Traversée de lueurs, de clapotis, de cris joyeux et de jaillissements de vies, cette ode à Paris est une merveille foisonnante.
Cinq quatrains méritant une lecture à voix haute, les sonorités y sont kaléidoscopiques, colorées par un maître de la Renaissance et rythmée à la cadence des pieds d'une danseuse étoile, environnée de mille petits rats de l'Opéra de Paris.
Oui j'aime cette langue riche, inventive, savoureuse, au service d'un espoir chevillé à l'aube qui revient caresser les toits de Paris.
Poète de l'ineffable, de l'indicible, Alain nous honore de sa plume virevoltante dans l'air de sa ville, à nouveau, lumière.
Bien cordialement.
P.s. "Samain" est à mon sens l’équivalent grégorien du Nouvel An dans le dernier vers, alors qu’il existe une autre définition de Samain comme ancêtre celte d'Halloween, ce qui serait ici déplacé.
Deux quatrains ont tissé dans la nuit d'étranges alexandrins.
Des mots choisis se sont assemblés pour la première fois, créant une brèche dans les ténèbres.
Les "fils de soie" brodés avec les fils de soi, l'auteur dévoile un autre lui-même, alter ego doué de réparation des amnésies amoureuses.
Merci Alain pour cette nuit fertile,
que ton jour te soit beauté révélée.
Par un titre transperçant toutes ténèbres, Alain nous emmène dans un paysage vertical, aux aurores d'un monde renaissant.
Chaque vers réinvente une nature révélée, comme autant de signes fulgurant d'un créateur invisible et partout présent.
Par cette œuvre tant significative qu'originale, l'amour n'a de cesse de resurgir jusqu'à retrouver tout le vivant, nanti ou misérable, pour lui accorder son sens et sa mesure.
Pour une raison qui m'échappe, le titre est doublé au début de ce poème remarquable et les quatre premiers quatrains sont répétés à sa fin. La densité et la portée du contenu sont telles, que l'on a joie et ravissement de les relire.
C'est un grand privilège d'accéder à la pensée créative élevée d'un si étonnant poète. Avec ma gratitude émue.
À nouveau la plume inspirée d’Alain nous gratifie d’un rayonnement de la ville Lumière.
Alors oui que la
« terre mélange tous les drapeaux ! »
« Que grain rencontre fleurs »
Merci pour cette œuvre féconde, délicate et scintillante
Bien cordialement
Par sa langue unique Alain Minod dépose les mots en petites touches impressionnistes, donnant à former images et sens dans nos pensées déjà rêveuses.
Son invitation subtile à la danse intérieure pourrait se voir jubilatoire, se laissant entraîner par ses vers, d’une chorégraphie sensuelle et solidaire.
« Face au pavé – en avenir – se veillent fleurs
Qui les fera monter et danser aux étoiles ? »
Alain pourrait bien être celui-là, attentif aux signes ténus hors du temps et gardien des émotions infimes et durables.
Merci Alain, que votre chemin d’écriture florissante continue longtemps à vous mener là où votre cœur s’inspire
Ce vers, à lui seul, vaut d’être lu et relu, senti et ressenti.
Le poème est de cette veine, charriant le sang d’une peine, à cœur battant.
La poésie d’Alain, entre ombres et lumières, entre mystère et révélation, nous donne à vivre un peu plus intensément, dans une douce profondeur.
Il faudra bien, si ce n’est déjà, que les pages lumineuses d’Alain s’assemblent, telles des pierres de taille, pour former un livre-phare, guidant les amis de la Poésie.
Bien cordialement
1 page
Traversée de lueurs, de clapotis, de cris joyeux et de jaillissements de vies, cette ode à Paris est une merveille foisonnante.
Cinq quatrains méritant une lecture à voix haute, les sonorités y sont kaléidoscopiques, colorées par un maître de la Renaissance et rythmée à la cadence des pieds d'une danseuse étoile, environnée de mille petits rats de l'Opéra de Paris.
Oui j'aime cette langue riche, inventive, savoureuse, au service d'un espoir chevillé à l'aube qui revient caresser les toits de Paris.
Poète de l'ineffable, de l'indicible, Alain nous honore de sa plume virevoltante dans l'air de sa ville, à nouveau, lumière.
Bien cordialement.
P.s. "Samain" est à mon sens l’équivalent grégorien du Nouvel An dans le dernier vers, alors qu’il existe une autre définition de Samain comme ancêtre celte d'Halloween, ce qui serait ici déplacé.
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Deux quatrains ont tissé dans la nuit d'étranges alexandrins.
Des mots choisis se sont assemblés pour la première fois, créant une brèche dans les ténèbres.
Les "fils de soie" brodés avec les fils de soi, l'auteur dévoile un autre lui-même, alter ego doué de réparation des amnésies amoureuses.
Merci Alain pour cette nuit fertile,
que ton jour te soit beauté révélée.
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Par un titre transperçant toutes ténèbres, Alain nous emmène dans un paysage vertical, aux aurores d'un monde renaissant.
Chaque vers réinvente une nature révélée, comme autant de signes fulgurant d'un créateur invisible et partout présent.
Par cette œuvre tant significative qu'originale, l'amour n'a de cesse de resurgir jusqu'à retrouver tout le vivant, nanti ou misérable, pour lui accorder son sens et sa mesure.
Pour une raison qui m'échappe, le titre est doublé au début de ce poème remarquable et les quatre premiers quatrains sont répétés à sa fin. La densité et la portée du contenu sont telles, que l'on a joie et ravissement de les relire.
C'est un grand privilège d'accéder à la pensée créative élevée d'un si étonnant poète. Avec ma gratitude émue.
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Dans une langue gazouillante qui lui appartient, Alain réchauffe notre hiver et l'enchante d'un printemps inattendu.
De "ruisseau de liberté" en "brins de beauté" le second quatrain émerveille dans un envol coloré, aux accents enracinés dans la source de toute vie.
Pourtant le mystère demeure et s'entremêle à nos vies, là…
" Où l’antre de l’âme doucement se ravine "
Félicitations Alain pour cette expression de liberté intérieure, portée à nos regards d'enfants retrouvés.
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Très joli; j'aime beaucoup le titre; et quoi de plus pur et apaisant que le chant des oiseaux, dans le matin?
Merci, Alain
Angélique
Angélique Rodride le 10 janvier 2021 à 14h35
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À nouveau la plume inspirée d’Alain nous gratifie d’un rayonnement de la ville Lumière.
Alors oui que la
« terre mélange tous les drapeaux ! »
« Que grain rencontre fleurs »
Merci pour cette œuvre féconde, délicate et scintillante
Bien cordialement
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Par sa langue unique Alain Minod dépose les mots en petites touches impressionnistes, donnant à former images et sens dans nos pensées déjà rêveuses.
Son invitation subtile à la danse intérieure pourrait se voir jubilatoire, se laissant entraîner par ses vers, d’une chorégraphie sensuelle et solidaire.
« Face au pavé – en avenir – se veillent fleurs
Qui les fera monter et danser aux étoiles ? »
Alain pourrait bien être celui-là, attentif aux signes ténus hors du temps et gardien des émotions infimes et durables.
Merci Alain, que votre chemin d’écriture florissante continue longtemps à vous mener là où votre cœur s’inspire
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le Covid a bouleversé le décor habituel
et le gens se griment avec le temps
8 pages
pour moi, ignare, qui en suis restée à Joaquin du Bellay, c'est trop difficile d'apprécier.
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« Toi ! D’où tu es : Unis ta lumière que j’aime »
Ce vers, à lui seul, vaut d’être lu et relu, senti et ressenti.
Le poème est de cette veine, charriant le sang d’une peine, à cœur battant.
La poésie d’Alain, entre ombres et lumières, entre mystère et révélation, nous donne à vivre un peu plus intensément, dans une douce profondeur.
Il faudra bien, si ce n’est déjà, que les pages lumineuses d’Alain s’assemblent, telles des pierres de taille, pour former un livre-phare, guidant les amis de la Poésie.
Bien cordialement
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