Difficile à cerner si on ne connait pas l'auteur qui est un humaniste avéré et qui, avec ce texte court, nous interpelle sur le sort des migrants et des habitants qui voisinent les camps. Pour les uns, aider certes, mais à quel prix et dans quelles conditions ? Les initiatives individuelles ne sont pas forcément adaptées et cette vieille femme en fait les frais. Dans cette nouvelle, la violence puis l'indifférence de ces hommes envers cette vieille femme dérange. Mais que sait-on de l'instinct de survie, nous qui avons tout, ou presque ? Quelle part d'humanité nous reste-il quand on a tout perdu et qu'il faut sauver sa peau, coûte que coûte ? l'histoire nous rappelle que tout n'est pas rose ( les camps n'ont jamais cessé d'exister... ) et qu'il faut oser aborder tous les sujets sans trop de tabous, pour crever l'abcès.
arrivée au tiers du récit, je voulais m'arrêter car j'en ai plus qu'assez du politiquement correct.
Puis est venu le reste, bien plus crédible. Il t'a fallu du courage pour l'écrire, compliments!
Le texte est bien écrit et assez bien enlevé, cependant il y a deux aspects que je n'aime pas :
1) Sur la forme, les noms de lieux qui ont été modifiés. Pourquoi ? Cela n'apporte rien et enlève de la crédibilité au récit.
2) Sur le fond, l'ensemble du texte relève d'une méconnaissance de la réalité et repose sur des clichés trop faciles. Voire une certaine xénophobie...
alors la je me suis revue mais dans l'école des fille "cité Voltaire " à Paris ! rudement bien écrit et décrit , pas de lassitude à lire c'est entraînant on veut connaitre la suite , les parents ont surement eu vent de ce qu'il se passait pour leur petit garçon !à vous lire encore ! merci bisous
Drôle et jouissif, ce récit bien enlevé. Il est sympa, ce jeune pourfendeur d'hypocrisie. Mais pas de happy end : vilains parents qui le changent d'institution. tout est à recommencer maintenant !
Merci pour cette amusante histoire...Il se trouve qu'en ce moment j'écris aussi un texte sur un week end...bien réel pour le coup, mais anecdotique également.Ici, humour et légèreté s'apprécient, on suit l'histoire avec intérêt...
9 pages
Oui, cela se passe souvent ainsi
9 pages
Difficile à cerner si on ne connait pas l'auteur qui est un humaniste avéré et qui, avec ce texte court, nous interpelle sur le sort des migrants et des habitants qui voisinent les camps. Pour les uns, aider certes, mais à quel prix et dans quelles conditions ? Les initiatives individuelles ne sont pas forcément adaptées et cette vieille femme en fait les frais. Dans cette nouvelle, la violence puis l'indifférence de ces hommes envers cette vieille femme dérange. Mais que sait-on de l'instinct de survie, nous qui avons tout, ou presque ? Quelle part d'humanité nous reste-il quand on a tout perdu et qu'il faut sauver sa peau, coûte que coûte ? l'histoire nous rappelle que tout n'est pas rose ( les camps n'ont jamais cessé d'exister... ) et qu'il faut oser aborder tous les sujets sans trop de tabous, pour crever l'abcès.
4 pages
ton garnement (dis-moi que ce n'est pas toi EN VRAI ! graine de voyou!) m'a fait penser au garçon de "vipère au poing" . Bravo, tu m'étonnes beaucoup.
9 pages
arrivée au tiers du récit, je voulais m'arrêter car j'en ai plus qu'assez du politiquement correct.
Puis est venu le reste, bien plus crédible. Il t'a fallu du courage pour l'écrire, compliments!
9 pages
Le texte est bien écrit et assez bien enlevé, cependant il y a deux aspects que je n'aime pas :
1) Sur la forme, les noms de lieux qui ont été modifiés. Pourquoi ? Cela n'apporte rien et enlève de la crédibilité au récit.
2) Sur le fond, l'ensemble du texte relève d'une méconnaissance de la réalité et repose sur des clichés trop faciles. Voire une certaine xénophobie...
4 pages
alors la je me suis revue mais dans l'école des fille "cité Voltaire " à Paris ! rudement bien écrit et décrit , pas de lassitude à lire c'est entraînant on veut connaitre la suite , les parents ont surement eu vent de ce qu'il se passait pour leur petit garçon !à vous lire encore ! merci bisous
Maman-Bidou le 23 mai 2019 à 9h23
4 pages
Drôle et jouissif, ce récit bien enlevé. Il est sympa, ce jeune pourfendeur d'hypocrisie. Mais pas de happy end : vilains parents qui le changent d'institution. tout est à recommencer maintenant !
Guy Bellinger le 18 mai 2019 à 8h27
22 pages
Merci pour cette amusante histoire...Il se trouve qu'en ce moment j'écris aussi un texte sur un week end...bien réel pour le coup, mais anecdotique également.Ici, humour et légèreté s'apprécient, on suit l'histoire avec intérêt...
Sylviane Lemarais le 7 mai 2019 à 21h23
22 pages
C'est Les Tuche chez la Comtesse Bathory. Hilarant !
Guy Bellinger le 2 mai 2019 à 7h40
207 pages
Morte de rire !
Tana Tera le 24 avril 2019 à 14h16
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