre, plus pur et plus serein être entendues... Estérina
Tout d'abord, merci de nous donner à partager les vers somptueux de Baudelaire.
En miroir, ta poésie fait mouche, comme un funambule entre espérance et désespérance.
Merci Mary :)
La quête d'espérance de tous temps demeure une absolue nécessité.
Le nôtre n'est pas pire, simplement les lamentations sont partagées instantanément et trouvent une résonance démultipliée. Alors soyons plus forts, sublimons l'espérance en la chantant comme avec vos si doux vers.
Merci.
Dans une dégustation à l'aveugle entre ce pastiche magistral et son original, Mary Mae aurait, à mon goût, toutes ses chances.
Bien-sûr avec son génial:
"Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci"
Baudelaire est dans un autre monde et dans un autre siècle.
Cependant la version lumineuse de Mary donne le même sentiment qu'en écoutant "All Along the Watchtower" de Bob Dylan, dans la version empuissancée de Jimi Hendrix.
Du haut de ce clocher, je vous carillonne mes bravos pour ce sonnet de bravoure.
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Waouh! Il n'y a que toi pour égaler Baudelaire du premier vers au dernier. Je souhaite à "ton esprit inquiet, tes humeurs vagabondes" de toujours conserver l'envie d'écrire qui maintient en vie. Bravissimo mon amie Mary Mye.
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Baudelaire évoque la vilenie et la noirceur humaine. Tu nous offres le tableau d'un monde meilleur. Ce beau pastiche permet de ne pas perdre espoir. Merci, Mary.
Rakel le 17 janvier 2021 à 20h56
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Rêver de jours meilleurs ? Ou boire le calice... Une saison en enfer !
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Bravo, Mary, c'est très réussi, cette version lumineuse du fameux sonnet de Baudelaire ! Puissent ces aspirations à l'évasion vers un monde plus libre, plus pur et plus serein être entendues... Estérina
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Tout d'abord, merci de nous donner à partager les vers somptueux de Baudelaire.
En miroir, ta poésie fait mouche, comme un funambule entre espérance et désespérance.
Merci Mary :)
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La quête d'espérance de tous temps demeure une absolue nécessité.
Le nôtre n'est pas pire, simplement les lamentations sont partagées instantanément et trouvent une résonance démultipliée. Alors soyons plus forts, sublimons l'espérance en la chantant comme avec vos si doux vers.
Merci.
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Dans une dégustation à l'aveugle entre ce pastiche magistral et son original, Mary Mae aurait, à mon goût, toutes ses chances.
Bien-sûr avec son génial:
"Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci"
Baudelaire est dans un autre monde et dans un autre siècle.
Cependant la version lumineuse de Mary donne le même sentiment qu'en écoutant "All Along the Watchtower" de Bob Dylan, dans la version empuissancée de Jimi Hendrix.
Du haut de ce clocher, je vous carillonne mes bravos pour ce sonnet de bravoure.
Merci, bien cordialement
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l'espérance, l'optimisme, comme une bouée qui nous préserve de la noyade.....
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Une poésie joliette et drôlette. Des comme cela, je veux bien qu'on m'en "narre six"... ou sept !
Guy Bellinger le 16 janvier 2021 à 6h28
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Mazette! C'est chouette une poésie aussi guillerette. Très bon pour le moral ce poème! Bravissimo et merci pour tout Mary qui rimaille si bien.
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