A poursuivre, maintenant que nous avons allègrement franchi les 12 036 287 ans sur Atramenta, sans trop de casse, hormis quelques scandinaves (SAAB où es-tu?), mais bon... ;)
(au fait, les méthodes pour un réveil en fonction du cycle de sommeil existent... bonne nouvelle, non !? ^^)
Comment taire ce décalé moderne aux formes classiques qui se lit librement tout en bloquant parfois le rythme par la réflexion à apposer sur le vers.
Le cadavre est exquis cousu de fils blancs, le paon nous glace quand sa roue devient disque.
Les mots, images peintes, sont crus et cruelles quand Adèle nous tourne le dos; mais l'auteur nous laisse sa langueur d'avoir aimé un rêve sans évolution.
Beaucoup de serrures et peu de clés pour certains poèmes mais n'est ce pas aussi le lot du lecteur que de se faire sa propre lecture.
Merci pour ces vers parfois sévères et à bientôt sur d'autres vers.
Séduite par la liberté d'écriture, la fantaisie et quelques belles trouvailles : les abricots, fessiers à l'infini, " avec de légères différences plus dûes à l'exposition qu'à un effort d'imagination!
Et j'adore la pomme "qui en appelle à la beauté intérieure" !!!
Vous écrivez toujours comme ça ? Dites oui !
Oh je ne dirai pas que je comprends tout, mais j'aime vraiment. Les mots sont beaux, les phrases sont envolées, le rythme, tout...
Pour moi, c'est assez exceptionnel. De nouveau, je suis étonnée du peu de réactions. On a envie de les lire à voix haute, de les crier ces poèmes, bravo!
Ben je découvre vos textes par hasard. Et waouh, franchement j'adore! C'est bien écrit, c'est drôle, surprenant et captivant. S'il y a une suite, je serais preneuse immédiatement. Je suis étonnée du peu de commentaires que vous avez reçus, ce n'est pas souvent que j'ai eu une telle surprise, c'est vraiment original et bien. Voilà.
(commentaire déplacé pcq placé dans le fil de celui de Mary Mye, bref plantage, désolée)
Je me suis laissée entraîner dans ce labyrinthe de mots d'où je ressors impressionnée par votre façon de jouer avec les métaphores ; seuls, toutefois, quelques poèmes me sont apparus accessibles, comme "dans son dos" ou "Rêvolution", les autres étant restés, pour moi, totalement hermétiques.
15 pages
Maintenant, je comprends le mot "Dystopie" :)
A poursuivre, maintenant que nous avons allègrement franchi les 12 036 287 ans sur Atramenta, sans trop de casse, hormis quelques scandinaves (SAAB où es-tu?), mais bon... ;)
(au fait, les méthodes pour un réveil en fonction du cycle de sommeil existent... bonne nouvelle, non !? ^^)
Horace Mandrague le 24 février 2016 à 12h52
3 pages
Un texte dans l'air du temps. Le printemps s'annonce et les prunes tombent. Ce verger demande qu'on s'attarde un peu sous ses arbres en fleurs.
J'en aime beaucoup la poésie. Et au moins, on est obligé de prendre le temps de savourer chaque fruit qui s'offre !
Merci David.
Vis9vies le 5 février 2016 à 15h56
3 pages
Très très original.
De la poésie en prose.
Un style qui surprend mais une langue d'une rare richesse et d'une belle inventivité. On, en redemande!
Regis Morissé le 5 février 2016 à 15h38
17 pages
Comment taire ce décalé moderne aux formes classiques qui se lit librement tout en bloquant parfois le rythme par la réflexion à apposer sur le vers.
Le cadavre est exquis cousu de fils blancs, le paon nous glace quand sa roue devient disque.
Les mots, images peintes, sont crus et cruelles quand Adèle nous tourne le dos; mais l'auteur nous laisse sa langueur d'avoir aimé un rêve sans évolution.
Beaucoup de serrures et peu de clés pour certains poèmes mais n'est ce pas aussi le lot du lecteur que de se faire sa propre lecture.
Merci pour ces vers parfois sévères et à bientôt sur d'autres vers.
15 pages
Complètement dépaysé, je fus !
Pas au courant de cette histoire de " dystopie", mot qui ne figure pas sur mon Larousse... Où suis-je tombé ?
Ici, sur Atramenta, je m'exerce à l'utopie qui trouverait un terrain d'application, et je me robotise malgré moi en cherchant des rouages possibles...
Mon programme intégré a failli cramer !
Mais pendant quelques minutes de lecture j'ai satisfait au plaisir de l'" Ilinx" et de l'égarement.
Vous avez dit Bizarre !
3 pages
J'aime bien l'originalité de ce texte.
Vos fruits donnent envie.
Les cerises aux oreilles..que de beaux souvenirs.
Kezia Merise le 7 mai 2015 à 8h39
3 pages
Séduite par la liberté d'écriture, la fantaisie et quelques belles trouvailles : les abricots, fessiers à l'infini, " avec de légères différences plus dûes à l'exposition qu'à un effort d'imagination!
Et j'adore la pomme "qui en appelle à la beauté intérieure" !!!
Vous écrivez toujours comme ça ? Dites oui !
17 pages
Oh je ne dirai pas que je comprends tout, mais j'aime vraiment. Les mots sont beaux, les phrases sont envolées, le rythme, tout...
Pour moi, c'est assez exceptionnel. De nouveau, je suis étonnée du peu de réactions. On a envie de les lire à voix haute, de les crier ces poèmes, bravo!
3 pages
Ben je découvre vos textes par hasard. Et waouh, franchement j'adore! C'est bien écrit, c'est drôle, surprenant et captivant. S'il y a une suite, je serais preneuse immédiatement. Je suis étonnée du peu de commentaires que vous avez reçus, ce n'est pas souvent que j'ai eu une telle surprise, c'est vraiment original et bien. Voilà.
(commentaire déplacé pcq placé dans le fil de celui de Mary Mye, bref plantage, désolée)
17 pages
Je me suis laissée entraîner dans ce labyrinthe de mots d'où je ressors impressionnée par votre façon de jouer avec les métaphores ; seuls, toutefois, quelques poèmes me sont apparus accessibles, comme "dans son dos" ou "Rêvolution", les autres étant restés, pour moi, totalement hermétiques.
Mary Mye le 23 mars 2013 à 18h16
Page suivante