Evacuer de telles angoisses ne pouvait que se faire en logorrhée littéraire et il faut s'appeler Damy pour en avoir l'art et en trouver la manière...parce que la matière ne manque pas dans ce pavé poétique qui martèle ses rimes comme le cheval de ses galops mentaux martèle les syllabes laissant l'écho revenir inlassablement en râles de douleurs.
Il fallait l'écrire comme on jette les cendres de l'urne à la mer...et seulement maintenant la communication pourra s'établir.
C'est vrai que ce bleu intense et d'une force hypnotique inimaginable, et si je le regarde pendant trop longtemps, j'ai l'impression de tomber dans un abîme sans fin.
Pour autant, je suis beaucoup plus sensible à tes vers , leurs envolées lyriques et ta façon de nous entraîner dans ton "Monde couleur pure", ton "élan mystique "
Face à une oeuvre monochrome, je dois d'ailleurs avouer qu'une question me taraude souvent : ne devrais-je pas féliciter le fabricant de couleurs, plutôt que l'artiste ? Merci Damy. :=))
C'est un poème incontournable empli d'un grand amour pour l'Humanité et, en particulier, pour tous ces gens qui, par-dessus vents et marées,malgré les massacres, tiennent l'espoir de Kateb Yacine dans leurs mains et n'oublient pas leur Printemps !OUI, ils n'ont rien perdu, ces vers libres qui psalmodient non pas la détresse mais l'espoir, ces vers qui prennent la mesure de Nedjma pour nous distiller une tendre et ferme liberté malgré les drames. Matoub n'est pas mort pour rien et les paysans de Benthala non plus ! C'est un grand merci à toi, Damy, de l'avoir souligné !
1 page
L’angoisse, éternel syndrome sur le questionnement de ce que nous sommes, dans un vertige permanent. ;-))
J’ai beaucoup aimé cette poésie.
Merci Damy
1 page
un très beau texte
moi j'étais sur l'eau en lisant
un texte qui a parfois une part de mystère mais j'adore ça dans la poésie
de belles images
Lutécia Cendrelle le 7 mars 2021 à 18h40
1 page
joli mot, angustia, le pendant italien d'angoisse....
noirceur lumineuse....
1 page
Evacuer de telles angoisses ne pouvait que se faire en logorrhée littéraire et il faut s'appeler Damy pour en avoir l'art et en trouver la manière...parce que la matière ne manque pas dans ce pavé poétique qui martèle ses rimes comme le cheval de ses galops mentaux martèle les syllabes laissant l'écho revenir inlassablement en râles de douleurs.
Il fallait l'écrire comme on jette les cendres de l'urne à la mer...et seulement maintenant la communication pourra s'établir.
1 page
Âpre et implacable poème d'un seul tenant, à bout de souffle.
Suffocant et pourtant exutoire d'un mal-être sublimé, en un flot d'images saisissantes.
Œuvre singulière, puissamment extériorisée, presque vomie, sans concession de forme, dans un authentique geste d'art poétique.
Chapeau Damy,
bien cordialement
1 page
Une angoisse pourtant si jolie en poésie...
Bravo et merci pour ce moment poétique
Amitiés
Andrée
1 page
Voyage vers l'enfer des sens, l'envers, violence, indécence, souffrance.
Merci à toi Damy. Angoissante Angustia !
2 pages
C'est vrai que ce bleu intense et d'une force hypnotique inimaginable, et si je le regarde pendant trop longtemps, j'ai l'impression de tomber dans un abîme sans fin.
Pour autant, je suis beaucoup plus sensible à tes vers , leurs envolées lyriques et ta façon de nous entraîner dans ton "Monde couleur pure", ton "élan mystique "
Face à une oeuvre monochrome, je dois d'ailleurs avouer qu'une question me taraude souvent : ne devrais-je pas féliciter le fabricant de couleurs, plutôt que l'artiste ? Merci Damy. :=))
Mary Mye le 4 mars 2021 à 22h45
2 pages
Face à la monochromie, chacun réagit,
moi je ne ressens qu'un bleu éclatant !
Merci Damy d'avoir transfiguré ton émotion poétique, qui elle est saisissante !
1 page
C'est un poème incontournable empli d'un grand amour pour l'Humanité et, en particulier, pour tous ces gens qui, par-dessus vents et marées,malgré les massacres, tiennent l'espoir de Kateb Yacine dans leurs mains et n'oublient pas leur Printemps !OUI, ils n'ont rien perdu, ces vers libres qui psalmodient non pas la détresse mais l'espoir, ces vers qui prennent la mesure de Nedjma pour nous distiller une tendre et ferme liberté malgré les drames. Matoub n'est pas mort pour rien et les paysans de Benthala non plus ! C'est un grand merci à toi, Damy, de l'avoir souligné !
Page suivante