Un teste réaliste, dur et cru. La volonté d'échapper à tout prix au monde parfois étriqué de la famille peut pousser à bien des bêtises. Merci Bernard.
Bonjour,
Mille fois bravo pour ces quelques lignes, elles sont suffisantes pour dire ce qu’il y a à dire, en plus que le moment choisi ne soit pas anodin, nous sommes bientôt à la date de cette naissance.
Moi je ne suis pas croyant, cela ne m’empêche pas d’avoir des sentiments, combien sont elles, ces innocentes à vouloir échapper aux contraintes familiales trop protectrices, pour se retrouver bêtement dans les mains des prédateurs. Cela pour vous dire que votre petite histoire remet un peu de baume au cœur en nous permettant de rêver quelques instants sur la merveilleuse bonté de certains humains.
Je suis passée mais je ne peux pas lire autant devant mon écran... je retourne au lit ! avec ma tablette et ton écrit ! je reviendrai commenter plus tard !
ah quelle jolie histoire où la mafia est bien décrite, sans les fioritures du "parrain" qui fit tellement de mal à l'Italie...
Sans blague, je me suis énormément amusée, et les détails italiens sont tous justes ! bravo !!!!
Le récit se laisse bien lire, avec ce qu'il faut de style "truculent", genre polar populaire et classique, qui peut rappeler San Antonio (?) pour ne pas baguenauder en route.
J'aime bien, pg 13, « elle donne dans la gâterie buccale tarifée… ».
Peut-être que cela manque d'imprévus, notamment d'une fin "couperet"... Oui, finalement, on s'attend un peu à cette chute.
Écriture fluide et classique que j'ai déjà appréciée concernant certains autres de vos récits.
Cependant, j'ai éprouvé un certain malaise en devinant, dès "le tabassage" et sa description un rien complaisante, une fin convenue et bien dans l'air du temps, quoique on dise. Tant de générosités (longuement éprouvées) vaines, contre l’ingratitude et la sauvagerie… vous avouerez que l’amalgame est aisé, que des conclusions hâtives peuvent en découler...
12 pages
Un teste réaliste, dur et cru. La volonté d'échapper à tout prix au monde parfois étriqué de la famille peut pousser à bien des bêtises. Merci Bernard.
Lana Icolina le 4 décembre 2019 à 8h50
12 pages
Bonjour,
Mille fois bravo pour ces quelques lignes, elles sont suffisantes pour dire ce qu’il y a à dire, en plus que le moment choisi ne soit pas anodin, nous sommes bientôt à la date de cette naissance.
Moi je ne suis pas croyant, cela ne m’empêche pas d’avoir des sentiments, combien sont elles, ces innocentes à vouloir échapper aux contraintes familiales trop protectrices, pour se retrouver bêtement dans les mains des prédateurs. Cela pour vous dire que votre petite histoire remet un peu de baume au cœur en nous permettant de rêver quelques instants sur la merveilleuse bonté de certains humains.
CAILLOUX.
13 pages
Je suis passée mais je ne peux pas lire autant devant mon écran... je retourne au lit ! avec ma tablette et ton écrit ! je reviendrai commenter plus tard !
13 pages
ah quelle jolie histoire où la mafia est bien décrite, sans les fioritures du "parrain" qui fit tellement de mal à l'Italie...
Sans blague, je me suis énormément amusée, et les détails italiens sont tous justes ! bravo !!!!
7 pages
Pittoresque, le Manzoni ! On se croirait dans "Fantasia chez les ploucs" de Charles Williams revisité par Albert Simonin.
Guy Bellinger le 5 octobre 2019 à 5h50
23 pages
Le récit se laisse bien lire, avec ce qu'il faut de style "truculent", genre polar populaire et classique, qui peut rappeler San Antonio (?) pour ne pas baguenauder en route.
J'aime bien, pg 13, « elle donne dans la gâterie buccale tarifée… ».
Peut-être que cela manque d'imprévus, notamment d'une fin "couperet"... Oui, finalement, on s'attend un peu à cette chute.
9 pages
Écriture fluide et classique que j'ai déjà appréciée concernant certains autres de vos récits.
Cependant, j'ai éprouvé un certain malaise en devinant, dès "le tabassage" et sa description un rien complaisante, une fin convenue et bien dans l'air du temps, quoique on dise. Tant de générosités (longuement éprouvées) vaines, contre l’ingratitude et la sauvagerie… vous avouerez que l’amalgame est aisé, que des conclusions hâtives peuvent en découler...
9 pages
Un rendu excellent qui donne le goût de vérité, avec son lot de révolte et d'incompréhension.
23 pages
Je continue demain. Cela commence bien.
9 pages
Oui, cela se passe souvent ainsi
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