Les mots au service de l'émotion… des mots pour dire et entendre le bourdonnement des abeilles, le murmure du monde, le bruissement de la vie au plus profond de la chair, tout au fond du cœur…
Des mots d'enfants ?
Peu importe dans le fond. Vous savez les transcrire avec les vôtres.
C'est un bonheur de retrouver Agnès Chêne dans ce "Gribouillon".
Vive la poésie, vive la réalité et vive le rêve.
des gribouillons de mots ça c'est une trouvaille pour tous ceux qui se prennent le chou avec leurs idées
un beau dessin pour les aider à donner un non sens à leur fierté
bon, je pense en faire partie aussi parfois. mea culpa
Je suis resté longtemps à la fin de la première page, …cette nuit
J'ai été saisi par l'immensité de l'histoire de vie renfermée dans ces vers frôlant la réalité sans la dévoiler.
Un poème n'est vraiment complet que lorsqu'il est lu et ressenti par ses lecteurs. Je crois en particulier que ce poème va vivre encore longtemps dans le cœur de ceux qui se laisseront porter et emporter, pour de vrai.
Sensible et attachant ce "presque" révèle la frontière ténue entre la presque mort d'une feuille et le moment où elle entrera dans le grand cycle de sa métamorphose en humus, promesse du printemps à venir.
Dans ce "presque" l'on perçoit la beauté flamboyante qui précède la fin certaine d'une création aussi unique qu'éphémère.
À tant vouloir "tout" souvent nous tendons au vide, ce texte nous ramène à l'essentielle substance de l'infime beauté nourrissante et vraie.
Par cette feuille d'ors qui "résiste à l'automne", j'aime penser avec reconnaissance aux poètes tels que vous, offrant leur beauté en résistant à l'automne de nos vies.
En vous souhaitant encore une saison aussi créative,
bien cordialement.
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Merci pour ce très beau poème qui nous fait toucher les mots dans leur présence indispensable, avant le sens.
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superbement poétique ! pas étonnant que tes mots te donnent leur coeur ! merci Agnès...
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Les mots au service de l'émotion… des mots pour dire et entendre le bourdonnement des abeilles, le murmure du monde, le bruissement de la vie au plus profond de la chair, tout au fond du cœur…
Merci Agnès
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Des mots d'enfants ?
Peu importe dans le fond. Vous savez les transcrire avec les vôtres.
C'est un bonheur de retrouver Agnès Chêne dans ce "Gribouillon".
Vive la poésie, vive la réalité et vive le rêve.
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Pour moi une belle poésie en prose
Merci, beaucoup, pour vos mots
Esperanza Narae le 9 novembre 2020 à 16h29
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Tu les as si bien trouvés que j'en perds les miens... alors je te dis simplement merci pour le partage de tels trésors.
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des gribouillons de mots ça c'est une trouvaille pour tous ceux qui se prennent le chou avec leurs idées
un beau dessin pour les aider à donner un non sens à leur fierté
bon, je pense en faire partie aussi parfois. mea culpa
merci agnès
amitié
Dany-L le 27 octobre 2020 à 19h04
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Je suis resté longtemps à la fin de la première page, …cette nuit
J'ai été saisi par l'immensité de l'histoire de vie renfermée dans ces vers frôlant la réalité sans la dévoiler.
Un poème n'est vraiment complet que lorsqu'il est lu et ressenti par ses lecteurs. Je crois en particulier que ce poème va vivre encore longtemps dans le cœur de ceux qui se laisseront porter et emporter, pour de vrai.
Bien cordialement à vous.
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Sensible et attachant ce "presque" révèle la frontière ténue entre la presque mort d'une feuille et le moment où elle entrera dans le grand cycle de sa métamorphose en humus, promesse du printemps à venir.
Dans ce "presque" l'on perçoit la beauté flamboyante qui précède la fin certaine d'une création aussi unique qu'éphémère.
À tant vouloir "tout" souvent nous tendons au vide, ce texte nous ramène à l'essentielle substance de l'infime beauté nourrissante et vraie.
Par cette feuille d'ors qui "résiste à l'automne", j'aime penser avec reconnaissance aux poètes tels que vous, offrant leur beauté en résistant à l'automne de nos vies.
En vous souhaitant encore une saison aussi créative,
bien cordialement.
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Quelques cadeaux bien emballés
Ça ne peut que faire plaisir
Merci Agnès
Dany-L le 21 octobre 2020 à 22h12
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